Du Costa Rica à Panamá City
Lundi 31 janvier
Départ pour le Costa Rica
Fr. Nous quittons Volcán en direction de la frontière avec le Costa Rica. Un premier bus nous amène de Volcán à Bugaba, où l’on attend sur le bord de la route celui qui nous mènera à Paso Canoas, la frontière.
Salida hacia Costa Rica
Esp. Salimos de Volcán hacia la frontera con Costa Rica. Un primer autobús nos lleva de Volcán a Bugaba, donde esperamos a un lado de la carretera el otro que nos llevará a Paso Canoas, la frontera.
Fr. Il y a quelques formalités à faire : obtenir par internet un pass sanitaire au vu d’un questionnaire à remplir, et présenter un billet de retour. Notre problème est que nous comptons retourner au Panamá par la côte caraïbe, nous n’avons donc pas de billet retour pour David. On a une lettre de la marina indiquant qu’on y a laissé notre bateau et avec une date de retour prévu… Rien n’y fait, il faut le billet retour !
Ok, on va au guichet, et on achète ce billet de retour. Ca y est, on peut entrer au Costa Rica. On retourne au guichet pour prendre un billet de bus pour San José, et là, sans nous en avoir rien dit avant, la guichetière nous propose de changer le fameux billet de retour en billet pour San José. En fait tout se passe bien, mais il semble qu’ils n’aient pas le droit de le dire…
Le voyage est un peu long, mais on voit des paysages variés, et on regrette un peu de n’avoir pas prévu d’arrêts sur la côte pacifique et ses parcs naturels. Ce sera pour une prochaine fois.
Esp. Hay que hacer algunas formalidades : obtener por Internet un pase sanitario sobre la base de un cuestionario que debe rellenarse, y presentar un billete de vuelta. Nuestro problema es que planeamos regresar a Panamá por la costa del Caribe, así que no tenemos boleto de regreso a David. Tenemos una carta de la marina que dice que dejamos nuestro barco allí y con una fecha de regreso programada... No sirve de nada, necesitamos el billete de vuelta!
Ok, vamos a la taquilla, y compramos este billete de vuelta. Al fin podemos entrar a Costa Rica. Volvemos a la taquilla para comprar un billete de autobús a San José, y allí, sin habernos dicho nada antes, la cajera nos propone cambiar el famoso billete de vuelta en uno a San José. En realidad todo va bien, pero parece que no tienen derecho de decirlo...
El viaje es un poco largo, pero vemos paisajes variados, y lamentamos un poco no haber previsto paradas en la costa pacífica y sus parques naturales. Será en otra ocasión.
San José
Fr. Nous arrivons le soir à la gare de bus, où nous prenons un taxi pour l’hôtel Fortuna, près du centre, où nous avons réservé une chambre. Arrivé devant l’hôtel le taxi nous dit « vous ne devriez pas rester dans ce quartier… »
Bon, on y est, on va déjà voir l’hôtel et on avisera demain.
L’hôtel est très étrange. On entre dans un supermarché chinois, on demande à la caisse et on nous montre une porte qui conduit aux chambres. La chambre est petite, mais correcte. C’est le cadre qui est surprenant.
On sort de l’hôtel, là ce sont un policier et une policière, au coin de la rue, qui nous disent que le quartier n’est pas sûr, problème de drogue, etc. on ne devrait pas rester là.
Ok, ce sont les surprises de la réservation internet. On changera demain, après quand même un tour en ville pour trouver de quoi diner.
Le lendemain nous trouvons un hôtel dans un quartier plus calme, plus sûr, juste derrière l’église Soledad. Jolie chambre, patio agréable… Juste en sortant on repère que les chambres se louent aussi à l’heure !!
Enfin, on est installé, et le quartier est bien.
Esp. Llegamos por la noche a la estación de autobuses, donde tomamos un taxi para el hotel Fortuna, cerca del centro, donde reservamos una habitación. Al llegar al hotel, el taxi nos dice « no deberian quedarse en este barrio... »
Bueno, aquí estamos ya, vamos a ver el hotel y lo veremos mañana.
El hotel es muy extraño. Entramos en un supermercado chino, preguntamos en la caja y nos muestran una puerta que conduce a las habitaciones. La habitación es pequeña, pero está bien. Lo sorprendente es el entorno.
Salimos del hotel, y ahora hay un policía y una policía a la vuelta de la esquina diciéndonos que el vecindario no es seguro, problema de drogas, etc. No deberíamos quedarnos aquí.
Bien, esas son las sorpresas de la reserva por Internet. Cambiaremos mañana, después de dar un paseo por la ciudad para encontrar algo para cenar.
Al día siguiente encontramos un hotel en una zona más tranquila, más segura, justo detrás de la iglesia Soledad. Bonita habitación, patio agradable... ¡ Justo al salir notamos que las habitaciones también se alquilan por hora !
Finalmente, estamos instalados, y el barrio está bien.
Fr. On se promène à pied dans San José, sur la place centrale « Democracia », avec une plaque d’hommage à Christophe Colon. Puis les rues piétonnes avec les boutiques, le marché artisanal. Nous irons prendre un café dans le célèbre café dans l’entrée du théâtre, puis nous visiterons le musée del Oro.
Nous renoncerons à visiter les autres musées car les prix sont pour nous prohibitifs. Les tarifs sont, pour les étrangers, 4 fois ceux pour les locaux. C’est bien de prendre des mesures pour que les locaux profitent des richesses et de la culture du pays, mais là ça devient trop cher pour nous !
Enfin nous verrons de l’extérieur la « Casa Amarilla ». C’est actuellement le Ministère des Affaires Etrangères, mais elle a une histoire. En particulier on a cherché le fameux fromager (ceiba) planté en 1963 par John Kennedy. Ne le trouvant pas on a demandé au gardien qui nous explique que l’arbre est mort il y a quelques années.
De l’autre côté du bâtiment un morceau du mur de Berlin est conservé dans le jardin, mais pas très visible depuis le trottoir.
San José Centre Ville - Zócalo
Esp. Caminamos por San José, por la plaza central « Democracia », con una placa en homenaje a Cristobal Colón. Luego las calles peatonales con tiendas, el mercado de artesanía. Tomaremos un café en el famoso café en la entrada del teatro, luego visitaremos el Museo del Oro.
Renunciaremos a visitar los otros museos porque los precios son para nosotros prohibitivos. Las tarifas son, para los extranjeros, 4 veces las de los locales. Está bien tomar medidas para que los locales disfruten de las riquezas y de la cultura del país, ¡ pero ahora es demasiado caro para nosotros !
Por fin veremos desde el exterior la « Casa Amarilla ». Actualmente es el Ministerio de Asuntos Exteriores, pero tiene una historia. En particular buscamos el famoso árbol (Ceiba) plantado en 1963 por John Kennedy. Al no encontrarlo, preguntamos al guardia que nos explica que el árbol murió hace unos años.
Del otro lado del edificio se conserva un trozo del muro de Berlín en el jardín, pero no muy visible desde la calle.
Nous quittons San José vers le nord pour La Fortuna et le volcán Arenal
Salimos de San José hacia el norte por La Fortuna y el volcán Arenal.
Fr. L’hôtel que nous avons réservé, Alicia, est bien situé, propre, tenu par un jeune couple très sympa. Bon, au milieu de la nuit un couple qui habite en face s’engueulera sur le trottoir, en hurlant l’un sur l’autre pendant au moins une heure. Au matin les propriétaires de l’hôtel sont gênés de la situation, mais ils n’y sont pour rien !
Pour notre première après-midi à La Fortuna Carlos, qui nous a guidé depuis la gare de bus jusqu’à l’hôtel, se propose pour nous conduire en voiture à la « rivière chaude », une des rares activités gratuites que l’on peut pratiquer librement. Pendant le trajet il nous donne des infos sur le parc écologique que nous comptons visiter demain. La rivière chaude est très agréable, avec pas mal de courant et il faut s’accrocher aux rochers. On est un certain nombre à faire trempette ensemble.
Esp. El hotel que reservamos, Alicia, está bien situado, limpio, dirigido por una pareja joven muy agradable. En medio de la noche, una pareja que vive en la acera de enfrente, se pelearán gritándose uno al otro durante al menos una hora.
Por la mañana, los propietarios del hotel se avergüenzan de la situación, ¡ pero no tienen nada que ver !
Para nuestra primera tarde en La Fortuna Carlos, que nos guió desde la estación de autobuses hasta el hotel, se propone conducirnos en su coche al « río caliente », una de las pocas actividades gratuitas que se pueden practicar libremente. Durante el paseo nos da información sobre el parque ecológico que esperamos visitar mañana. El río caliente es muy agradable, con mucha corriente y hay que aferrarse a las rocas. Somos algunos bañandose juntos.
Jeudi 3 février
C’est donc la visite du parc écologique, où différents sentiers conduisent au mirador qui permet de voir le volcan.
Es la visita al parque ecológico, donde diferentes senderos conducen al mirador que permite ver el volcán.
Fr. Entre la montée et la descente nous suivrons un peu tous ces sentiers, qui passent par la forêt tropicale, puis le camping au bord d’un petit lac, et la montée vers le volcán …
Mais on doit s'arrêter juste à la sortie de la végétation, sans l’autorisation de continuer la montée sur les les coulées de lave durcies. Belle vue quand même sur le volcán et les vallées environnantes.
Esp. Entre la subida y la bajada cubriremos un poco todos estos senderos, que pasan por la selva tropical, luego un camping en la orilla de un pequeño lago, y la subida hacia el volcán...
Pero nos detenemos justo en la salida de la vegetación, sin el permiso de continuar la subida sobre los flujos de lava endurecidos. Hermosa vista sobre el volcán y los valles circundantes.
Fr. Une fois redescendus le retour à La Fortuna se fera en stop, après une deuxième séance à la rivière chaude, vraiment bien agréable.
Esp. Una vez abajo, el regreso a La Fortuna se hará en autostop, después de un segundo baño en el río caliente, muy agradable.
Fr. Le soir on profite de la vie nocturne : rues animées, très bon restau (crevettes et poisson) après un apéro local , le guaro sour, sucre et alcool de canne, et citron.
Esp. Por la noche aprovechamos de la vida nocturna : calles animadas, muy buen restaurante (camarones y pescado) después de un aperitivo local, el Guaro Sour, azúcar y alcohol de caña, y limón.
Fr. Avant de quitter La Fortuna, une dernière excursion à la cascade (marche dans la forêt, cascade et rivière), où l’on rencontre Pedro et Terceira, un couple brésilien qui nous ramèneront en voiture à l’hôtel.
Esp. Antes de salir de La Fortuna, una última excursión a la cascada (paseo por el bosque, cascada y río), donde nos encontramos con Pedro y Terceira, una pareja brasileña que nos llevará en coche al hotel.
Fr. Nous partons pour Puerto Viejo, sur la côte caraïbe, en route vers Bocas par la frontière au nord de Changinola. Le bus de La Fortuna à Puerto Viejo est en fait un mini bus, un shuttle de la compagnie Caribe, qui organise le voyage à condition d’avoir au moins trois clients.
Nous serons effectivement 3 dans le bus, avec une jeune autrichienne qui s’arrêtera à Cahuita, un joli village d’où part le sentier à travers un parc national. Nous y reviendrons…
En attendant nous continuons vers Puerto Viejo, et nous arrivons devant l’hôtel que nous avons réservé par internet, le Mitchaelle. Déception, il est assez merdique, sans salle de bain dans la chambre, et pas très agréable. Heureusement, dans la même rue, à 100 m, on en trouve un autre, l’hôtel Cabinas Tropical, qui lui est joli, agréable, avec un superbe jardin. La chambre est très bien, avec devant l’entrée un petit salon avec hamac … Ok, la maison voisine est assez bruyante la nuit, mais cette fois pas de hurlements… de la musique !
Esp. Salimos hacia Puerto Viejo, en la costa del Caribe, hacia Bocas por la frontera al norte de Changinola. El autobús de La Fortuna a Puerto Viejo es en realidad un mini autobús, un shuttle de la compañía Caribe, que organiza el viaje siempre que tenga al menos tres clientes.
De echo, seremos 3 en el autobús, con una joven austriaca que se detendrá en Cahuita, un bonito pueblo de donde parte el sendero a través de un parque nacional. Volveremos sobre el tema...
Mientras tanto continuamos hacia Puerto Viejo, y llegamos al hotel que reservamos por Internet, el Mitchaelle. Decepción, es bastante asqueroso, sin baño en la habitación, y no muy agradable. Afortunadamente, en la misma calle, a 100 m, se encuentra otro, el hotel Cabinas Tropical, que es bonito, agradable, con un hermoso jardín.
La habitación está muy bien, frente a la entrada un pequeño salón con hamaca... Ok, la casa de al lado es bastante ruidosa por la noche, ¡ pero esta vez nada de gritos... música !
Fr. Puerto Viejo est une petite ville assez touristique, animée, avec de jolies boutiques, des restau… Le zócalo est vaste, avec une végétation tropicale. La plage est très longue, et variée… Vers le centre ville il y a des récifs de coraux qui rendent la baignade difficile. Des gamins s’amusent sur une épave qui a l’air d’être là depuis longtemps. Divers oiseaux... plus loin la plage est de sable fin, plus jolie.
Esp. Puerto Viejo es una pequeña ciudad bastante turística, animada, con bonitas tiendas, restaurantes... El Zócalo es grande, con vegetación tropical. La playa es muy larga y variada... Cerca del centro de la ciudad hay arrecifes de coral que dificultan el baño.
Unos niños se divierten en un naufragio que parece haber estado allí durante mucho tiempo. Varios pájaros... más lejos la playa es de arena fina, más bonita.
Plat de Pierre
Fr. Le lendemain, dimanche, on loue des vélos, directement à l’hôtel, pour aller à Cahuita et son parc national, à une vingtaine de km. On s’arrête d’abord dans un petit restau visiblement fréquenté par des visiteurs du parc, pas mal d’européens, pour un petit déj très bien.
Plat de Laura
Esp. Al día siguiente, el domingo, se alquilan bicicletas, directamente en el hotel, para ir a Cahuita y su parque nacional, a unos veinte kilómetros. Primero paramos en un pequeño restaurante frecuentado visiblemente por los visitantes del parque, muchos europeos, para un desayuno muy bien.
Fr. Puis c’est le parc lui-même, un sentier le long de la plage et dans la forêt, qui permet de voir, outre les arbres et les paysages, pas mal d’exemples de la faune locale, singes, oiseaux, paresseux, ratons laveurs, iguanes… Les singes en particulier sont très nombreux, pas farouches, voire envahissants.
La jeune autrichienne du voyage, que l’on retrouve sur le sentier, vient de se faire chiper le sandwich quelle tenait dans la main, en train de le manger, par un petit singe capucin.
On marche jusqu’à la pointe, après le petit lac où on ne voit pas les supposés crocodiles, et retour par la plage, baignade et bain de soleil, en surveillant quand même les capucins entreprenants.
Trouver l'iguane !
Esp. Luego es el parque en sí, un sendero a lo largo de la playa y en el bosque, que permite ver, además de los árboles y paisajes, muchos ejemplos de la fauna local, monos, aves, perezosos, mapaches, iguanas... Los monos en particular son muy numerosos, no miedosos, incluso invasores.
La joven austríaca del viaje, que encuentramos en el sendero, acaba de hacerse robar el sándwich que llevaba en la mano, comiéndolo, por un pequeño mono capuchino. Caminamos hasta la punta, después del pequeño lago donde no vemos a los supuestos cocodrilos, y volvemos por la playa, nadamos y tomamos el sol, vigilando a los capuchinos emprendedores.
Fr. Après le déjeuner, au même restau qu’à l’arrivée, on reprend les vélos, et retour à Puerto Viejo. Le soir ce sera une balade en ville et le long de la plage, un restau « rasta » assez moyen, puis le retour à l’hôtel pour profiter du jardin.
Esp. Después del almuerzo, en el mismo restaurante que a la llegada, recogemos las bicicletas, y volvemos a Puerto Viejo. Por la noche será un paseo por la ciudad y a lo largo de la playa, un restaurante « rasta » más o menos, y luego de vuelta al hotel para disfrutar del jardín.
Fr. C’est le jour du départ pour Bocas. Avant de prendre le shuttle on se promène dans Puerto Viejo pour trouver où prendre le petit dej, et on trouve un restau végétarien, et même vegan ! il est sympa, agréable au premier étage d’un petit immeuble, vue sur la mer. Dans la montée une affiche explique le sens de « Pura Vida », expression très utilisée ici.
Esp. Es el día de regresar a Bocas. Antes de tomar el shuttle, caminamos por Puerto Viejo para buscar donde tomar el desayuno, y encontramos un restaurante vegetariano, ¡ incluso vegano ! es simpático, agradable en el primer piso de un pequeño edificio, con vista al mar. En la subida un cartel explica el significado de « Pura Vida », expresión muy utilizada aquí
Fr. Le surprenant de l’histoire est que ce restau est situé juste au dessus d’une boucherie, qui s’intitule même « centre de viandes ».
Coexistence pacifique ou provoc ?
Esp. Lo sorprendente de la historia es que este restaurante está situado justo arriba de una carnicería, que se llama « centro de carnes ».
¿ Coexistencia pacífica o provocación ?
Fr. Le séjour au Costa Rica aura été très intéressant et agréable, mais un peu court… On regrette de n’avoir pas eu le temps de visiter d’autres parcs naturels, sur la côte pacifique, et plus au nord sur la côte caraïbe… On y retournera sans doute lorsque nous reviendrons au Panama après le séjour de quelques mois en France pour l’été.
Esp. La estancia en Costa Rica ha sido muy interesante y agradable, pero un poco corto... Lamentamos no haber tenido tiempo de visitar otros parques naturales, en la costa pacífica, y más al norte en la costa caribe... Sin duda volveremos cuando volvamos a Panamá después de la estancia de unos meses en Francia para el verano.
Lundi 7 février
Retour à Bocas
Puente para cruzar la frontea
Fr. On prend donc une navette jusqu’à Sixaola, la frontière, juste nous deux pour un trajet rapide et confortable. A la frontière, comme d’habitude les formalités, avec une spécificité, la taxe de sortie ! On traverse la frontière à pieds.
Río Sixaola
Esp. Así que tomamos un transporte a Sixaola, la frontera, solo nosotros dos, un viaje rápido y cómodo. En la frontera, como de costumbre las formalidades, con una especificidad, el impuesto de salida ! Cruzamos la frontera a pie.
Fr. On retrouve une autre navette qui va faire le parcours au Panamá. Elle nous amène à Changinola, où on ne sait pour quelle raison on quitte la navette pour un taxi conduit par le frère du chauffeur, qui nous amène à Almirante. On y prend le bateau pour Colón, la boucle est bouclée.
Esp. Encontramos la otra naveta que hará el recorrido en Panamá. Nos lleva a Changinola, donde no se sabe por cual razón abandonamos ésta para tomar un taxi conducido por el hermano del conductor, que nos lleva a Almirante. Tomaremos el barco a Colón y cerraremos el círculo.
Fr. Pour rentrer en France on doit faire un test covid, à l’hôpital, à 20 mn en bus du centre ville. Une fois le test fait, en attendant les résultats, on observe, et on entend les singes hurleurs qui sautent d’arbres en arbres de l’autre côté de la route.
Esp. . Para volver a Francia tenemos que hacer una prueba covid, en el hospital, a 20 minutos en autobús del centro de la ciudad. Una vez hecho el test, a la espera de los resultados, se observa, y se oye a los monos aulladores que saltan de un árbol al otro, del otro lado de la carretera.
Fr. Nous sommes presque prêts à quitter Bocas pour Panamá City, où nous prendrons le vol pour Lyon. On finit de préparer le bateau, installer la bâche qu’on a fait réaliser à Rio Dulce l’an dernier, et qui recouvre presque toute la longueur du pont. Il restera à Mary et ses hommes à déplacer Chogüi vers une place plus petite pour libérer pour un bateau plus grand celle que nous occupons.
Avant de partir on rencontre Erika, qui vit sur un bateau au mouillage, et qui peut s’occuper de réparer les voiles. On lui laisse le génois, qui a un peu souffert du raggage contre le balcon, et qui nécessite quelques retouches. Une autre dame nous fera quelques coutures dans les moustiquaires…
Esp. Estamos casi listos para irnos de Bocas a Ciudad de Panamá, donde volaremos a Lyon. Terminamos de preparar el barco, instalamos la lona que hicimos en Río Dulce el año pasado, que cubre casi toda la longitud del puente. Mary y sus hombres tendrán que mover a Chogüi a un lugar más pequeño para liberar el lugar que nosotros ocupamos para un barco más grande. Antes de partir nos encontramos con Erika, que vive en un barco anclado, y que puede ocuparse de reparar las velas. Se le deja el genóa, que se desgarró contra el balcón y que requiere algunos retoques. Otra señora nos hará algunas costuras en los mosquiteros..
Carenero
Fr. Et c’est le vol de Bocas à Panamá City (taxi boat et taxi de la marina à l’aéroport). Au décollage on a une vue magnifique sur Carenero et le mouillage entre Carenero et Colón, puis sur la partie que nous avons arpentée de Bastimentos.
Bastimentos
Esp. Y es el vuelo de Bocas a Panamá City (taxi boat y taxi desde la marina hasta el aeropuerto). En el despegue tenemos una magnífica vista de Carenero y el fondeadero entre Carenero y Colón, y luego en la parte que recorrimos de Bastimentos.
Fr. A l’arrivée on survole un grand nombre de navires au mouillage qui attendent leur tour devant l’entrée du canal, puis l’entrée du canal elle-même. Ensuite on aperçoit les building du centre ville moderne.
On prend tout de suite le bus Panamá Airport pour l’aéroport International, afin d’y laisser nos bagages (il y a une consigne), et on revient en taxi dans le Casco Viejo, le centre historique.
Esp. A la llegada sobrevolamos un gran número de barcos anclados que esperan su turno ante la entrada del canal, y luego la entrada del mismo. Luego vemos los edificios del centro de la ciudad moderna.
Tomamos el autobús Panamá Airport al Aeropuerto Internacional, para dejar nuestro equipaje (hay una consigna), y regresamos en taxi al Casco Viejo, el centro histórico.
Fr. La petite balade est très agréable, visite de l’église avec son retable d’or, visite du musée du canal qui nous en apprend beaucoup sur l’épopée de sa réalisation. On déjeune d’un ceviche dans un joli petit restau. Le retour à l’aéroport se passera comme à l’aller, le chauffeur du taxi se faisant un plaisir de faire le guide et nous commenter tout ce qu’on voit sur le trajet.
Esp. El pequeño paseo es muy agradable, visita de la iglesia con su retablo de oro, visita del museo del canal que nos enseña mucho sobre la epopeya de su realización. Almorzamos un ceviche en un pequeño restaurante. El regreso al aeropuerto será como a la ida, el conductor del taxi estará encantado de guiarnos y comentarnos todo lo que vemos en el trajecto.
Retablo de Oro
Fr. Décollage pour Lyon, on est le 12 février 2022, il est 21h20 … Au revoir Panamá, à dans quelques mois.
Esp. Despegue para Lyon, es el 12 de febrero de 2022, son las 9:20 ... adiós Panamá, nos vemos en unos meses.
Voilà le trajet de Chogüi, du Sud des Antilles jusqu' à Bocas del Toro
Este es el trayecto de Chogüi, desde el sur de las Antillas hasta Bocas del Toro
De Bocas à la frontière du Costa Rica
Lundi 10 janvier
Fr. Nous continuons à nous promener dans l’ile Colón, à pieds, à vélo, en bus, en dinghy… :
le zócalo, avec sa statue de Bolivar comme en beaucoup d’endroits, un petit restau où on peut donner à faire la lessive, l’hôtel Sélina, genre auberge de jeunesse où on peut venir faire de l’internet en prenant un café, le café italien avec un des meilleurs expressos depuis longtemps…
On est toujours au mouillage entre Colón et Carenero, survolés par les avions qui se posent à Colón.
Colón y sus alrededores
Esp. Continuamos paseando por la isla Colón, a pie, en bicicleta, en autobús, en dinghy... :
El Zócalo, con su estatua de Bolívar como en muchos lugares, un pequeño restaurante donde se puede dar a lavar la ropa, el hotel Sélina, un albergue juvenil donde se puede venir a hacer internet tomando un café, y el Café italiano con uno de los mejores espressos desde hace mucho tiempo...
Seguimos anclados entre Colón y Carenero, con los aviones que nos sobrevuelan y que aterrizan en Colón.
Lundi 17 janvier
Bastimentos
Fr. On prend un taxi boat pour aller visiter Bastimentos, une ile à 15 mn en lancha. L’ile est grande et nous n’en verrons qu’une petite partie, à pieds.
Le port et le village sont très sympas, on prend le chemin à travers la forêt pour passer de l’autre côté de l’ile, à Wizard beach, plage quasi déserte à part quelques surfeurs.
Bastimentos
Esp. Tomamos un taxi boat para ir a visitar Bastimentos, una isla a 15 minutos en lancha. La isla es grande y veremos solo una pequeña parte a pie.
El puerto y el pueblo son muy agradables, tomamos el camino a través del bosque para pasar al otro lado de la isla, a Wizard beach, playa casi desierta aparte de algunos surfistas.
Fr. On s’y baigne, puis en route vers Red Frog, un coin plus touristique avec hôtel et restaurant. On commence en longeant la plage, après ça se complique, on doit escalader des rochers au bord de l’eau, puis pénétrer dans la forêt. Enfin on s’en tire, et on arrive à Red Frog. Escale au restau, baignade puis taxi boat pour Colon depuis un embarcadère le long de la mangrove.
Esp. Nos bañamos allí y luego nos dirigimos a Red Frog, un lugar más turístico con hotel y restaurante. Empezamos a lo largo de la playa, después las cosas se complican, tenemos que subir rocas a la orilla del agua, y luego entrar en el bosque. Por fin salimos, y llegamos a Red Frog. Escala en el restaurante, nadar y luego taxi boat para Colón desde un muelle a lo largo del manglar.
Marina Carenero
Fr. Comme on envisage d’aller se promener au Panamá et au Costa Rica, on va laisser le bateau dans la petite marina de Carenero, d’autant que le mouillage n’est pas très sûr sans surveillance, on a déjà dérapé l’ancre en raison des renverses de courants.
La marina est très sympa, petite, avec électricité, eau, douches… mais quelques bateaux assez sales, qui semblent abandonnés depuis longtemps.
Il y a un couple de jeunes espagnols bricolant leur bateau acheté ici, bientôt en partance, une mexicaine ayant perdu son mari cherchant à vendre son bateau, et un certain nombre de navigateurs de nationalités variées (brésilien, allemand, canadien, neozélandais,…) qui séjournent régulièrement ici. L’ambiance est très agréable, et certains proposent des services comme réparation de voiles, couture, etc.
Esp. Como se planea pasear por Panamá y Costa Rica, se va a dejar el barco en la marina de Carenero, sobre todo porque el lugar donde anclamos no es muy seguro sin vigilancia, ya se ha zafado el ancla debido a las corrientes que se invierten.
La marina es muy agradable, pequeña, con electricidad, agua, duchas... pero algunos barcos bastante sucios, que parecen abandonados desde hace mucho tiempo. Hay una pareja de jóvenes españoles arreglando su barco comprado aquí, pronto saldrán, una mexicana que perdió a su marido está tratando de vender su barco, y una serie de navegantes de diversas nacionalidades (brasileño, alemán, canadiense, neozelandés,...) que residen regularmente aquí. El ambiente es muy agradable, y algunos ofrecen servicios como reparación de velas, costura, etc.
Fr. Les alentours de la marina sont assez pauvres, avec des maisons sur pilotis, la vase et parfois les ordures jetées sous la maison. Les gens habitant là travaillent en général sur Colon et les liaisons entre les deux iles sont très faciles en lancha. Pour nous c’est comme un taxi qu’on hèle ou qu’on réserve par téléphone, et pour 1$ il nous amène en face.
Esp. Los alrededores de la marina son bastante pobres, con casas sobre pilotes, el lodo y a veces la basura arrojada debajo de la casa. La gente que vive allí generalmente trabaja en Colón y las conexiones entre las dos islas son muy fáciles en Lancha. Para nosotros es como un taxi al que le chiflas o que se reserva por teléfono, y por un dólar nos lleva en frente.
Fr. On s’installe, on refait un tour des plages de l’ile et on terminera par un repas au Cosmic Crab, restau chic à deux pas de la marina
Esp. Nos instalamos, damos una vuelta a las playas de la isla y terminamos con una comida en el Cosmic Crab, (cangrejo) restaurante elegante cerca de la marina.
Fr. Comme au mouillage, le coin est assez bruyant, avec des « compétitions » entre bars musicaux, un sur Colon, l’autre sur Carenero. En général ils se répartissent les soirs, mais parfois ils opèrent ensemble ! C’est souvent jusqu’à 3h du matin, parfois plus, et le niveau sonore est impressionnant.
Esp. Como cuando estabamos anclados, éste lugar es bastante ruidoso, con « competiciones » entre bares musicales, uno en Colón y otro en Carenero. Normalmente se reparten por las noches, ¡ pero a veces trabajan juntos ! Muy menudo hasta las 3 de la mañana, a veces más, y el nivel de sonido es impresionante.
Fr. Bon, il est temps d’aller se promener un peu, c’est le départ pour Almirante, la ville proche sur le continent, à 30 mn de taxi boat pour $5 chacun. L’endroit à visiter pour ses parcs naturels, ses randonnées, ses paysages, c’est Boquete, mais c’est très fréquenté, les hébergements y sont chers. Sur les conseils de Mary nous logerons à David, la grande ville en bas dans la vallée, à 1h de bus de Boquete.
Esp. Bueno, es hora de dar un paseo, es la salida hacia Almirante, la ciudad cercana en el continente, a 30 minutos de taxi boat por 5 dólares cada uno. El lugar para visitar por sus parques naturales, sus excursiones, sus paisajes es Boquete, pero es muy concurrido, los alojamientos son caros. Por consejo de Mary, nos alojaremos en David, la gran ciudad del valle, a una hora en autobús de Boquete.
David
Samedi 22 janvier
Fr. Nous arrivons à Almirante, port industriel niché au fond de la baie, où les maisons traditionnelles sont sur pilotis
Esp. Llegamos a Almirante, puerto industrial ubicado en el fondo de la bahía, donde las casas tradicionales están sobre pilotes.
Fr. Un taxi (1$) nous amène du débarcadère à la gare de bus, d’où un bus (8.50$) nous amène en 4h à David, franchissant la montagne qui sépare la mer caraïbe du pacifique.
Esp. Un taxi nos lleva desde el puerto hasta la estación de autobuses por 1 dolar, de ahí un autobús ($8.50) nos lleva en 4h a David, cruzando la montaña que separa el mar Caribe del Pacífico.
Fr. On a réservé à l’hôtel Castilla, au centre ville sur l’avenue Cervantes. De là on se promène dans David, ses magasins, son marché, où l’on achète une machette et son fourreau pour être autonome en ce qui concerne les noix de coco. On visite le vieux David, sa cathédrale, sa statue de Bolivar… Un truc surprenant : les barbiers sont très nombreux à David, plusieurs sur le même trottoir, et très bon marché. Je me fais faire la barbe pour 1$ !
Esp. Reservamos en el Hotel Castilla, en el centro de la ciudad en la avenida Cervantes. Desde allí nos paseamos por David, sus tiendas, su mercado, donde compramos un machete y su vaina para ser autosuficiente en lo que respecta a los cocos. Visitamos al viejo David, su catedral, su estatua de Bolívar...
Lo sorprendente es que hay muchos barberos en David, muchos en la misma acera, y muy baratos.
¡ Me hago la barba por un dólar !
Fresques bibliques
Dimanche 23 janvier
Boquete
Fr. C’est donc la ville touristique qui attire beaucoup d’amoureux des paysages de montagne et des excursions, à 1h de bus de David, pour 1.5 $…
Nous y arrivons le dimanche, dernier jour de la fête des fleurs et du café, évènement annuel qui dure une semaine. Dans la ville les activités sont très organisées (guides, auberges pour randonneurs, parcours variés) et on croise pas mal de randonneurs. Par contre il semble difficile de faire certaines excursions par soi-même. Monter au volcan Barù, qui domine la ville, se fait avec guide, ou même en 4x4 pour assister au lever de soleil… Nous n’irons pas.
Esp. Esta es la ciudad turística que atrae a muchos amantes de los paisajes de montaña y excursiones, a 1 hora en autobús de David, por $ 1.5…
Llegamos el domingo, último día de la fiesta de las flores y del café, evento anual que dura una semana. En la ciudad las actividades están muy organizadas (guías, albergues para excursionistas, recorridos variados) y cruzamos muchos excursionistas. Por lo contrario, parece difícil hacer algunas excursiones por sí mismo. Subir al volcán Barù, que domina la ciudad, se hace con guía, o incluso en 4x4 para asistir al amanecer... No iremos.
Fr. La fête des fleurs et du café crée beaucoup d’animations, des stands d’artisanat, de restauration traditionnelle, et des spectacles comme un ballet folklorique où se produit également un mariachi !
La ville est très agréable (l’air y est frais, les paysages magnifiques), mais la vie y est très chère (nourriture, hôtel, excursions). Par contre les transports sont très bon marché.
Esp. La fiesta de las flores y del café crea muchas animaciones, puestos de artesanía, de restauración tradicional, y espectáculos como un ballet folclórico donde también se produce un mariachi!
La ciudad es muy agradable (el aire es fresco, los paisajes magníficos), pero la vida es muy cara (comida, hotel, excursiones). Por lo tanto el transporte es muy barato.
Lundi 24 janvier
Fr. Le lendemain nous revenons de David pour aller à Caleta, des puits et une rivière chaude où l’on peut se baigner. On prend un taxi en commun avec 4 jeunes danois en rupture de quelques mois en fin d’étude, et qui peuvent enfin réaliser un périple maintenant que les règles covid se sont assouplies. La balade est très sympa, et très dépaysante dans une campagne très « western ».
Caleta "río caliente"
ferme à Caleta
Esp. Al día siguiente regresamos a David para ir a Caleta, pozos y un río caliente donde se puede nadar. Tomamos un taxi en común con 4 jóvenes daneses, quienes tomaban unos meses de pausa al final del curso, y que finalmente pueden realizar un viaje ahora que las reglas covid se han relajado. El paseo es muy agradable, y muy exótico en una campiña muy «western»
Fr. L’après midi nous sommes inscrits pour visiter une ferme qui produit du café, la finca Pepe, avec explications et dégustation. Intéressant et délicieux, avec en plus l’histoire du café Geisha, né ici, qui est une variété difficile à cultiver, produisant peu, mais qui est devenue très recherchée, pour un prix exorbitant, qui fait qu'elle est maintenant produite dans plusieurs pays d’Amérique centrale.
Paysage de Boquete
caféier
Esp. Por la tarde nos registramos para visitar una granja que produce café, la finca Pepe, con explicaciones y degustación. Interesante y delicioso, además de la historia del café Geisha, originario de aquí, que es una variedad difícil de cultivar, produciendo poco, pero que se ha vuelto muy solicitada, con un precio exorbitante, lo que hace que ahora se produce en varios países de América Central.
Fr. Le 3ème jour à Boquete nous allons en excursions dans la forêt, au sein de la finca Crystal, où les parcours guidés sont à base de sentiers et de ponts suspendus au dessus d’une rivière. Visite spectaculaire, par la végétation comme par les vues sur le volcan Barù.
tyrolienne
papillon transparent
Esp. Al 3er día en Boquete vamos de excursión por el bosque, en la finca Crystal, donde los recorridos guiados se basan en senderos y puentes suspendidos sobre un río. Visita espectacular, tanto por la vegetación como por las vistas del volcán Barú.
Fr. A défaut d’y être monté, nous allons nous rendre de l’autre côté du volcan, dans une ville justement nommée Volcán, moins touristique mais qui permettra d’autres excursions.
Esp. Como no pudimos subir, iremos del otro lado del volcán, a una ciudad llamada Volcán, menos turística pero que permitirá otras excursiones.
Fr. C’est une ville sans beaucoup de charme, bien que très fleurie, mais plate et constituée d’un quadrillage de rues à peu près régulier, sans vrai centre, et peu de vie. L’hôtel, Brisas del Volcán, est bon marché et pratique.
Esp. Es una ciudad sin mucho encanto, aunque muy florida, pero plana y constituida por una red de calles más o menos regulares, sin verdadero centro y poca vida. El hotel, Brisas del Volcan, es barato y práctico.
Fr. Le lendemain de notre arrivée en bus depuis David, nous partons à nouveau en bus pour Cerro Punta où nous avons réservé une chambre dans un Bed & Breakfast « Orilla del Rio », tenu par un couple d’allemands, ici depuis des années. Ils sont très fiers de leur très jolie maison fleurie au bord de la rivière. La rivière est capricieuse, elle a débordé il y a quelque années, emportant une partie du jardin et de la maison… Ils ont reconstruit, et prient pour que ça ne se reproduise plus.
Esp. Al día siguiente de nuestra llegada en autobús desde David, salimos de nuevo en autobús hacia Cerro Punta donde reservamos una habitación en un Bed & Breakfast « Orilla del Río », dirigido por una pareja de alemanes, que viven aquí desde hace años. Están muy orgullosos de su hermosa casa florida a la orilla del río. El río es caprichoso, se desbordó hace algunos años, llevándose parte del jardín y de la casa... Han reconstruido y esperan que no vuelva a suceder.
Fr. De là on va à pied à la finca Dracula, un parc dédié aux orchidées… C’est un magnifique jardin, avec un parcours thématique sur la végétation locale, les cactus, et bien sûr les orchidées, dont une s'appelle Dracula. Un sentier mène à un mirador… La visite vaut vraiment le coup.
Orquidée Dracula
Esp. De aquí vamos a pie a la finca Drácula, un parque dedicado a las orquídeas... Es un hermoso jardín, con un recorrido temático sobre la vegetación local, los cactus, y por supuesto las orquídeas, una de ellas se llama Drácula. Un sendero conduce a un mirador... La visita vale la pena.
Fr. La région de Cerro Punta est spécialisée dans toute sorte de cultures. Partout on voit sur les flancs des collines des champs cultivés, sur la route des hangars de stockage où des camions viennent chercher les produits. Une des spécialité sont les fraises, qu’on peut déguster dans plusieurs stands le long de la route dans le village.
Esp. La comarca de Cerro Punta está especializada en todo tipo de cultivos. Por todas partes se ven en las laderas de las colinas los campos cultivados, por el camino los hangares de almacenamiento donde los camiones vienen a recoger los productos. Una de las especialidades son las fresas, que se pueden degustar en varios puestos a lo largo de la carretera en el pueblo.
Le lendemain un taxi nous amène depuis l’hôtel au départ du « sendero los quetzales »
Le début du sentier est au milieu des cultures sur les pentes de la montagne. On passe à côté d’une sorte de petit village temporaire de quelques indigènes, employés temporaires pendant la période des récoltes. On arrive au sommet à la maison du garde, où s’arrête pour le moment le sentier pour cause de travaux de réfection qui en interdisent l’accès.
Ce sentier permet d’atteindre Boquete en quelques heures… Sur ce sommet la végétation est intéressante, en particulier la prolifération de lichens, sans doute en raison de l’humidité.
Au retour nous voyons quelques travailleurs dans les champs. Nous regagnons Cerro Punta, on s’offre quelques fraises, puis un restau avant de regagner l’hôtel.
Al día siguiente un taxi nos lleva del hotel a la entrada del sendero « Los quetzales »
El comienzo de éste se encuentra en medio de los cultivos en las laderas de la montaña. Pasamos al lado de un campamento temporal de algunos indígenas, empleados solo durante el período de las cosechas. Se llega a la cima, la casa del guardia bosques, donde se para temporalmente el sendero por causa de reparación que impiden el acceso.
Éste sendero permite llegar a Boquete en pocas horas... En esta cumbre la vegetación es interesante, en particular la proliferación de líquenes, sin duda debido a la humedad.
Al regreso vemos algunos trabajadores en los campos. Volvemos a Cerro Punta, compramos algunas fresas, luego un restaurante antes de volver al hotel.
Fr. Le lendemain c’est le retour à Volcán, où nous nous sommes inscrits pour une petite promenade à cheval, dans les bois, jusqu’au bord d’un petit lac, retour par les champs, au milieu des vaches. Belles vues sur les montagnes alentour.
Esp. Al día siguiente es el regreso a Volcán, donde nos inscribimos para un pequeño paseo a caballo, por el bosque, hasta la orilla de un pequeño lago, regreso por los campos y entre las vacas. Hermosas vistas de las montañas y sus alrededores.
Fr. Nous enchainons avec la visite du site Barriles, un des rares sites archéologiques de la région. On commence à y aller à pieds, mais c’est un peu loin, et on fini par être pris en stop, à l’arrière d’un pickup, au milieu des cageots en plastique.
On voit sur ce site quelques reproductions de statues, des poteries et divers objets, des appareils agricoles plus modernes… Nous terminons par une balade le long de la rivière, présentant des exemples de végétation locale, puis c’est le retour en bus à Volcan.
Esp. Continuamos con la visita del sitio Barriles, uno de los pocos sitios arqueológicos de la zona. Empezamos a caminar, pero está un poco lejos y terminamos parte del camino con un aventón detrás de una camioneta, entre las cajas de plástico.
En este sitio se ven algunas reproducciones de estatuas, alfarerías y diversos objetos, aparatos agrícolas más modernos... Terminamos con un paseo a lo largo del río, con ejemplos de vegetación local y luego volvemos en autobús a Volcán.
Fr. Après ces quelques jours dans le nord du Panama nous voulons aller voir du côté du Costa Rica, fameux pour ses parcs naturels et la beauté de ses paysages très préservés. En réalité il doit y avoir une ressemblance entre le nord du Panama et le sud du Costa Rica, comme le suggère l'existence du Parc International La Amistad, à cheval sur les deux pays. Nous ne verrons pas ce parc, car nous comptons nous rendre directement à San José puis aux alentours du volcan Arenal, dans le nord du pays.
Esp. Después de estos días en el norte de Panamá queremos ir a ver del lado de Costa Rica, famoso por sus parques naturales y la belleza de sus paisajes protegidos. En realidad debe haber una semejanza entre el norte de Panamá y el sur de Costa Rica, como lo sugiere la existencia del Parque Internacional La Amistad, a caballo entre los dos países. No veremos este parque, ya que planeamos ir directamente a San José y luego a los alrededores del volcán Arenal, en el norte del país.
Citron local orange - limón local naranjado
Roatán à Bocas del Toro
Mercredi 22 décembre 2021
Fr.- Le choix de la date de départ est lié au fait que le vent est passé au nord, ce qui est quasi indispensable pour contourner la pointe du Honduras sans remonter jusqu’en Jamaïque. On a quand même environ 550 miles à faire jusqu’à Providencia, autant le faire au portant…
9h, départ sans problème de Roatan. Une averse dans la nuit, mais au matin il fait beau. Comme prévu le vent est Nord, on sera au portant. On lève l’ancre dans une accalmie, et c’est parti.
Roatán a Bocas del Toro
Miércoles 22 de diciembre
Fr.- La fecha de salida se escogió porque el viento paso al Norte, lo que es indispensable para rodear la punta de Honduras sin subir hasta Jamaica. Tenemos de todas formas 550 millas por hacer hasta Providencia, mas vale hacerlo con el viento por detrás.
Un chubasco en la noche, pero por la mañana hace buen tiempo. Como previsto el viento del Norte llegó. Levantamos el ancla en un mar tranquilo, ya está, salida a las 9h.
Fr.- Début agréable, mer calme car nous sommes protégés par l’ile. La houle réapparaitra entre l’ilot du bout de Roatan et Guanaja. On aperçoit une voile le long de la côte, qui semble aller dans la même direction que nous, et on va un peu plus vite qu’elle. On la rattrape après la pointe SW de l’ile, c’est le cata de Roberto, La Isla. Echange de quelques mots, on a à priori le même parcours, contourner au large la pointe du Honduras, direction Providencia. Ok, on s’y retrouvera…
Esp.- Principio agradable, mar tranquilo puesto que estamos protegidos por la Isla. La ola de fondo comenzará entre el islote al final de Roatán y Guanaja (otra isla hondureña). Persivimos una vela a lo largo de la costa, que parece ir en la misma dirección que nosotros, pero vamos más rápido que ellos. Les alcanzamos en la punta SW de la isla, es el catamarán de Roberto, La Isla. Cambiamos algunas palabras, y a priori haremos el mismo trayecto, rodear hacia lo largo la punta de Honduras, dirección Providencia. Ok, nos encontraremos por allá.
Fr.- La nuit se passe bien, un peu secoués par une mer hachée, courte. On prend un ris dans la nuit car ça monte un peu, et on suit notre cap pas trop près de la côte.
On passera la nuit tous feux éteints, prudence, avec la lune (gibbeuse décroissante) qui nous accompagne. On voit 2 ou 3 lumières vives. Un peu paranoïaques, on surveille, on cache même les compas et les lampes intérieures. En fait ce sont sûrement des pêcheurs. On en rencontrera beaucoup cette première nuit. On croyait au début que c’étaient de petits cargos se suivant, mais au petit jour on verra que ce sont des pêcheurs. En fin de nuit un semble nous foncer dessus, ce qui nous amène à anticiper notre changement de direction vers le SE. On le verra d’assez près au matin, avec son gros éclairage blanc et sa trajectoire erratique genre pêcheur.
A part les pêcheurs, maigre bilan des rencontres de ces premières 24h : 1 cata, 1 oiseau, 4 ou 5 petits dauphins, 1 poisson volant, … et 1 raton laveur (en fait il s’agit peut-être d’un voilier tous feux éteints, dans la direction opposée… mais Laura n’est pas sûre de ses visions nocturnes !).
Ah oui, également des sargasses, des sargasses, des sargasses…
Esp.-La noche se presenta bien, un poco sacudidos por un mar revuelto, olas cortas. Reducimos la vela durante la noche puesto que el viento sube, seguimos nuestro curso no muy cerca de la costa.
Pasaremos toda la noche sin luces, (dicen que hay piratas por estos lugares) solo guiados por la luna (gibosa decreciente) que nos acompaña. Se ven 2 que 3 luces fuertes. Nosotros un poco paranoicos vigilamos, escondemos mismo los compases y las lamparas del interior. De echo (lo vimos al otro día) eran pescadores. Y veremos muchos de ellos ésta primera noche. Al finalizar la noche uno de ellos parece echarnos encima, lo que nos lleva a anticipar el cambio de dirección hacia el SE. Les veremos muy cerca por la mañana, con su lucesota blanca y su trayectoria errática estilo pescador.
A parte de los pescadores, escaso encuentro en esas primeras 24h : 1 cata, 1 pájaro, 4 o 5 delfines, 1 pez volador,… Y un mapache (de echo tal vez se trata de un velero con sus luces apagadas, en dirección opuesta… ! pero Laura no está segura de sus visiones !
Ah también sargazo, sargazo, sargazo…
Fr.- Journée du jeudi 23 décembre : ras
Nuit du jeudi 23 au vendredi 24
Le vent a forci, on est donc sous 1 ris et on a réduit pas mal le génois, c’est plus confortable.
La lune sort très tard, mais brille fort, même si elle est proche de la demi-lune. Des grains passent de temps en temps. On avance bien. Un autre pêcheur sort de nulle part, vient dans notre direction, et passe derrière
Esp.- Día del jueves 23 de diciembre : nada que señalar
La noche del jueves 23 al viernes 24 de diciembre
Esp.- El viento a crecido, estamos con vela reducida y reducimos de mucho el genoa, es mas confortable. La luna sale cade vez más tarde, pero brilla mucho, mismo si está cerca de la media luna. Pequeñas lloviznas pasan de ves en cuándo. Avanzamos bien. Un pescador sale de la nada, viene en nuestra dirección, y pasa detrás nuestro…
Fr.- Journée du 24 et nuit du 24 au 25 : à part le fait que c’est Noël, il n’y a rien à signaler…
Esp.- El día del 24 y por la noche del 24 al 25 : a parte de que es Navidad, no hay nada que decir…
Samedi 25 décembre
Fr.- On marche bien, on espère arriver en début d’après-midi à Providencia. Mais le vent baisse et surtout on doit avoir un fort courant dans le nez (2-3 knt). Il nous dévie un peu vers le bon cap mais nous ralenti beaucoup. On remet du génois, mais il y a encore de fortes rafales.
La mer s’est calmée, c’est plus confortable. Il fait beau, si ce n’était le courant tout irait bien.
On en profite pour faire le repas de Noël : jambon - tranches d’ananas, accompagné de riz, arrosé d’un vin argentin, Santa Alicia… Un régal.
Sábado 25 de diciembre
Esp.- Navegamos bien, esperamos llegar a principios del atardecer a Providencia. Pero el viento baja y sobretodo debemos tener una fuerte corriente de frente (2-3 nudos). Nos desvía un poco hacia el buen curso pero nos frena mucho. Ponemos de nuevo el genoa, pero hay aun mucha ráfagas fuertes.
El mar se calma, es más confortable. Hace buen clima, sino fuera por la corriente todo iría muy bien.
Aprovechamos para festejar la cena de Navidad : (por la tarde) jamón con piña, acompañado de arroz, y servido con un vaso de vino argentino, Santa Alicia… Una delicia.
Fr.- A 15 miles de l’arrivée, il est 13h, on se décide à prendre la barre, vent arrière génois en ciseaux pour gagner un peu de vitesse. Finalement le vent tombe, ce sera moteur pour arriver à Providencia.
On y arrive à 15h, et là surprise, un magnifique chenal d’entrée, balisé par des bouées rouges et vertes. Entrée facile, malgré des fonds inquiétants, et on va mouiller pas très loin d’une petite jetée. La baie est très jolie, un peu ventée, et rappelle Antigua et son « Sleeping Indian » par la forme des collines.
Esp.- A 15 millas de la llegada, es la una de la tarde, decidimos tomar el timón (siempre navegamos con piloto eléctrico), el viento por detrás, velas cruzadas para ganar velocidad. Finalmente el viento cae, y será con motor que llegaremos a Providencia.
Llegamos a las 15h, y la sorpresa, un magnifico canal de entrada, marcado por boyas rojas y verdes. Entrada fácil, a pesar de que el fondo es inquietante, vamos a anclar no muy lejos de un pequeño muelle. La bahía es agradable, un poco ventosa, y nos recuerda a Antigua con su « Sleeping Indian » por la forma de sus colinas.
Fr.- Visite en barque de Malcolm, qui nous explique qu’ici on parle plutôt anglais, certains l’espagnol, mais tous le créole à base d’anglais… Il nous annonce aussi que suite à l’ouragan de l’an dernier, qui est passé sur le Nicaragua, l’ile a été dévastée, elle est en pleine reconstruction et fermée au tourisme… A voir. Les autorités ne répondent pas au 16. On est le 25 décembre !
Esp.- Visita de Malcom en su lancha, nos explica que aquí se habla sobretodo inglés, algunos hablan español, pero todos hablan el criollo a base de inglés… Nos comunica también que por causa del huracán del año pasado, el que pasó ensima de Nicaragua, la isla fue devastada, está en plena re construcción y cerrada al turismo… A ver. Las autoridades no contestan al canal 16.
! Es el 25 de diciembre !
Dimanche 26 décembre
Fr.-Roberto, Jaime y Marta sont arrivés dans la nuit, et ont mouillé près de l’entrée de la baie. Ils viendront se mettre à côté de nous dans la matinée. On réussit à joindre la capitainerie : en effet l’ile est fermée au tourisme, on peut rester 24h pour se reposer, sans débarquer. Ensuite direction San Andres, qui elle est ouverte.
Journée de repos, à voir passer les grains, les rafales… D’ailleurs, l’ancre dérape ! On s’approche du petit ponton … j’ai été un peu léger sur la longueur de chaine, car il y a peu d’eau, mais le vent est fort. On est bon pour relever l’ancre, remonter un peu au vent et re-mouiller.
Ensuite petit bain et rinçage dans le cockpit.
Visite de Jaime à qui on explique les consignes des autorités (ils n’ont pas de VHF), et on se met d’accord pour repartir demain avec le jour pour San Andres, à 53 miles.
Domingo 26 de diciembre
Esp.- Roberto, Jaime y Marta llegaron durante la noche, y anclaron cerca de la entrada de la bahía. Vendrán a ponerse cerca de nosotros por la mañana. Logramos comunicarnos con la capitanía : de efecto la isla está cerrada al turismo, podemos quedarnos sólo 24h para descansar, sin bajar a tierra.
Siguiente etapa San Andrés, esta está abierta.
Día de descanso, a ver pasar las lloviznas, las ráfagas… Por otro lado, ! el ancla se patina ! nos acercamos al muelle … Pierre puso poca cadena, puesto que hay poca profundidad, pero el viento es fuerte. Somos buenos para subir el ancla, movernos un poco hacia el viento y re anclar. Un pequeño chapuzón y enjuagarse en el barco.
Visita de Jaime a quien le explicamos las consignas de las autoridades (no tienen VHF), nos ponemos de acuerdo para salir al día siguiente temprano hacia San Andrés, a 53 millas.
Lundi 27 décembre
Départ de Providencia - 7h
Fr.- Mer un peu agitée mais bon vent, on marche à 7 knt, et la journée se passe bien.
Lunes 27 de diciembre
Salida de Providencia - 7h
Esp.- Mar un poco agitado con buen viento, andamos a 7 nudos y el día pasa bien.
Fr.- En approchant de San Andres on est accueilli par une bande de dauphins, dont visiblement des jeunes, très joueurs, qui nous font des sauts périlleux, des vrilles,.. on n’a jamais vu ça.
Esp.- Al acercarnos a San Andrés nos dan la bienvenida una banda de delfines, aparentemente muy jóvenes, muy juguetones, que nos deleitan con saltos mortales, volteretas,… nunca habíamos visto eso.
Lundi 27 décembre 2021
Arrivée à San Andres
Lunes 27 de diciembre 2021
Llegamos a San Andrés
Fr.- Arrivée vers 16h à San Andres, on affale la gran voile dans la foulée, on contourne la barrière de corail sous génois et on commence à remonter le chenal, enfin on enroule pour continuer le chenal au moteur.
On arrive où quelques voiliers sont au mouillage, face à la marina, et on jette l’ancre, sous le regard bienveillant d’une barque de la marine colombienne qui nous laisse finir la manoeuvre avant de nous aborder pour monter à bord et inspecter le bateau.
Un marin dans le bateau avec Laura visite (valises, équipets, cale,…), la sous-officier, dans le cockpit avec moi remplit les formulaires. A part la question insistante « pourquoi n’a-t-on pas appelé en arrivant », l’accueil est sympathique, et la sous-off accepte même d’appeler pour nous au téléphone l’agent dont on a les coordonnées pour régler les formalités d’entrée.
On a donc rendez-vous dans la 1/2h avec cet agent dans la marina… tout à l’air de bien se passer. Certes, $70 pour l’agent, 2x $35 d’impôt touristique, et on est bon.
La marina est très rudimentaire. Pas de douche ni de wifi, en panne, wc de la station service à laquelle est adossée la marina. Il y a 2 voiliers au ponton, le reste sont des bateaux genre pêche…
On paie $10 la semaine pour le droit d’y aborder en dinghy, et on peut y acheter de l’eau pour laver dans des jerrycans. Mais ce sera très pratique d’avoir où laisser le dinghy pour se promener dans San Andres.
Petite balade en ville, bruyante, agitée, plein de motos…
Une caractéristique de San Andres est la musique à fond, chacun la sienne, mais avec le goût de la partager avec tous. Elle est partout, sur les bateaux, dans les restau, sur la plage, même sur certaines motos… Peut-être s’y habitue-t-on ?
Esp.- Llegada hacia las 16h a San Andrés, bajamos la vela, rodeamos la barra de coral solo con el genoa y empezamos a pasar por el canal, enrollamos el genoa y seguimos con motor.
Llegamos donde algunos veleros están anclados frente a la marina, echamos el ancla, bajo la presencia gentil de una lancha de la marina colombiana que nos deja terminar nuestra maniobra antes de abordarnos para inspeccionar el barco.
Un marino dentro con Laura visita (maletas, cajones, fondo…) la suboficial, afuera con Pierre para llenar formularios. A parte de la pregunta insistente «¿ porqué no llamaron al llegar? », el recibimiento fue agradable, la suboficial acepta mismo de llamar por teléfono al agente del cual teníamos los datos para hacer los trámites de entrada. Tendremos pues cita en media hora con éste en la marina… toda parece desarrollarse bien. Claro 70 dólares para el agente, 35 por persona para el impuesto turístico y estamos bien.
Pagamos 10 dólares por semana el derecho de poner el dinghy en el muelle, podemos ahí comprar agua. Y será practico de saber dónde dejar el dinghy para cuando vayamos pasearnos en San Andrés.
Pequeño paseo por la ciudad, ruidosa, agitada, llena de motos…
Una característica de San Andrés es la música estruendosa, cada quién la suya, pero con gusto de compartirla con todos. Está por todos lados, en los barcos, en los restauranes, en la playa y mismo en algunas motos… ¿Quizás se acostumbra uno?
Mardi 28 décembre
Fr.- Balade à pied : office du tourisme, réservation d’un restau, Le Regatta, pour le 30 (le 31 c’est complet), tour de la pointe nord, ses plages, sa zone piétonne, ses banques et supermarchés.
Le lendemain on loue des vélos pour faire le tour de l’ile : visite d’une maison historique, de la grotte Morgan, le fameux corsaire anglais au 120 enfants (43 femmes), coup d’oeil au hoyo soplador, mais qui ne souffle pas aujourd’hui, trop peu de vagues… juste de quoi être décoiffé en sirotant de l’eau de coco. On fait une pause restau chez Jacine, spécialité poisson, délicieux, puis retour en ville.
Martes 28 de diciembre
Esp.- Paseo a pie : oficina de turismo, reservación de un restaurante, La Regata para el 30 (el 31 está completo), vuelta hasta la punta norte, sus playas, su zona peatonal, sus bancos y supermercados.
Al día siguiente alquilamos bicis para darle la vuelta a la isla : visita de una casa historica, de la gruta Morgan, el famoso corsario inglés que tuvo 120 hijos (43 mujeres), echar un ojo al hoyo soplador, pero que no funciona hoy por falta de olas… justo algo de aire para despeinarse tomando una agua de coco. Haremos una pausa en el resto Jacine, especialidad pez, delicioso, después regreso a la ciudad.
Mercredi 30 décembre
Fr.- On loue un scooter pour terminer le tour de l’ile, qui comprenait quelques côtes un peu raides : d’abord le sentier écologique dans la mangrove.
Miércoles 30 de diciembre
Esp.- Alquilamos un scooter para terminar el recorrido de la isla, que implica costas empinadas : primero el sendero ecológico dentro del manglar.
Fr.- On visite la 1ère église baptiste d’Amérique Centrale, le mirador, la big pond et sa faune (oiseaux, alligators, tortues, et notre guide rasta…).
Esp.- Visitamos la 1a Iglesia bautista de América Central, el mirador, la Big Pond y su fauna (pájaros, caimanes, tortugas, y nuestro guía rasta…)
Fr.- On termine par le jardin botanique, après être retourné chez Jacine, essayer les crevettes… très bonnes également. On mange léger car le soir c’est notre repas de réveillon au Regatta, qui se révèlera aussi très bon
Esp.- Terminamos por el jardín botánico, después de haber regresado a comer con Jacine, camarones… muy ricos también. Comemos ligero puesto que por la noche tenemos nuestra cena de Navidad en la Regatta, que será también muy rico.
Fr.- Le jeudi 31 repos, grasse mat, balade en ville pour quelques courses, et rendez-vous avec Julian, l’agent, pour les formalités de sortie. En effet on a décidé de partir le 1er pour Bocas del Toro.
On se couche tôt, même si on se relève à minuit pour le feu d’artifice…
Esp.- El jueves 31, descanso, despertar tarde, paseo por la ciudad para hacer algunas compras y cita con Julian, el agente, para los trámites de salida. De echo decidimos salir el 1° de enero hacia Bocas del Toro.
Nos acostamos temprano, mismo si nos levantamos a media noche para los fuegos artificiales…
Vendredi 1er Janvier 2022 - 7h
Viernes 1° de Enero 2022
Fr.- Départ pour Bocas del Toro.
Grain, vent fort… On attend un peu, mais on se rend compte que nous sommes très près des bateaux de pêche sur bouées…
Et un autre voilier également. C’est comme si progressivement on avait dérivé dans le sens du vent, constant et assez fort. Une sorte de dérapage lent de l’ancre.
Ca nous pousse à ne pas trainer, on prévient les autorités qui vérifient tout par VHF (équipage, nom du bateau, n° de zarpe…). Dans le chenal ils nous annoncent qu’un cargo va sortir, attention !. Tout se passe bien, on est parti, vent de travers, toutes voiles dehors, pour environ 200 miles, donc forcément une nuit. L’inquiétude est d’arriver avant le début de la 2ème. Pour l’instant on avance bien, même si la houle est revenue un peu au large de l’ile.
Esp.- Salida hacia Bocas del Toro.
Chubasco, viento fuerte... Esperamos un poco, pero nos damos cuenta de que estamos muy cerca de barcos de pesca que están en boyas... Y otro velero también. Es como si poco a poco nos hubiéramos desviado en dirección del viento, constante y bastante fuerte. Una especie de deslizamiento lento del ancla.
Esto nos lleva a no perder el tiempo, se advierte a las autoridades que comprueban todo por VHF (tripulación, nombre del barco, n° de zarpe...).
En el canal nos dicen que va a salir un buque, ¡ cuidado ! Todo va bien, nos hemos ido, viento cruzado, todas las velas fuera, unas 200 millas, así que necesariamente haremos una noche. La preocupación es llegar antes del comienzo de la segunda. Por el momento se avanza bien, aunque el oleaje ha vuelto un poco a lo largo de la isla.
Fr.- On croise 2 cargos, un au loin, l’autre tellement près, et sans aucun signe montrant qu’il va nous éviter, que nous changeons de cap pour le laisser passer.
Vers 4h du matin le vent tombe brusquement. On s’y attendait un peu, vu les prévisions météo, mais c’est vraiment brutal. On met donc le moteur, qui nous permet de continuer presque à 6 knt, préservant l’espoir d’arriver avant la nuit.
Esp.- Nos cruzamos con dos buques, uno a lo lejos, el otro tan cerca, y sin ninguna seña mostrando que vaya a evitarnos, así que cambiamos de rumbo para dejarlo pasar. Hacia las 4 de la mañana el viento cae bruscamente. Nos lo esperábamos un poco, según las previsiones meteorológicas, pero es realmente brutal. Así que ponemos el motor, que nos permite continuar casi a 6 knt, preservando la esperanza de llegar antes de la noche.
Dimanche 2 Janvier 2022
Arrivée à Bocas del Toro
Delfines
Fr.- On aura donc fait les 2/3 sous voile à bonne allure, et 1/3 au moteur… Avant d’arriver, en vue de la côte, c’est un festival de dauphins autour du bateau, moins joueurs qu’à San Andres, mais nombreux.
Puis c’est l’entrée dans la baie d’Almirante, par le canal de Bocas del Toro, avec un courant traversier de 2 ou 3 knt, qui disparaît brutalement à l’entrée entre les îles.
Domingo 2 de enero 2022
Llegamos a Bocas del Toro
Esp.- Entonces habremos hecho los 2/3 con velas a buen ritmo, y 1/3 con el motor… Antes de llegar, a la vista de la costa, es un festival de delfines alrededor del barco, menos jugadores que en San Andrés, pero muchos.
Después es la entrada a la bahía de Almirante, por el canal de Bocas del Toro, con una corriente de través de 2 o 3 knt, que desaparece repentinamente a la entrada entre las islas.
Fr.- Les bouées annoncées sur la carte n’existent pas, mais en fait ne sont pas nécessaires, les hauteurs d’eau sur la carte suffisent pour trouver son chemin, et nous sommes arrivés à temps pour entrer de jour..
On contourne l’île Carenero pour mouiller entre elle et l’ile Colon, en face de la ville de Bocas del Toro. C’est un mouillage assez fréquenté, ça change de tout ce qu’on a vu depuis Rio Dulce, et on retrouve Roberto et son catamaran, mouillé là depuis plusieurs jours. On est dimanche, personne à la VHF, on verra bien demain pour les formalités.
Mouillage Bocas
Esp.- Las boyas anunciadas en el mapa no existen, pero en realidad no son necesarias, la profundidad de agua en el mapa es suficiente para encontrar el camino y hemos llegado a tiempo para entrar de día.
Rodeamos la isla Carenero para fondear entre ella y la isla Colón, frente a la ciudad de Bocas del Toro. Es un fondeadero bastante frecuentado, cambia de todo lo que hemos visto desde Río Dulce y encontramos a Roberto y su catamarán, anclado allí desde hace varios días. Es domingo, no hay nadie en la VHF, así que mañana veremos los trámites.
Lundi 3 Janvier
Fr.- Visite en dinghy, petit café avant d’aller faire les formalités au bureau des autorités maritime, qui convoque les personnes concernées. Port, sanitaire, douane, immigration.
Le tarif, bien défini, est de $45, que l’on règle, pour le reste c’est le gouvernement qui paie le fonctionnaire en charge, pas de frais pour nous… Sauf la douane qui nous demande un dédommagement afin d’éviter de réaliser la visite du bateau, pénible pour tout le monde ! (aller à bord en dinghy, tout vérifier, revenir…). $20 feront l’affaire. Finalement nous irons nous même à l’aéroport, presqu’en ville, pour l’immigration qui tarde à se déplacer.
On retrouve ensuite Jaime dans un petit restau en ville, sur le départ pour le Brésil (un voyage assez long : bateau taxi, bus, avion, re bus…). Visite de la ville.
Chogüi vu du bar
La plus vieille voiture de pompier - el mas antiguo carro de bomberos
Lunes 3 de Enero
Fr.- Visita en dinghy, pequeño café antes de ir a hacer las formalidades en la oficina de las autoridades marítimas, que convoca a las personas a quien les corresponde. Puerto, sanidad, aduanas, inmigración.
La tarifa, bien definida, es de $45, que se paga, por lo demás es el gobierno que paga al funcionario en cuestión, no hay gastos para nosotros... ¡ Excepto la aduana que nos pide una indemnización para evitar realizar la visita del barco, pesada para todos ! (ir a bordo en dinghy, comprobar todo, volver...). $20 bastarán. Finalmente iremos nosotros mismos al aeropuerto, casi en la ciudad, para la inmigración que tarda en desplazarse.
Luego encontramos a Jaime en un pequeño restaurante en la ciudad, saliendo hacia Brasil (un viaje bastante largo : taxi acuático, autobús, avión, re autobús…). Visita de la ciudad.
Fr.- Visite à la marina sur Carenero en particulier pour faire le plein d’eau et de gasoil, avec les jerrycan. On y rencontre Mary, dame du Michigan, patronne de la marina… Discutions des tarifs pour laisser le bateau, et on écoute plein d’histoires qu’elle adore raconter aux visiteurs… Ok pour quelques jerrycan d’eau, mais pour le gasoil c’est sur Colon. On ramène l’eau à bord, puis on revient sur Carenero pour faire le tour à pied, et déjeuner chez Bibi’s, restau fréquenté par les surfeurs…
Esp.- Visita a la marina en Carenero en particular para abastecerse de agua y gasolina, con los bidones. Encontramos a Mary, señora de Michigan, patrona de la marina... Nos presenta las tarifas para dejar el barco, y escuchamos muchas historias que le encanta contar a los visitantes...
Ok, un par de bidones de agua, pero el diésel está en Colón. Traemos el agua a bordo, luego volvemos a Carenero para dar la vuelta a pie, y almorzamos en Bibi’s, un restaurante concurrido por los surfistas…
Fr.- Pour le gasoil c’est le lendemain, en prenant un taxi jusqu’à la station service. On en profite pour réserver des vélos pour demain, le 6 janvier, afin de faire le tour de l’ile Colon, au moins aller vers les plages du nord, Boca del Drago…
Esp.- Para el diésel es al día siguiente, tomando un taxi hasta la gasolinera. Aprovechamos para reservar bicicletas para mañana, el 6 de enero, para dar la vuelta a la isla Colón, al menos ir a las playas del norte, Boca del Drago…
Fr.- En fait la balade à velo nous conduira jusqu’à playa Bluff, par une piste, le long des plages pour surfeur… On se fait un petit restau à Bocas avant de partir, délicieux poulet aigre-doux, pour $4.50. Arrêt à Bluff pour un pot, et retour par la piste…
killer wave
Zopilotes vautours
Esp.- En realidad el paseo en bicicleta nos llevará hasta Playa Bluff, por una pista, a lo largo de las playas para surfistas... Vamos a un pequeño restaurante en Bocas antes de irnos, delicioso pollo agridulce, por $4.50. Parada en Bluff para una copa, y de vuelta por la pista…
Samedi 8 Janvier
Fr.- On prend le bus pour Bocas del Drago, au nord de l’île Colon, avec un arrêt à La Gruta.
C’est une belle balade dans la forêt tropicale, avec l’arrêt dans la petite grotte aux chauves-souris, balade les pieds dans l’eau, pour arriver vers les plages du nord ouest, protégées de la houle.
Flore et faune au menu : murs végétaux le long de la route, vautours, fourmis voraces, chauves-souris, étoiles de mer…
La plage est très agréable, sable fin et eau très claire.
chemin dans la forêt
Pierre à l'entrée
Sábado 8 de enero
Esp.- Tomamos el autobús a Bocas del Drago, al norte de la isla Colón, con parada en La Gruta.
Es un hermoso paseo por la selva tropical, con parada en la pequeña cueva de los murciélagos, paseo los pies en el agua, después llegar a las playas del noroeste, protegidas de las olas.
Flora y fauna en el menú : muros vegetales a lo largo de la carretera, buitres, hormigas voraces, murciélagos, estrellas de mar... La playa es muy agradable, arena fina y agua muy clara.
Cocotier alangui
maison traditionnelle près de la plage
Muro vegetal
luxuriante !
playa desierta
résultat de fourmis voraces
Playa las Estrellas
Utila et Roatán
Mercredi 8 décembre 2021
Nous sommes donc partis de Rio Dulce, avec une étape à Livingston pour les formalités de sortie, puis ce fût le départ pour Utila,
Voici la route suivie de Rio Dulce à San Andres, passant par Utila, Roatan et Providencia.
Camino de Río Dulce a San Andrés, por Utila, Roatán y Providencia
Fr.- On compte arriver à Utila jeudi 9 en début d’après-midi.
En fait nous y arrivons à la tombée de la nuit, on ne veut pas aller mouiller à Puerto de l’Este, où l’entrée n’est pas conseillée de nuit. On va donc aller dans la petite baie protégée, au nord-est de l’île, d’accès plus facile…Èt c’est là que le moteur nous joue des tours.
On avait déjà depuis un moment des bip intempestifs, signalant un problème de pression d’huile. Mais c’était très ponctuel et de temps en temps. Je mettais ça sur le compte de l’agitation lié aux vagues. Mais là c’est devenu continu, et le moteur, au ralenti, s’arrête… Il n’est plus question d’aller mouiller, de nuit dans cette crique.
On est quand même très fatigués de la nuit précédente, on va donc trouver le moyen de se mettre à la cape, protégé par l’île, pour pouvoir se reposer.
En fait on continue à avancer à 2 knt à la cape, on se choisit une zone où on a une marge de 6 ou 7 miles, et on fait des aller-retour, qui prennent entre 2h et 3h, ce qui permet que l’un dorme, l’autre surveille, et on échange.
Miércoles 8 de diciembre 2021
Salimos de Rio Duce, con una etapa a Livingston por los tramites de salida, y despues la salida a Utila.
Esp.- Contamos llegar a Utila el jueves 9 a principios de la tarde.
En realidad llegamos ala caída de la noche, no queremos ir a Puerto del Este, donde la entrada no es aconsejable de noche. Nos dirigimos pue a la pequeña bahía protegida, al noreste de la isla, mas fácil… Y eh ahí que el motor hace de las suyas.
Ya desde hace tiempo oíamos unos bips intensivos, señalándonos un problema de presión del aceite. Pero era puntual y de vez en cuando. Él atribuía eso a la agitación de las olas. Pero eh ahí que eso era mas frecuente y el motor, en marcha lente se paraba… No había caso de ir a fondear, de noche en esa ensenada.
Estamos bastante cansados de la noche precedente , vamos pues a encontrar otra solución que es de ponerse a « la cap », protegidos por la isla y así poder descansar.
De echo seguimos avanzando lentamente a 2knt, derivando… escogimos una zona donde tenemos un margen de 6 a 7 millas, y vamos de ida y vuelta, que nos lleva entre 2h y 3h, lo que nos permite a uno dormir, y el otro vigilar, y cambiamos.
Fr.- Lorsque pointe le jour, vers 6h, on se dirige vers Puerto del Este, on verra bien si le moteur nous permet d’entrer et d’aller jeter l’ancre… En fait non, on entre donc à la voile, en suivant sur la tablette, on affale, on va sur l’erre jusqu’où on peut, on mouille. Finalement ça s’est pas mal passé.
C’est le moment de regarder au niveau du moteur, et là surprise, il y a plein d’huile sous le moteur. En fait, il y en a même pas mal dans la cale. Je comprend le manque de pression. C’est un peu inquiétant, mais on verra ça une fois les formalités accomplies.
Le capitaine du port passe à côté de nous, on lui explique notre problème de moteur, qu’on a essayé de l’appeler pour être aidé pour entrer dans la baie, sans réponse.
Il nous répond qu’il nous a entendu, mais que sa réponse ne passait pas, et il nous demande si c’est bien nous le bateau français qui avions déclenché une balise ?
On ne comprend pas bien, on dit que non, mais on verra ça en faisant les papiers un peu plus tard. Pour l’instant, un peu de repos, un somme d’une petite heure s’impose.
Ensuite nous voilà débarquant à Utila, très bien accueilli par l’immigration et la capitainerie.
L’histoire de balise dont nous parlait le capitaine n’était pas clair pour nous, mais on a pensé que cela pouvait venir de Philippe, chargé de nous suivre avec Spot et alerter en cas de problème.
Il a trouvé que notre trace de la nuit avait l'air compliquée, et qu’on avait peut-être des problèmes. Il a demandé au Cross de se renseigner, et la marine Honduras a cherché à savoir si tout allait bien ! Donc le Cross fait bien son boulot, et sait qui contacter dans la région en fonction de notre position. En fait là on n’avait pas besoin d’aide, mais c’est bien d’avoir testé la procédure.
La capitainerie d’ici a peur de retrouver l’huile dans la baie, paradis des plongeurs.
Elle nous a mis en contact avec un gars qui va nous amener à son ponton, nettoyer l’huile et trouver un mécano pour voir quoi faire.
Esp.- Cuando amanece, hacia las 6h, nos dirigimos hacia Puerto Este, veremos a ver si el motor nos permite entrar e ir a anclar… De echo no, entonces entramos con las velas, y siguiendo el camino con la tableta, bajamos la vela, y seguimos con el impulso hasta donde podamos anclar, echo… Finalmente todo salió bien.
Es el momento de ver el motor, y la sorpresa, había mucho aceite debajo. De echo hay mucho en el fondo del barco. Él cree que es la falta de presión. Es un poco inquietante, pero se verá eso una vez echo los trámites realizados.
El capitán del puerto pasa a nuestro lado, le explicamos nuestro problema del motor, que tratamos de llamar para que nos ayuden a entrar en la bahía, pero no hubo respuesta. Nos contestó que nos oyó , pero que su respuesta no pasaba, y nos pregunta si éramos nosotros el barco francés que habíamos activado el transmisor localizador de emergencia?
No entendemos bien, le decimos que no, pero veremos eso haciendo los trámites más tarde. Por el momento, un poco de reposo, una siesta de una hora se impone.
Entonces aquí estamos desembarcando en Utila, muy bien recibidos por la imaginación y la capitanía.
La historia del localizador, del cual nos había hablado el capitán no era muy clara para nosotros, pero pensamos que eso podía venir de Philippe, encargado de seguirnos con Spot y alertar en caso de problema.
Encontró que nuestro trayecto de la noche parecía complicado, y que quizás teníamos problemas. Pidió al socorro marítimo de informarse, y la marina de Honduras quizo informarse para saber si ¡ todo iba bien ! Entonces el socorro marítimo hizo bien su trabajo, y sabía con quién ponerse en contacto en la región en función de nuestra posición. De echo ahí no teníamos necesidad de ayuda, pero estuvo bien de haber intentado el procedimiento.
La capitanía de aquí teme encontrar aceite en la bahía, paraíso de buceadores. Nos puso en contacto con un chico que nos llevará a su muelle, limpiará el aceite y encontrar un mecánico para ver qué hacer.
Fr.- On est donc remorqué au ponton de Bush, un club de plongée mais qui fait aussi station d’essence, super-marché, tenu par Dennie et sa famille…
On va y rester pour nettoyer le bateau (sans polluer), et attendre le mécanicien qui va diagnostiquer, et j’espère réparer le problème.
En attendant (il traîne un peu à venir. On l’attendait vendredi 14h, on espère le voir lundi), on se repose, on bricole ce qu’on a vu qui le nécessitait après cette reprise de navigation.
Esp.- Nos remolcará al muelle de Bush, un club de buceo pero que se ocupa también de vender gasolina, supermercado, manejado por Dennie y su familia.
Nos quedaremos para limpiar el barco (sin contaminar), y esperar al mecánico que vendrá ha hacer un diagnóstico y esperamos repare el problema.
Mientras tanto (tarda un poco en venir. Le esperábamos el viernes a las 14, esperamos verle el lunes), descansado, hacemos trabajitos que se necesitaban después de que retomamos la navegación.
Fr.- On se promène dans Utila, qui rappelle un peu Caye Caulker au Belize.
Beaucoup de touristes, américains, ici pour faire de la plongée. Beaucoup de club de plongée, même une école d’apnée, qui promet d’apprendre à descendre à 20 m.
D’ailleurs, ici, c’est un mélange d’anglais et d’espagnol, plus anglais disent certains (alors que sur le continent, le Honduras est officiellement hispano-hablante).
Fr.- Même les mesures sont un mélange de système métrique et d’unités américaines. Beaucoup d’américains semblent aussi installés ici. Beaucoup d’hotel, chambres, gites, beaucoup de restau, et une plage qui demande un droit d’entrée pour l’entretenir et la maintenir propre. On peut aussi aller au bar-restau de la plage…
Retour à la plage, cette fois pour y déjeuner, puis profiter de la plage et de la douche.Très agréable.
Et, surprise, on retrouve Jaime, plutôt il nous retrouve au bar… Ils ont eu un problème de refroidissement au sortir de Livingston, route pour Puerto Cortez, sur la côte Hondurienne pour réparer, puis arrivée à Utila, finalement après nous, et pour y régler d’autres problèmes…
Esp.- Mismo las medidas son una mezcla del sistema métrico y unidades americanas. Aparentemente muchos americanos se instalas aquí. Muchos hoteles, cuartos, refugios, muchos restos, y una playa que pide derecho de entrada para el cuidado y mantenimiento de ésta. Se puede ir al bar-resto de la playa.
Regreso a la playa, esta ves para comer, y aprovechar de la playa y de la ducha. Muy agradable.
Y sorpresa, nos encontramos con Jaime, mas bien él nos encontró en el bar… Tuvieron un problema de enfriamiento del motor al salir de Livingston, se dirigen hacia Puerto Cortés, por la costa hondureña para repara, después finalmente dirigirse a Utila u llegar después, para reparar otros problemas…
Lundi 13 décembre
Fr.- le mécanicien est finalement venu, et il est tout à fait d’accord avec mon diagnostic : le problème vient du filtre à huile, qui s’est soit desserré, soit il y a un défaut de planéité au niveau du joint. On refait le plein d’huile, on démarre, en effet c’est là que ça fuit. Le mécano change le filtre, après avoir passé du papier de verre où s’appuie le filtre. On redémarre, ça ne fuit plus. On laisse tourner un peu, le moteur s’étouffe et cale… Peut-être aussi un problème de gasoil ?
Je remets 10 l des jerrycans, et là tout va bien. Le manque de gasoil, alors qu’on était secoué dans les vagues, a peut-être évité que le moteur tourne sans huile !
On ajuste le plein d’huile, on fait également le plein de gasoil, et tout semble en ordre.
On va profiter encore un peu d’être au ponton pour se promener, faire réparer la moustiquaire du panneau avant. Ici le problème des moustiques est très pénible. Ils sont petits, on ne les voit pas, mais au lever et au coucher du soleil, c’est infernal. De temps à autre, à d’autres heures aussi on peut passer à côté d’un endroit infesté, mais aux heures critiques il n’y a pas moyen d’y échapper. Au restau de la plage, chaque table a à son pied en permanence un tortillon anti-moustique coincé dans une bouteille. On fera de même dans le bateau…
Lunes 13 de diciembre
Esp.- El mecánico finalmente vino y está de acuerdo conmigo sobre el diagnóstico : el problema viene del filtro de aceite que o se aflojó, o tenia un defecto a nivel de la junta. Volvemos a echar aceite, arrancamos, en efecto era de ahí que había la fuga.
El mecánico cambia el filtro, después de lijar ahí donde apoya el filtro. Arrancamos de nuevo y ya no hay más fuga. Dejamos marchar un poco el motor y ahoga y se apaga… Quizás también es un problema de gasolina? Le ponemos 10l y ahí todo va bien. La falta de gasolina, después de haber estado sacudidos por las olas, ¡ quizás evitó que el motor ande sin aceite ! Le ponemos más aceite, ponemos más gasolina y todo parece entrar a la normalidad.
Vamos a aprovechar un poco mas de estar en el muelle para pasearnos, dar a reparar la mosquitera del panel delantero. Aquí el problema de mosquitos es muy pesado.
Son pequeños ni se les ve, pero al amanecer y anochecer es infernal. De ves en cuando, a otras horas también cuándo pasamos por algunos lugares infestados, pero a las horas críticas no hay medio de escaparse.
En el resto de la playa tienen espirales contra estos al pie de cada mesa, haremos lo mismo en el barco.
Fr.- On va aussi bricoler encore un peu, et peut-être s’initier à la plongée… Une petite journée, cours théorique d’une heure, première plongée en milieu fermé, 1 m d’eau, puis 2 plongée à 12 m, sur la barrière de corail. A voir si les oreilles de Laura le permettent.
L’initiation à la plongée a eu lieu. Super expérience, et Carlos, notre formateur particulier, super. On en apprend plus que j’imaginais, sur la pression, bien sûr, mais aussi le controle de la flottabilité et la gestion (théorique pour nous) de l’azote. Les deux plongées en vrai, très bonne expérience…
Esp.- Vamos a seguir trabajando en el barco, y quizás hacer una iniciación de buceo… Una mañana, curso teórico de de una hora, primer buceo en medio cerrado, 1m de agua, después 2 buceos a 12m, en la barra de coral. A ver si los oídos de Laura lo permiten.
La iniciación al buceo la hicimos. Súper experiencia, Carlos el instructor particular, genial. Aprendemos más de lo que imaginábamos, sobre la presión, claro, pero también el control de la flotabilidad y la control (teórico para nosotros) del azote. Las dos bajadas reales buceando, muy bonita experiencia.
Vendredi 17 décembre
Départ pour Roatán
Fr.- Une trentaine de mile à faire, avec le vent dans le nez. Cette fois on arrête le moteur assez vite, et on tire quelques bords. Il est un peu tard pour arriver tranquillement du côté de French Harbour, on fera donc un mouillage du côté de West End. On se pose un peu des questions à propos du passage derrière la barrière de corail, mais en suivant les instructions de notre guide, on se trouve face à deux petit poteaux indiquant la passe. Ca roule, on entre, on avance un peu pour n’avoir pas trop d’eau, et on mouille. Mouillage très sympa, on est seul mais avec pas mal de passage de bateaux à moteur jusqu’au début de la nuit.
Un petit bain, vérification de la chaine posée sur un fond d’algues…
Coucher de soleil, lever de lune… et au lit.
Le lendemain, vers 6h30 on est réveillé par un gars en barque qui nous appelle et nous annonce qu’il est interdit de mouiller là. Et que l’on doit partir immédiatement. En fait il y a des bouées, un peu au sud, mais petites et on ne les a pas vues. L’étonnant est que le gars, sympa par ailleurs, nous dit qu’on a le choix : $10 la bouée par nuit, où $2 par pied dans la marina un peu au nord.
Comme nous avons mouillé alors que c’est interdit, il ne demande pas de payer mais de partir…
Ok, on y va, on comptais ne pas trop trainer pour partir pour French Harbour, c’est fait.
Viernes 17 de diciembre
Salimos a Roatán
Esp.- Unas treinta millas por hacer, con un viento de frente. Esta ves paramos el motor muy pronto, hacemos varias maniobras. Es un poco tarde para llegar tranquilamente del lado de French Harbour, iremos pues a anclare del lado de West End.
Nos hacemos algunas preguntas a propósito del pasaje detrás de la barra de coral, pero siguiendo las instrucciones de nuestro guía , nos encontramos frente a dos postes que indican el paso. Listo, entramos, avanzamos un poco para no tener mucho fondo y poder anclar. Lugar es muy simpático, estamos solos pero con mucho tráfico de lanchas con motor hasta principios de la noche.
Al día siguiente hacia las 6h30 nos despierta un chico en su lancha que nos llama y nos anuncia que está prohibido anclar ahí. Y que debemos irnos inmediatamente. De echo hay boyas, un poco al sur, pero pequeñas y no las habíamos visto. Lo extraño es que el chico, simpático por otro lado, nos dice que podemos escoger : 10 dólares por noche, en una boya o 2 dólares por pie del barco en una marina un poco al norte.
Como anclamos en un lugar prohibido, no nos pide de pagar pero que tenemos que irnos… Ok nos vamos, no planeábamos quedarnos demasiado tiempo ahí, para salir hacia French Harbord, está echo.
Fr.- Navigation sympa, un peu de vent, portant pour passer la pointe de l’ile, puis quelques bords pour atteindre la French Bay, où finalement on repère les petits piquets qui balisent l’entrée dans la baie. Il y a pas mal de coraux partout, attention…
Il y a quelques voiliers mouillés, on se met à côté d’un gros vieux rouillé, avec un autre à couple de lui, visiblement un assemblage qui ne doit plus vraiment naviguer.
Mouillage ok, peut-être un peu près d’eux si le vent tourne au nord. Pour l’instant il est Est, assez fort, et on tire des bords, protégé des vagues par la barrière de corail.
Esp.- Navegación agradable, un poco de viento, por el lado para pasar la punta de la isla, después algunas maniobras para llegar a French Bay, donde finalmente encontramos los puntos de referencia que marcan la entrada a la bahía. Hay mucho coral por todos lados cuidado…
Hay algunos veleros anclados, nos ponemos al lado de un velero viejo roido, con otro pegado a él, aparentemente un conjunto que no deven navegar mucho.
Fondeo ok, quizás un poco cerca de ellos si el viento cambia al norte. Por el momento es Este, bastante fuerte, y nos movemos pa allá pa acá, protegidos de las olas por la barra de coral.
Fr.-Visite de French Harbour : on débarque en annexe pas très loin d’où nous sommes ancrés, où des singes et des paresseux sont une attraction. Il y en a pour 30 mn à pied par la route bordée de splendides villas, de grandes propriétés et d’une végétation soignée.
Arrivés à French Harbour, ce n’est plus pareil. C’est plutôt populaire, des petites baraques, pas mal de monde mais rien pour prendre un pot, un restau ou quoi que ce soit. A part le Roatan Yacht Club, avec presque aucun client, mais beaucoup de personnel.
Esp.- Visita de French Harbour : vamos a tierra en dinghy no muy lejos de donde estamos anclados, donde los changos y los monos perezosos en jaulas son la atracción. Tenemos 30min. a pie por la ruta bordeada de espléndidas villas, de grandes propietarios y con jardines bien cuidados.
Llegando a French Harbour, no es lo mismo. Es más bien popular, pequeñas casas, mucha gente, y nada para tomar algo, o para comer. A parte el Roatán Yacht Club, casi sin clientes, eso sí mucho personal.
Fr.- On passe au supermarché, bien achalandé, et on se prépare à prendre le bus pour le retour. En fait ce sont des vans, bondés… On prendra un taxi, collectif.
Le lendemain on retourne à terre, mais cette fois pour aller explorer l’autre côté, vers l’est : lions en cage et iguanes en liberté au menu ! Une petite marina et une dame sympa qui nourrit les iguanes.
Esp.- Vamos al supermercado, muy bien surtido y nos prestamos a tomar el bus de regreso. De echo son camionetas repletas… Tomaremos un taxi, colectivo.
Al día siguiente regresamos a tierra, pero esta vez para ir a explorar el otro lado, hacia el este : leones enjaulados e iguanas en par ¡ libertad para el menú ! Una pequeña marina y una señora simpática que le da de comer a las iguanas.
Fr.- Dernière balade à French Harbour, pour remplir le jerrycan de gasoil, passer au supermarché et charger la carte Claro… Cette fois on est pris en stop par un bus privé, qui sera bientôt chargé des clients d’un « cruseiro ». Retour en bus, où je termine à genou derrière un siège tellement le van est bondé !
Ce matin, mardi, le pêcheur à qui on avait donné 200 lempiras et qui devait revenir lundi avec du poisson est finalement passé. On aura du poisson à midi.
Balade à Big French Caye, en face, avec à nouveau un tigre, et une lionne jouant à la balle, en cage. Puis ce sera Coxen Hole (la capitale) pour faire les formalités de sortie. Normalement on part demain matin, mercredi, avec un vent Nord…
Esp.- Último paseo a French Harbour, para llenar los bidones de gasolina, pasar al super y recargar la chip… Esta ves nos dio un aventón un buen privado, que pronto estará lleno de clientes de un « crucero ». Regreso en bus, donde Pierre termina en rodillas detrás de un asiento ¡ tanto la furgoneta estaba repleta !
Esta mañana, martes, el pescador a quien le habíamos dado 200 lempiras y que debía de haber venido el lunes con el pescado, finalmente paso. Tendremos pescado para el medio día.
Paseo a Big French Caye, en frente del fondeo, y otra vez un tigre, y una leona jugando con una pelota, en jaula. Depués iremos a Coxen Hole (la capital) para hacer los trámites de salida. Normalmente nos vamos al día siguiente por la mañana, miércoles, con un viento del Norte…
Retour à Río Dulce
Le retour à Río Dulce, nous fera passer par México pour un court séjour, puis une semaine de balade au Guatemala : Guatemala City, CHichicastenango, Le Lac Atirlán et Antigua Guatemala.
El regreso a Río Dulce, nos hará pasar por México para una corta estancia, luego una semana de paseo por Guatemala: Guatemala Ciudad, Chichicastenango, Lago Atirlán y Antigua Guatemala.
Vendredi 2 novembre 2021
Fr.- Nous prenons l’avion pour Mexico, via Madrid.
Nous passerons 10 jours à Mexico, en famille, avec quelques balades au centre ville.
Esp.- Tomamos el avión rumbo a México, vía Madrid.
pasaremos 10 días en México, con la familia, paseándonos en el centro de la ciudad.
Chez ma mère, dans son quartier ils ont instalé un « hôtel dédié au morts »
Por donde vive mi mamá instalaron un hotel dedicado a los muertos
Dans le marché : " vente de « carnitas "
Y en el mercado vendían carnitas.
Fr.- Le mexique conserve encore ses traditions d'antan : aiguiseur de couteaux
Esp.- México conserva aún sus tradiciones de antaño : afilador de cuchillos
Fr.- On se baladant dans le centre de la capital, on entre dans une église et à ma grande surprise je vois qu’ils ont installé un hôtel dédié au morts...
Esp.- Paseándonos por en centro de la ciudad, entramos en una iglesia y a mi gran sorpresa, ví que instalaron un altar dedicado a los muertos...
Fr.- Une « féria » indigène est organisée sur la place du zócalo, avec beaucoup d’artisanat local des indigènes des environs de la capitale.
On verra également quelques sculptures de crânes installés au moment de la célébration de la fête des morts, et quelques "alebriges" le long de l’avenue Hidalgo.
Visite du musée Kaluztu, anciennement un couvent, sur l’avenue Hidalgo, avec ma copine Teresa : varietés de peintures mexicaines de diverses époques.
Esp.- Veremos en el Zócalo una feria organizada por indígenas, con muchos artesanos locales indígenas de los alrededores de la capital.
Veremos igualmente algunas esculturas de cráneos de la celebración de la fiestas de los muertos y algunos alebriges a lo largo de la avenida Hidalgo.
Visitamos el museo Kaluztu, antiguamente un convento, sobre la avenida Hidalgo, con mi amiga Teresa : una variedad de pinturas mexicanas de diferentes épocas.
Retour à Guatemala
Vendredi 12 novembre
Fr.- Nous prenons l’avion pour Guatemala, assez chargés du matériel qu’on rapporte au bateau. A l’arrivée à l’aéroport nous récupérons la voiture réservée (ça prend beaucoup de temps), et en route pour l’hôtel Spring, au centre ville, où on arrive assez tard. L’hôtel est très bien, avec des jardins intérieurs agréables. On y laissera les bagages pour une excursion d’une semaine dans les hauts plateaux de l’ouest.
Regreso a Guatemala
Viernes 12 noviembre
Guatemala City
Esp.- Tomamos el avión para Guatemala, bien cargados con material que llevamos para el barco. Al llegar al aeropuerto recuperamos un coche alquilado (que toma mucho tiempo), y ruta hacia el hotel Spring, en el centro de la Cd., en donde llegaremos muy tarde. El hotel es muy bonito y confortable, con sus jardines interiores agradables. Dejaremos las maletas, para irnos de excursión una semana el altiplano oeste.
Hotel Spring
Samedi 13 novembre
Chichicastenango
Fr.- On arrive d’abord à Chichicastenango, réputé pour son marché du jeudi et dimanche. On débarque en voiture dans les ruelles du marché, sans être bien sûr qu’on pourra passer. Un vieux monsieur monte à bord avec sa petite fille, et nous guide jusqu’à l’hôtel Chalet. Le propriétaire, Manuel, est très agréable, parle beaucoup et donne des conseils de visites. La chambre est simple, petite mais confortable, et le petit dej très bon, avec du pain maison tout chaud.
Sábado 13 de noviembre
Esp.- Llegamos primero a Chichicastenango, famoso por su mercado de los jueves y domingos. Llegamos en coche por las calles del mercado, sin estar bien seguros de que pasaríamos. Un Sr. de edad se sube al coche con su hija y nos guía hasta el hotel Chalet. El propietario Manuel, es muy agradable, habla mucho y da buenos consejos para visitar. El cuarto es sencillo, pequeño pero confortable y el desayuno muy bueno con un pan echo en casa bien calentito
Dimanche 14 novembre
Fr.- Balade dans le marché, une partie dans des bâtiments mais qui occupe aussi toutes les rues du centre, couvertes de toiles.
Marché très coloré, par les vêtements des indigènes, par les fruits et légumes, par l’artisanat en général. Un peu touristique, mais également très fréquenté pour toute une population locale, qui vient vendre mais aussi acheter ses vêtements. Nous en achèterons également. Il y a aussi un petit marché d’animaux : poules, canards, dindons…
Domingo 14 de noviembre
Esp.- Paseo por el mercado, una parte en edificios pero que ocupan también las calles del centro, cubiertos de telas. Mercado muy colorido, por los vestidos de los indígenas, por las frutas y legumbres, por la artesanía en general. Un poco turístico, pero igualmente muy frecuentado por toda la población local, que vienen a vender pero también a comprar su ropa. Nosotros compraremos igualmente. Hay también un pequeño mercado de animales : gallinas, patos, guajolotes…
Fr.- Nous visiterons la cathédrale, puis le cimetière, très coloré, alors que les maisons du village sont toutes en ciment brut, sans peinture. Les tombes sont très simples, à même la terre, très serrées pour certaines, sous forme de mausolées imposants pour d’autres. Des cérémonies « syncrétiques » s’y déroulent, à base d’offrande de nourriture et de feux de copal, pratiquées par les diverses confréries.
Esp.- Visitamos la catedral, después el cementerio, muy colorido, mientras que las casas del pueblo son todas de cemento bruto, sin pintura, Las tumbas son muy sencillas, al ras del suelo, algunas muy apretadas, otras en forma de mausoleo imponentes. Se celebran ceremonias « sincretismo » consisten en ofrendas con comida y queman el copal, practicado por varias cofradías.
Fr.- On a prit un Tuktuk pour aller visiter le centre cérémoniel de Pascual Abaj suivi de la visite du musée des masques, guidée par la petite fille du fondateur du musée. Très intéressant
Esp.- Tomamos un Tuktuk para ir a visitar el Centro Ceremonial de Pascual Abaj, seguido de la visita del museo de máscaras, guiados por la nieta del fundador del museo. Muy interesante.
Fr.- On retourne en ville en tuktuk, et on tombe au milieu d’une fête dans la rue, où le son des baffles est si fort qu’on vibre nous même. Ici on se nourrit de tacos al pastor, de tamales de banane et de haricots, pour Pierre, fruits et gélatines pour Laura.
Plats typiques dans ces régions
Esp.- Regresamos al pueblo en Tuktuk, y caemos en medio de una fiesta de la calle, donde les sonido de las bocinas es tan fuerte que nosotros mismos vibramos. Aquí nos alimentamos de tacos al pastor, y tamales de plátano y frio para Pierre, fruta y gelatinas para Laura. Platos típicos de por estos lares
Lundi 15 novembre
Fr.- Le lendemain nous repartons en direction de Quetzaltenango, toujours dans les hauts plateaux où il fait assez froid pour un pays tropical. Mais il est vrai que nous sommes à plus de 2000 m d’altitude. Notre projet est de passer par quelques villages, dont San Francisco el Alto, où se tient un important marché aux bestiaux.
En fait notre voyage sera interrompu par une manifestation, avec fermeture de la route pour plusieurs heures. Ce n’est pas sans rappeler les « gilets jaunes »… Heureusement nous sommes bloqués près d’un petit restaurant où nous pourrons déjeuner plus tard.
C’est un collectif des communautés indigènes, Codeca, qui revendique contre
l’augmentation du prix des carburants, de la nourriture quotidienne, mais également contre la corruption, contre les expropriations des indigènes, et pour une meilleure représentation de leurs communautés au parlement où seule une députée est élue pour le moment.
La matinée et le début d’après midi se passe en prises de parole, discussions, explications… C’est bon enfant, même si parfois les manifestants doivent s’excuser de bloquer tout le monde, bus, travailleurs, voyageurs, … Mais ils ne sont pas responsables.
La route devrait rouvrir vers 16h, mais lorsque nous apprenons que demain ce sera la même chose et qu’on sera bloqué à nouveau du côté de Quetzaltenango nous renonçons et prenons la direction du retour, vers Panajachel sur le lac Atitlan.
Lunes 15 de noviembre
Esp.- Al día siguiente salimos hacia Quetzaltenango, siempre en el altiplano donde hace mucho frío para un país tropical. Pero es claro que estamos a más de 2000m de altura. Nuestro proyecto es pasar por algunos pueblos como San Francisco el Alto, dónde hay un importante mercado de bestias.
Nuestro viaje será interrumpido por una manifestación, impidiendo el paso por la carretera durante algunas horas. nos hace pensar en los « giles jaunes » (huelgas en Francia)…
Afortunadamente estamos bloqueados frente a un pequeño restaurant donde podremos comer mas tarde.
Es un colectivo de comunidades indígenas, Codeca, que reivindican contra el aumento del precio del carburante, de la comida cotidiana pero igualmente contra la corrupción, contra la expropiación de los indígenas y por una mejor repartición de sus comunidades en el parlamento donde sólo un diputado es elegido hasta entonces.
Por la mañana y el principio de la tarde se pasan la palabra unos a otros, discusiones, explicaciones… Todo muy ameno, mismo si a veces los manifestantes se excusan por haber bloqueado a todos, buses, trabajadores, visitantes… Pero no son ellos los responsables…
La ruta deberá abrir las 16h, pero cuando nos enteramos que al día siguiente será la misma cosa y que de nuevo habrá bloqueo del lado de Quetzaltenango, renunciamos y tomamos la dirección de regreso hacia Panajachel sobre el lago de Atitlán.
Mardi 16 novembre
Panajachel
Fr.- On y arrive en fin d’après-midi. Le village est sympa et notre hôtel (Utz Jay, la bonne maison en kachiquel) est très agréable : un jardin exubérant, des chambres confortables, massage pour Laura et temazcal (sauna, tej en kachiquel) pour les deux.
Martes 16 de noviembre
Esp.- Llegamos el finalizar la tarde. El pueblo es simpático y nuestro Hotel (Tus Jay, bonito lugar en kachique)es muy agradable : un jardín exuberante, cuartos confortables, masaje para Laura y temazcal (sauna, ten en achique) para los dos.
Fr.- Une des rues principales, Santander, est bordée de boutiques d’artisanat, de restau.
Ce seront trois jours très agréables, avec un tour privé qui nous emmènera dans trois villages au bord du lac, San Juan la Laguna, San Pedro la Laguna y Santiago Atitlán.
Volcán Cerro de Oro
Il ressemble étrangement à l'éléphant du Petit Prince
Se parece extrañamente al elefante del Principito
Esp.- Una de las principales calles es Santander, con tiendas de artesanos y restaurantes. Serán tres días muy agradables, con un tour privado que nos llevará a tres pueblos a orillas del lago, San Juan la Laguna, San Pedro la Laguna y Santiago Atitlán.
Fr.- On y verra l’artisanat du chocolat, du tissage du coton et des peintures locales.
Esp.- Veremos la artesanía del chocolate, del tejido del algodón y de las pinturas locales.
Fr.- On nous montrera un livre d’astrologie maya, Mayahuel, avec les signes correspondant à nos dates de naissance…
Signo de Laura
Esp.- Nos mostrarán un libro de astrología maya, Mayahuel, con los signos correspondientes a nuestras fechas de nacimiento...
Fr.- Une petite marche vers un mirador d’où on domine le lac entouré de ses volcans : magnifique paysage.
Esp.- Una pequeña caminata hacia un mirador desde donde se domina el lago rodeado de sus volcanes : magnífico paisaje.
Panajachel
Números mayas
Jeudi 18 novembre
Antigua
Fr. Après un petit dej au restau El Tipico (oeufs, haricots, fruits, jus et café), on prend le chemin d’Antigua, une des anciennes capitales, détruite par un tremblement de terre et reconstruite.
C’est une ville très agréable, jolie avec ses bâtiments coloniaux de 2 étages, où l’on se promène à pied. Le marché, comme souvent, est très intéressant, d’ailleurs nous y déjeunons une comida corrida.
Notre hôtel, Posada San Carlos la Cascada, est très très moyen, mais bon marché, et bien situé.
On visite la Merced, sa cathédrale, son cloître avec une des fontaine les plus grandes d’Amérique centrale, et quelques informations sur l’histoire de Antigua et de l’ordre des Mercédariens.
Beaucoup d’églises, de couvents, détruits par les tremblements de terre.
Peintres locaux reproduisant les scènes typiques des rues d’Antigua dominées par les volcans alentours.
On dine au ‘Lune de miel’, restau français recommandé par des canadiens croisés à Chichicastenango. Bon repas et joli cadre, avec en point d’orgue un petit jet de lave du volcan Fuego, visible depuis le restau à la nuit tombée.
Jueves 18 noviembre
Antigua
Esp.- Fr. Después de un desayuno en el restaurante El Tipico (huevos, frijoles, frutas, jugos y café), se toma el camino de Antigua, una de las antiguas capitales, destruida por un terremoto y reconstruida.
Es una ciudad muy agradable, bonita con sus edificios coloniales de 2 plantas, donde se pasea a pie. El mercado, como a menudo, es muy interesante, por otra parte almorzamos una Comida corrida.
Nuestro hotel, Posada San Carlos la Cascada, es muy medio, pero barato, y bien situado.
Se visita la Merced, su catedral, su claustro con una de las fuentes más grandes de América Central, y algunas informaciones sobre la historia de Antigua y de la orden de los Mercédariens.
Muchas iglesias, conventos, destruidos por los terremotos.
Pintores locales que reproducen las escenas típicas de las calles de Antigua dominadas por los volcanes circundantes.
Se cena en el ‘Luna de miel', restaurante francés recomendado por canadienses cruzados en Chichicastenango. Buena comida y bonito entorno, con un pequeño chorro de lava del volcán Fuego, visible desde el restaurante al anochecer.
resto Frida petit feu d'artifice du volcan fuego
Samedi 19 novembre
Fr.- Dernière balade en ville avant de rentrer à Guatemala. Petit dej au restau Cuevita de los Urquizú, cour intérieure ornée de plantes tropicales, puis un café dans un bar mexicain, ‘Frida’s, où la décoration, très jolie, est centrée autour de Frida Kahlo.
Puis se sera le retour à Guatemala, beaucoup plus agitée et stressante. Traffic intense pour arriver en ville, passer à l’hotel laisser nos sacs chargés des achats des jours derniers, et rendre la voiture dans un hôtel de luxe au sud de la ville. Diner au centre ville où tout est fermé à 21h, et où on doit se contenter d’un Taco Bell !
Le lendemain bus pour Rio Dulce. Un voyage agréable, de 6h de route où l’on passe progressivement des haut plateaux froids à la chaleur tropicale au niveau de la mer.
Sábado 19 de noviembre
Esp.- El último paseo por la ciudad antes de volver a Guatemala. Desayuno en el restaurante Cuevita de los Urquizú, patio interior adornado con plantas tropicales, y luego un café en un bar mexicano, ‘Frida’s, donde la decoración, muy bonita, se centra alrededor de Frida Kahlo.
Entonces será el regreso a Guatemala, mucho más agitada y estresante. Tráfico intenso para llegar a la ciudad, pasar por el hotel dejar nuestras bolsas de compras de los últimos días, y devolver el coche en un hotel de lujo en el sur de la ciudad. Cena en el centro de la ciudad, donde todo está cerrado a las 9:00, ¡y tenemos que conformarnos con un Taco Bell!
El siguiente autobús a Río Dulce. Un viaje agradable, de 6 horas de camino, donde se pasa progresivamente de las altas mesetas frías al calor tropical al nivel del mar
20 Novembre 2021
Fr.- On y retrouve l’hotel de la marina Nanajuana où nous avons laissé le bateau.
On le retrouve très sain et pas trop humide. On y fera quelques bricolages, re-installer le safran après le changement des paliers, carénage et antifouling, et enfin remise à l’eau.
20 de noviembre de 2021
Esp.- Allí se encuentra el hotel de la marina Nanajuana donde dejamos el barco.
Se encuentra muy sano y no muy húmedo. Se harán algunas trabajos, se volverá a instalar el azafrán después del cambio de los cojinetes, limpiar el casco y antifouling, y finalmente se volverá a poner en el agua.
Fr.- On fait encore la maintenance du moteur, et on est presque prêt à repartir.
Reste à faire des provisions et attendre une fenêtre météo favorable, car on a pas mal de route à faire qui risque d’être face au vent le long de la côte du Honduras, puis dans le large contour de la pointe du même Honduras, avant de trouver des vents plus portants, vers le sud en direction de Bocas del Toro, au Panama.
Esp.- Seguimos haciendo el manteniendo a motor, y estamos casi listos para zarpar.
Queda por hacer provisiones y esperar una ventana meteorológica favorable, ya que tenemos muchas camino por hacer que pueden ser frente al viento a lo largo de la costa de Honduras, luego en el amplio contorno de la punta de la misma Honduras, antes de encontrar vientos más favorables, hacia el sur en dirección a Bocas del Toro, Panamá
Fr.- Pour l’instant on patiente, en faisant connaissance de bateaux voisins : on retrouve Roberto, l’argentin pilier de Nanajuana (il y est depuis presque 8 ans), et son catamaran La Isla.
On va essayer de combiner la descente vers Panama ensemble, car on a à peu près le même projet. On l’avait connu en arrivant ici en juin dernier, depuis il a recruté un équipage pour le voyage vers Panama : Marta, une jeune polonaise, et Jaime, un jeune brésilien, tous deux très sympathiques.
Tres tempos : desayuno, comida y cena
Trois temps : dejeuner, repas de midi et diner
Esp.- Por el momento esperamos, conociendo los barcos vecinos : encontramos a Roberto, el argentino pilar de Nanajuana (lleva allí casi 8 años), y su catamarán La Isla.
Vamos a intentar combinar el descenso a Panamá juntos, porque tenemos el mismo proyecto. Lo conocimos cuando llegamos aquí el pasado mes de junio, desde entonces ha reclutado una tripulación para el viaje a Panamá : Marta, una joven polaca, y Jaime, un joven brasileño, ambos muy simpáticos.
Fr.- On fait aussi connaissance de Doris et François, un couple québeco-chilien, qui nous ont invité à l’apéro sur leur bateau Amelia I. On discute pas mal, par exemple des ‘Bay Islands’, les îles hondurienne de la côte nord où nous comptons passer. Ils ont quelques problèmes de gréement, et ne pourront sans doute pas naviguer cette année vers le Quebec, et devrons laisser le bateau ici une saison de plus.
D’autres bateaux de passage : américains, français, canadiens… Un certain nombre de membres se retrouvent au cours de yoga du matin !
Grupo Yoga
Esp.- También conocemos a Doris y a François, una pareja de Quebec y Chile, que nos invitaron a tomar un aperitivo en su barco Amelia I. Se habla mucho, por ejemplo, de las islas de la Bahía, las islas hondureñas de la costa norte donde tenemos previsto pasar. Tienen algunos problemas de aparejo, y probablemente no podrán navegar hacia Quebec este año, y tendrán que dejar el barco aquí una temporada más.
Otros barcos de paso : americanos, franceses, canadienses... Un cierto número de miembros se encuentran en el yoga por la mañana!
Fr.- On fera aussi une petite visite à Chantal, en kayak, pour lui donner des nouvelles de Jocelyne et Claude, mais aussi de Gil et Joss qui ont navigué avec elle du côté de la Colombie et du Panama il ya quelques années, et que nous avons rencontré à Saint Igny de Vers !
On se promène à Fronteras, de l’autre côté du pont, à pied, en tuktuk ou en annexe.
Mais le temps est pluvieux, et on ne se sent pas de partir tout de suite…
Esp. También haremos una pequeña visita a Chantal, en kayak, para darle noticias de Jocelyne y Claude, pero también de Gil y Joss que navegaron con ella en el lado de Colombia y Panamá hace unos años, y que nos encontramos en Saint Igny de Vers!
Paseamos por Fronteras, al otro lado del puente, a pie, en Tuktuk o en el anexo. Pero el tiempo es lluvioso, y no te sientes como para irte ahora...
Hanukkah
Enfin le départ de Rio Dulce !
Mardi 7 décembre 2021
Fr.- Finalement, on se décide, et ce sera le départ ce mardi 7 décembre.
On est prêt, les pleins sont faits, on déjeune au restau de Nanajuana.
Un au revoir à ceux qu’on croise (Edgar, Orlando, Chilo, JB, François…) et vers 14h on quitte le ponton pour Livingston.
Martes 7 de diciembre del 2021
Esp.- Al final, nos decidimos, y este será el inicio.
Estamos listos, los preparativos terminados, almorzamos en el restaurante de Nanajuana. Un adiós a los que nos veíamos (Edgar, Orlando, Chilo, JB, François...) y hacia las 14h dejamos el pontón hacia Livingston.
Fr.- La descente est plus cool que la montée, car on connait les pièges. La lumière est belle, et la rivière splendide.
Esp.- El regreso fue más tranquilo que la subida, porque conocemos las trampas del río. La luz es hermosa, y el río espléndido.
Fr.- Avant d’arriver au mouillage où l'on s’est arrêté la dernière fois, devant nous à tribord le ciel était noir il pleuvait beaucoup, à babord le ciel était clair, et dernier nous le soleil !
Esp.- Antes de llegar al mismo fondeo de la ves precedente, a estribor el cielo estaba oscuro, llovía mucho, a babor el cielo estaba claro y detrás el sol !
Fr.- Pas mal de petites barques. On arrive où on compte mouiller, à la fin du Golfete, juste avant que la rivière se rétrécisse. C’est là qu’on mouillé à la montée, mouillage agréable. Deux bateaux sont déjà là.
Il fait presque nuit, mais le mouillage est large et simple.
Une fois mouillé on assiste à la pêche au filet, de nuit, dans des petites barques. La femme conduit la barque à la rame, l’homme, muni d’une lampe frontale lance le filet d’un geste élégant. Ils passent plusieurs fois à côté de nous. On voit un enfant que peche seul.
La nuit est très calme, lever vers 7h pour arriver à partir vers 8h.
Esp.- Hay muchas barcas pequeñas. Llegamos a dónde vamos a anclar, al final del Golfete, justo antes de que el río se estreche. Aquí es donde anclamos a la subida, fondeadero agradable. Dos barcos ya están allí.
Es casi de noche pero el fondeo es amplio y sencillo.
Una vez anclados asistimos a la pesca de red, de noche, en pequeñas barcas. La mujer conduce la barca y el hombre pesca con una lámpara frontal, lanza la red con un gesto elegante. Pasan algunas veces al lado de nosotros. Vemos a un niño que pesca solo.
La noche es tranquila, nos despertamos a la 7h para llegar a partir de las 8h.
Fr.- La fin de la descente est somptueuse dans les gorges de la rivière. On arrive à Livingston, où l’on s’ancre devant le débarcadère on l’on se rend en annexe à la rame. On est interpellé, avec proposition de nous surveiller le dinghy.
On va vite prendre un café dans l’hôtel-restau à côté, puis visite à Raúl. Cette fois c’est lui-même, pas son neveu comme à l’aller. Très sympa, il nous demande 40 mn pour faire les diverses formalités. On en profite pour se balader dans Livingston, village assez agréable, pas mal de boutiques d’artisanat, quelques touristes, et une certaine animation à l’approche de la fête de Noël…
Tout est réglé avec Raúl dans les temps, et nous offre 2 mug en souvenir. Nous sommes allés déjeuner au resto avant de partir. Retour au bateau, avec la proposition d’être guidé pour passer la barre par des gens qui assurent connaître la passe.
On règle les dernier trucs à bord pour être prêts à naviguer et c’est parti.
Il est 14h30, on est juste freiné une fois ou deux par les hauts fonds, mais ça y est, on navigue.
On décide de garder le moteur plutôt que d’aller tirer des bords, c’est peut-être une erreur. Assez rapidement on prend 1 ris dans la grand voile, on met un bout de génois, mais ça avance assez mal contre les vagues. La traversée vers Utila sera finalement assez désagréable, vent de face, assez fort avec des vagues pénibles.
Esp.- El final del descenso es esplendido en medio de las gargantas del río. Llegamos a Livingston, en donde anclamos frente al embarcadero y vamos en el dinghy remando. Nos interpelan con la proposición de vigilarnos el dinghy.
Vamos rápido a tomar un café a un hotel-resto al lado, después visita a Raúl. Esta vez es él mismo no su sobrino quien nos atiende. Muy agradable, nos pide 4O min. Para hacer los diversos trámites. aprovechamos para pasear un poco en Livingston, pueblo agradable, muchas tiendas de artesanos, algunos turistas y una cierta animación se aproxima para las fiestas de Navidad…
Todo está arreglado con Raúl a tiempo, y nos ofrece 2 tasas como souvenir. Fuimos a comer al resto antes de salir. Regreso al barco, con una proposición de guiarnos para pasar la barra por gente que nos asegura conocer el paso;
Hicimos los últimos preparativos a bordo para estar listos para navegar y ya listos.
Son las 14h30, nos frenamos una o dos veces puesto que la profundidad no era suficiente, pero logramos avanzar.
Decidimos seguir con el motor mejor que navegar como cangrejos con las velas. quizás, fue un error.
Rápidamente reducimos las velas, pero avanzamos mal contra las olas. La Travesía hacia Utila será finalmente muy desagradable, viento de frente, muy fuerte con olas fastidiosas.
Livingston
Départ - Salida
Belize a Rio Dulce
Jeudi 20 au vendredi 21 mai 2021
Fr.- On navigue protégé par la barrière de corail. Départ avec pas mal de vent, mais portant et qui devrait baisser. Sortie sans histoire de la marina, avec beaucoup de monde pour nous aider au départ : Colette, le suisse réparateur, notre taxi, …
Jueves 20 al viernes 21de mayo 2021
Esp.- Navegamos protegidos por la barrera de coral. Salida con mucho viento, pero por detrás que es más agradable.
Salida sin problema de la Marina, con mucha gente para ayudarnos a partir : Colette, el suizo reparador, nuestro taxi, …
Fr.- On passe les divers waypoints prévus, mais devant Placencia, de nuit, on entre dans un énorme orage, Laura était de quart : éclairs horizontaux, verticaux, croisés... embrasant le ciel. Entre les éclairs, une obscurité totale, une pluie incroyable, le vent dans tous les sens, rafales à 45 knts. On était sous 1 ris et quelques tours de génois…
On était sous gros grain et avec l’obscurité on ne voyait rien, une rafael à fait que le pilota se décroche, je pero la direction, le bateau est partí dans l’autre direction, j’ai crié à Pierre pour qu’il prenne les choses on main. Après avoir tout enroulé c’est redevenu gérable, avec un vent stabilisé à 90 deg de notre route.
Je me sentais mal, envie de vomir. Je suis entrée dans la cabine, trempée, mais mon aventure ne s'est pas arrêtée là. Je devais continuer à donner à Pierre la direction à suivre, car avec la nuit noire et la pluie il était très difficile de voir le compas. Toutes les 15 minutes je me redressais, je me sentais mal et j'avais mal à la poitrine, mais il fallait bien vérifier que nous ne dévions par vers la côte ou la barrière de corail, somme toute assez proches. Entre temps j’en profitais pour dormir.
Pluie très froide et vagues très chaudes. Le pilote ayant décroché Pierre barre dans ces conditions pendant une bonne heure, puis tout rentre dans l’ordre, on peut remettre le pilote, mais la nuit fut longue.
Esp.- Se pasan los distintos waypoints previstos, pero frente a Placencia, de noche, entramos una enorme tormenta, Laura estaba de vigilando : relámpagos horizontales, verticales, cruzados... encendiendo el cielo. Entre los relámpagos una oscuridad total, una lluvia increíble, el viento por todas las direcciones, ráfagas de 45 nudos. Teníamos la gran vela reducida y con el genoa reducido…
Estábamos bajo un gran chubasco y con la oscuridad no se vía nada, una ráfaga hizo que el piloto se zafara, perdí la dirección, el barco dio media vuelta, le grité a Pierre, salió y tomó las cosas en mano. Después de enrollar el genoa todo volvió a ser manejable, con un viento estabilizado a 90 grados de nuestro camino.
Yo me sentí mal con ganas de vomitar… entre a la cabina y estaba empapada. Pero no acabo ahí mi aventura, tenia qué seguirle dando a Pierre la dirección a tomar, puesto que con la noche negra y la lluvia era difícil ver el compás. Todos los 15min me enderezaba, me sentía mal y con un dolor en el pecho, mas tenía que verificar que no nos desviáramos hacia la costa o la barra de coral, que las dos están bastante próximas. Mientras tanto aprovechaba de ese lapso de tiempo para dormir.
Lluvia muy fría y olas muy calientes. Después de que el piloto se zafó del timón Pierre lo tomó, en estas condiciones durante una hora, luego todo vuelve a la normalidad, se puede volver a poner el piloto, pero la noche fue larga.
Fr.- L’arrivée vers Livingston est sous le soleil, vent faible et plutôt sud ouest, inattendu. On croise les cargos qui vont ou viennent de Puerto Barrios. On trouve la bouée qui indique le chemin vers Livingston, mais le balisage annoncé sur la carte Navionics n’existe plus. On fait comme si, en suivant le cap correspondant. Erreur, on est très vite planté dans peut-être 1,20 m d’eau. Il aurait fallu suivre le cap indiqué par le guide depuis la bouée. En fait il faut viser l’entrée de la rivière, ou le sommet du cerro.
Esp.-La llegada a Livingston es bajo el sol, viento suave y mas bien sudoeste, inesperado. Cruzamos los cargueros que van y vienen de Puerto Barrios. Encontramos la boya que indica el camino a Livingston, pero el camino indicado en el mapa Navionics ya no existe.
! Hacemos como si siguiéramos el rumbo correspondiente. ¡ Error ! La quilla se atasco en tal vez 1,20 m de agua. Hubiese sido mejor seguir el rumbo indicado por la guía hacia la boya. En realidad hay que apuntar a la entrada del río, o a la cumbre del Cerro?
Fr.- Le banc de sable a bougé, mais de toute façon ça ne passe qu’à 5,5 pieds, et encore à pleine mer, et nous c’est 6 pieds…
On essaie de forcer au moteur, comme au Belize, rien à faire.
Mais une barque s’approche, qui nous propose de faire giter le bateau en tirant sur une drisse… pour 60$. Ok, on est tiré d’affaire et on arrive devant Livingston.
On s’y ancre pour faire les formalités, attendu par le neveu de Raul, accompagné des diverses autorités, et du médecin qui va nous donner un rendez-vous pour réaliser le test covid, avant d’aller payer les frais à l’office de Servimar, le bureau de Raul.
Lavaderos públicos
Esp.- La banco de arena se ha movido, pero de todos modos no pasamos, solo a 5,5 pies, y aún hasta que suba la marea, y nosotros tenemos 6 pies de quilla...
Tratamos de forzar el motor, como en Belice, nada que hacer.
Pero se acerca una lancha, que nos propone jalarnos con una cuerda al mástil
para inclinar el barco y sacarnos de ahí por 60 dólares... De acuerdo, estamos zafándonos y nos acercamos a Livingston.
Nos dirigimos a Livingston para hacer los trámites, nos esperaba el sobrino de Raúl, acompañado de otras autoridades y del médico que nos va a dar una cita para realizar la prueba covid, antes de ir a pagar los gastos en la oficina de Servimar, la oficina de Raúl.
Fr.- Il n’était pas très conseillé de rester au mouillage à Livingston (vols de moteurs d’annexe, etc), on commence donc la remontée du Rio Dulce.
mer caraïbe derrière
falaise végétale
La remontée de la rivière est spectaculaire, avec ses gorges entre les falaises couvertes de forêt tropicale, virages serrés.
On s’échouage dans une épingle à cheveu qu’il n’aurait pas fallu trop serrer, mais on est dégagé par une petite vedette touristique qui nous fait giter avec la drisse, même technique qu’avant Livingston, mais gratuitement !
falaise - acantilados
Esp.- No era muy recomendable permanecer anclados en Livingston (dicen que puede haber robos de motores auxiliares, etc), así que comenzamos la subida del Río Dulce.
Subir el río en contra corriente es espectacular, con sus gargantas entre acantilados cubiertos de selva tropical, curvas cerradas. Nuevamente nos atascamos en una curva que no debíamos de haber tomado muy cerrada, poca profundidad de agua, afortunadamente pasa una pequeña embarcación turística que nos hace balancear inclinando nuestro barco y logramos salir, misma técnica como a Livingston,
¡ pero ésta vez gratuito !
Mouillage
Fr.- On trouve un mouillage pour la nuit, à l’entrée du Golfete, près d’une petite marina, en face d’une petite île et à côté d’un bateau français mouillé. C’est très calme, très sympa.
Esp.- Encontramos un lugar para anclar para la noche a la entrada del Golfete, después de una pequeña marina frente a una pequeña isla y al lado de un barco francés anclado. Muy tranquilo, muy agradable.
Fr.- Le matin, après une petite balade en annexe autour du mouillage, nous repartons pour la marina où nous laisserons le bateau, Nanajuana. Nous nous échouons une deuxième fois dans une partie plus large de la rivière où il aurait fallu rester à gauche… Cette fois nous sommes dégagés par une vedette qui nous remorque jusqu’en eau plus profonde, gratuitement également.
Esp.- Y por la mañana, después de un pequeño paseo en dingui alrededor de dónde estábamos anclados, salimos hacia la Marina Nanajuana en donde dejaremos el barco.
Segundo atasco en una parte más amplia del río donde debíamos de habernos quedado a la izquierda... Esta vez una lancha nos ayuda, nos remolca hasta aguas profundas, igualmente gratuito.
Marina Nanajuana
Mardi 22 arrivée à 16h
Fr.- Nous sommes accueillis par Edgar et ses aides, après un appel sur le canal 16, puis conduits à un ponton en face du slip pour sortir les bateaux, où l’on va rester un peu. C’est mieux pour habiter sur le bateau.
La marina est très sympa, les gens aussi. La piscine est très agréable, le restau un peu cher. On y rencontre Roberto, un argentin sur son cata à côté de nous, et Elisa, une argentine bossant à la marina. Des hélicopter arrive souvant ici. On trouve des Tuktuk (comme à la Républica Dominicana)
Marina Nanajuana
Martes llegada 22/05 a las 16.00 horas)
Esp.- Recepción por Edgar y sus ayudantes, después de una llamada al canal 16, Nos llevan a un muelle frente a la salida de los barcos, donde nos quedaremos un poco, es mejor vivir en el barco.
Marina se ve agradable, la gente también, piscina hermosa, restaurante un poco caro. Allí encontramos a Roberto, un argentino en su catamarán a nuestro lado, Elisa, una argentina que trabaja en la marina. Los helicópteros llegan frecuentemente a éste lugar. Encontramos los Tuktuk (como en la República Domicana)
Notre citronier, cadeau de Pearl à Antigua
Nuestro limonero, regalo de Pearl en Antigua
Fr.- Promenade dans Fronteras (de l’autre côté du pont), en moto taxi, à pied, …
La ville est essentiellement concentrée autour de la route, commerces, restau, camions… Beaucoup de bruit et d’animation.
Esp.- Paseo alrededor del pueblito Frontera (el otro lado del puente)... En moto taxi, a pie, ... Ciudad escencialmente concentrada alrededor de la carretera, tiendas, restaurante, camiones... Mucho ruido y animación.
Fr.- Voyage à Tikal en bus.
On réserve un hôtel dans l’ile de Flores, très agréable, et on y s’inscrit pour un tour qui nous emmènera à Tikal, visite guidée de la forêt et des ruines mayas spectaculaires. Une très belle visite.
Chemin vers Flores
Traversée de la rivière
Esp.- Viaje a Tikal en bus
Reservamos un hotel en la isla de Flores, y nos inscribimos a un tour que nos llevará a Tikal, visita guiada del bosque y de las ruinas mayas espectaculares. Un súper bella visita.
Parque National Tikal
Tikal est une ancienne citadelle maya située au cœur des forêts tropicales du nord du Guatemala. Probablement édifiée au Ier siècle après J.-C., Tikal a prospéré entre 200 et 850 après J.-C., avant d'être abandonnée. Ses célèbres ruines de temples et de palais incluent la gigantesque pyramide cérémonielle du Monde perdu et le temple du Grand Jaguar. Avec ses 70 mètres de haut, le Temple IV est la plus haute structure précolombienne des Amériques et offre une vue impressionnante. (Réf gob. de Guatemala)
Temple du grand Jaguar
Parque Nacional de Tikal
Tikal es una antigua ciudadela maya situada en el corazón de los bosques tropicales del norte de Guatemala. Probablemente construida en el siglo I d.C., Tikal prosperó entre 200 y 850 d.C., antes de ser abandonada. Sus famosas ruinas de templos y palacios incluyen la gigantesca pirámide ceremonial del Mundo Perdido y el templo del Gran Jaguar. Con sus 70 metros de altura, el Templo IV es la estructura precolombina más alta de las Américas y ofrece una vista impresionante. (Réf gob. de Guatemala)
Fr.- Promenade en lancha sur la rivière, de l’autre côté du pont sur le Rio Dulce : jolies maisons avec quelques pontons privés, en particulier la maison de Chantal, l’amie de Jocelyne et Claude, qui est venue nous voir à la sortie du bateau. On passe ensuite à côté du Château San Felipe, avec vue sur l’entrée du lac Izabal, très vaste. Au retour on longe les hôtels et marinas de luxe sur la rive gauche…
AL fondo lago Izabal
el más grande de América Central
Esp.- Paseo en Lancha al otro lado del puente de Río Dulce : casas bonitas algunas con su muelle privado, en particular la casa de Chantal, la amiga de Jocelyne y Claude, que vino a vernos al barco. Luego pasamos por el Castillo San Felipe y vista a la entrada del lago Izabal, muy grande. Vuelta por los hoteles y puertos deportivos de lujo en la orilla izquierda…
Sortie de l’eau de Chogüi
samedi le 29 mai)
Fr.- On va faire faire quelques travaux :
Il y a du jeu dans l’axe du safran, c’est l’occasion de réparer ça. On va également faire le nettoyage du réservoir de fuel, qui doit contenir pas mal de saleté et d’eau, c’est sans doute ce qui entrainé les problèmes d’arrêt du moteur pendant la navigation. On va aussi régler un problème de vannes qui sont bloquées, celle des wc qui donne sur la mer, et celle de répartition de remplissage des réservoirs d’eau.
A notre retour on fera nous même l’antifouling et on fera faire la maintenance du moteur. En attendant on complète le nettoyage karcher réalisé en grattant la coque, un peu tous les jours.
On prend les mesures pour faire fabriquer une toile qui protégera le bateau de la pluie et qui sera installée un peu avant notre départ.
Il faut encore soulever le bateau pour retirer le safran et les paliers usés. En effet c’est impossible de le faire lorsque le bateau est posé sur sa quille. On a vu le même problème sur le bateau en réparation à Cucumber Beach, et là ils avait creusé la terre sous le safran pour pouvoir le sortir. Ici nous sommes posé sur le béton, il faut donc adopter une autre solution. Quelques achats pour le bateau (corde pour mouillage, etc.), et nous allons nous installer pour quelques jours dans une chambre de l’hotel Nanajuana, afin de profiter du cadre avec un peu plus de confort.
Sacamos del agua a Chogüi
Sábado 29 de mayo
Esp.- Se van a hacer algunos trabajos :
Hay un juego en el eje del timón, es la oportunidad para repararlo. Vamos también a dar a limpiar el depósito del combustible, que debe estar muy sucio y con agua, es sin duda lo que causa los problemas de que el motor se pare durante la navegación. Vamos también a arreglar el problema de las válvulas que se bloquean, las del WC que da al mar y la válvula de distribución de llenado de los depósitos de agua.
A nuestro regreso haremos nosotros mismos el antifouling y haremos hacer el mantenimiento del motor. Mientras tanto seguimos limpiando el casco con karcher y raspandolo un poco todos los días.
Se toman medidas para hacer fabricar una lona para proteger el barco de la lluvia y que la instalarán un poco antes de nuestra salida.
Hay que levantar de nuevo el barco para retirar el azafrán y los cojinetes desgastados. En efecto, es imposible hacerlo cuando el barco está sobre su quilla. Vimos el mismo problema en un barco en reparación en Cucumber Beach, y allí cavaron la tierra bajo el azafrán para poder sacarlo. Aquí estamos sobre el cemento, por lo que hay que adoptar otra solución. Algunas compras para el barco (cuerda para fondear, etc.) y nos instalaremos durante unos días en una habitación del hotel Nanajuana, con el fin de disfrutar del entorno con un poco más de comodidad.
Départ pour Guatemala City
Jeudi 3 juin au matin
FR.- En bus, arrivée dans l’après-midi.
Route suivi : San José, Mazuelas, Santa ... , Río Hondo, Teculutan, El Rancho, Sanarate.
Nous avons réservés l’hôtel Ajau, très près du centre historique et de la gare de bus.
Simple, chambre au rdc sans fenêtre, mais correct et bien situé.
Balade le soir dans le centre, en particulier la 6ème avenue : Palacio nacional, cathédrale,…
Le lendemain à nouveau balade dans le même coin, mais de jour cette fois, les mêmes monuments et places, avec en plus un café au Rayuela : c’est un bar sympa, « engagé », où l’on écoute Silvio Rodriguez sous des photos de Romero, du Che, …
On continue la balade à pied jusqu’à la « Carte en relief du Guatemala ». C’est intéressant, et on peut retrouver, à échelle réduite, les lieux que nous avons parcourus au Guatemala.
Retour en taxi, et départ pour l’aéroport… Mexico
Salida para Ciudad de Guatemala
Jueves 3 de junio por la mañana
Esp.-En autobús, llegando por la tarde.
Ruta seguida: San José, Mazuelas, Santa ... , Río Hondo, Teculutan, El Rancho, Sanarate.
Reservamos un Hotel Ajau, muy cerca del centro histórico y de la central de autobuses. Sencillo, habitación en la planta baja sin ventanas, pero correcto y bien situado.
Paseo por la noche en el centro, especialmente la 6ta avenida. Palacio nacional, catedral…
Al día siguiente re-paseo en la misma esquina, mismos monumentos y lugar, Rayuela café, (comprometido, agradable, música Silvio Rodríguez, foto Romero, Che), ... Luego a pie «Maqueta en relieve de Guatemala». Regreso en taxi, y salida para el aeropuerto... Ciudad de México
Isla Mujeres - Belize
Samedi 8 au dimanche 10 de mai 2021
Fr.- Départ samedi, on passe devant Puerto Morelos, puis devant Cozumel.
Le vent est fort ainsi que les vagues pendant la nuit et le dimanche.
On passe dans la partie protégée, entre le continent et la barrière de corail, par le chenal, puis direction Belize City.
actividad a bordo
Ilot habité
Isla Mujeres - Belize
Sábado 8 al 10 de mayo
Esp.- Salida el sábado, pasando por Puerto Morelos, luego frente a Cozumel.
Viento fuerte y olas en la noche del domingo.
Entrada detrás de la barrera de coral por el canal. Luego hacia Belize City.
Lundi 10 mai
Mangrove où mouille
Fr.- En face de Bélize City il y a trop de vagues avec le vent pour pouvoir mouiller, et aucun abri. Il est trop tard pour aller à la marina, la solution est de repartir vers l’est, en direction des petites îles qui séparent la baie de la mer caraïbe. Après 5 miles de navigation on ancre face à la mangrove, un mouillage super pour la nuit..
Esp.- Frente a la ciudad de Belice, demasiadas olas con el viento, y sin ningún refugio para poder anclar. Llegamos demasiado tarde para entrar en la marina, la solución es de ir hacia el este, en dirección de las pequeñas islas que separan la bahía del mar caribe. Después de 5 millas de navegación anclamos frente al manglar, en un lugar genial para pasar la noche.
Fr.- Le matin, en route vers Cucumber beach marina qui s’appelle aussi Old Belize. Ici les heures de marée changent de manière incontrôlée ! On se retrouve donc planté dans le chenal d’entrée mais en forçant au moteur, ça passe. Par contre on n’arrive pas à atteindre le ponton, on en est assez proche pour descendre, et on attendra la prochaine marée haute pour se rapprocher.
Esp.- Por la mañana, salimos hacia la Marina Cucumber Beach Marina o Old Belize. ¡Pero aquí las horas de marea cambian de forma descontrolada!
Nos quedamos atascados en el canal de entrada, pero al forzar, pasamos.
Sin embargo, no pudimos llegar bien al muelle, pero casi…
Podemos bajar y esperar a la próxima marea alta.
Fr.- Les formalités ont été organisées par Colette, la responsable de la marina (bélizienne, née au Mexique de père français). Les quatre autorités sont là (Salubridad, Port Autority, Aduana, Migración), chacune demandant une copie des papiers, passeports, nil list, crew list, etc. 50 $ pour la douane et salubridad, 240 Bz pour Port Autority, qui organise les choses, donne un reçu, et demande juste 10 ou 20 Bz pour son fils, car il n’y a pas a payer le taxi, il est venu avec sa voiture !
Esp.- Los trámites organizados por Colette (beliceña, nacida en México de padre francés) : las 4 autoridades están presentes (Salubridad, Port Autorities, Aduana, Migración). Copias múltiples de los papeles para cada uno, pasaportes, Nil list, crew list, etc... ¡ 50 dólares por aduana y salubridad, 240 Bz para Port Autority, que organiza las cosas, da un recibo y pide sólo 10 o 20 Bz para su hijo, porque no hay que pagar el taxi, él vino con su coche !
Fr.- La marina est sympa, même si un peu déserte. On y rencontre un couple d’américains qui font réparer leur bateau après un choc avec des rochers (quille, safran). Après ils retournent à Rio Dulce où ils ont un hôtel avec marina pour 4 ou 5 bateaux. Mais eux même doivent sortir tous les 3 mois, et leur bateau tous les 2 ans. Ils reviennent donc de balade entre Mexique et Belize.
Iguana verde
Esp.- Encuentro con a una pareja americana que está haciendo reparar su barco después de un choque con rocas (quilla, azafrán). Después regresan a Río Dulce donde tienen un hotel en la Marina para 4 o 5 barcos. Pero ellos mismos tienen que salir cada 3 meses y su barco cada 2 años. Así que vuelven de un paseo entre México y Belice.
Fr.- Promenade à Belize City, conduit par le proprio de la baraque sous la capitainerie qui vend boissons et de quoi manger. Visite du centre ville, le marché, la gare routière, …
La ville de Belize est moyennement intéressante, mais en traversant le fleuve, par un pont muni d’un vieux mécanisme pour le faire tourner, et ainsi ouvrir le passage dans la rivière, on voit quelques barques très originales… Au marché on trouve de tout, légumineuses, papayes, etc. et un petit resto familial, délicieux.
Mecanismo del puente móvil
Esp.- Paseo a la Ciudad de Belize City, conducidos por el propietario de la tiendita que se encuentra abajo de la marina, vende refrescos y algo para comer. Visita del centro de la Cd. el mercado, la estación de autobuses…
La ciudad de Belice no es muy interesante, pero atravesando el río, por un puente con un mecanismo que lo hace girar y así abrirlo para dar paso al interior, se ven algunos barcos muy originales. En el mercado se encuentra de todo, legumbres, papayas, etc. Y ahí mismo hay comedores de comida cacera, deliciosa.
Fr.- Pierre y a acheté une casquette avec dreadlocks, il devient l'attraction, surtout auprès des rastas croisés dans la rue. L’un deux, à coup de « hey man" lui disant qu'il ne lui manque qu’un joint, que d’ailleurs il se propose de lui vendre. Il nous a suivi quelques rues, nous a retrouvé le lendemain, toujours avec l’intention de nous vendre des joints. On n’a pas donné suite…
Esp.- Pierre se compró una gorra dreadlocks que fue la atracción, sobre todo de los rastas que cruzábamos por la calle. Uno de ellos, haciendo choque con la mano « hey man » le decía que lo único que le faltaba era un « joint » y uno de ellos le propuso vendérselo. Nos siguió algunas cuadras y al otro día nos volvió a encontrar con la intención de vendernos un joint. No le seguimos la corriente…
Fr.- Quant à profiter du Belize, nous sommes allés à Caye Caulker, en bateau rapide, et y sommes restés deux jours.
Esp.- En cuanto a disfrutar de Belice, fuimos al Cayo Caulker, en barco rápido, y nos quedamos dos días.
Fr.- C’est une petite île touristique, plages, récif corallien et de nombreuses activités.
Esp.- Es una isla pequeña muy turística, playas, Recife coral y numerosas actividades.
Fr.-Nous étions logés dans un hôtel très cosy, avec son petit ponton. Il donne sur la plage que les touristes partagent avec les défunts du cimetière que n’ont rien à envier à ce à quoi rêvait Brassens… Nous avons prit un tour en bateau pour le lendemain.
Esp.- Estuvimos alojados en un hotel muy acogedor con su pequeño muelle. Da a la playa que los turistas comparten con los difuntos del cementerio que no tienen nada que envidiar a lo que el cantante Brassens soñaba… Con ellos contratamos para el día siguiente un paseo en lancha.
Fr.- Il nous a emmenés nager avec les requins et les raies, sentiment merveilleux. C’était génial d'être dans l'eau avec eux, mais un peu déstabilisant au début. Nous sommes ensuite allés faire de la plongée avec tuba au-dessus des coraux: quelle beauté tant de variété de couleurs et de tailles de poissons !
Esp.- Él nos llevó a nadar con los tiburones y manta rayas, sensación maravillosa. Fue genial estar en el agua con ellos, pero algo inquietante al principio. Fuimos después a hacer snorkel sobre los corales : ¡ que belleza tanta variedad de colores y tamaños de los peces !
Fr.- Après avoir fait le tour de l'île, nous arrivons dans un endroit près de la plage pour nourrir des tarpons, poissons bizarres avec la bouche sur le côté… On leur présente une sardine à un mètre au dessus de l’eau, et brusquement un des tarpons jaillit hors de l’eau pour l’attraper, au risque de mordre la main qui le nourrit… La promenade se termine par un lancé de petits poissons en l’air, ce qui attire un grand nombre d’oiseaux qui plongent sur nous pour les attraper. On se croirait dans le film de Hitchcock « Les Oiseaux »…
Pour terminer, on nous indique une bonne adresse où diner le soir.
Esp.- Después de haber dado la vuelta a la isla, llegamos a un lugar cerca de la playa para darle de comer a los tarpons, peces que tienen la boca de lado y saltan a pescar la comida que uno le esta dondo…pero nos daba miedo pues tenían dientes. Terminamos el paseo donde el chico empezó a aventar pececillos al aire y de repente los pájaros se acercaban a comer. Nos hizo pensar en la película de Hitchcock, Los Pájaros. Para terminar el chico nos indicó a dónde ir a cenar por la noche.
Fr.- C’est une maison bleue (en fait grise), adossée à la colline (en fait c’est plat, elle est entourée d’un jardin), on y vient à pied, on ne frappe pas….
Un groupe de jeunes américains est déjà attablé. Le patron, un grand noir genre hippie, nous sert le plat unique, un délicieux poisson à la parrilla.
Le lendemain, nous faisons un petit saut (en barque) dans l’île d’à côté, pour profiter de la jolie plage Coco Beach. On marche un peu, Pierre et Jorge se baignent, puis on retourne à l’hôtel récupérer nos affaires avant de reprendre le bateau pour Belize City.
Esp.- Es una casa muy grande rodeada de un jardín, en donde un grupo de jóvenes americanos estaban ya en una mesa. El patrón, señor corpulento negro estilo hippie, nos ofreció el plato único, un delicioso pescado cocinado a las brasas, riquísimo.
Al otro día antes de tomar el barco de regreso a Belize City, nos atravesaron en lancha de remos a la Isla de en frente, para aprovechar de la hermosa playa Coco Beach. Caminamos un poco, Pierre y Jorge se metieron al mar y luego de regreso recuperamos nuestras cosas en el hotel y nos dirigimos a tomar el barco de regreso a Belize City.
Fr.- Les jours suivants passés au Belize ont consisté en des excursions en voiture, conduits et guidés par Jeevan, recommandé par Colette.
Esp.- Esp.- Los días siguientes pasados en Belize consistieron en excursiones en coche, conducidos por un guía Jeevan, recomendado por Colette.
Fr.- Nous sommes allez voir les pyramides mayas, assez résemblante au piramides du Méxique sous un soleil écrassant, et pour fingir resto… et continuer la visite ver les grottes.
le bac vers les ruines.
Entrada del parque
occupants des arbres
Esp.- Fuimos a visitar las pirámides mayas, muy parecidas a las de México bajo un sol incandescente y para terminar resto… y continuar la visita hacia las grutas.
Pierre Laura Jorge
Fr.- Les grottes souterraines que l’on parcourt à la nage ou porté par une grosse bouée.
Esp.- Las cuevas subterráneas subidos en llanta jaladas por el guía y luego nadamos.
Fr.- Visite du zoo où nous avons vu une variété d'animaux sauvages, toucans, jaguars, tapirs, crocodiles...Bref nous nous sommes régalés.
Esp.- Visitamos el zoológico (en donde vimos una variedad de animales salvajes, como tucanes, jaguars, tapir, cocodrilos…) en fin disfrutamos mucho.
Fr.- Visite à un outre site maya, Althum Ha… piramide emblème de la biere bilikin
Esp.- Visita a otro sitio maya, Althum Ha… Pirámide emblema de la cerveza bilikin
Fr.- De cette partie du voyage, Mexique et Belize, on regrette peut-être de ne pas s'être arrêté à Cozumel et un ou deux arrêts supplémentaires au Belize… La prochaine fois !
Esp.- De esta parte del viaje, México y Belize, sentimos no haber podido pararse en Cozumel y tal vez una o dos paradas suplementarias en Belize…
¡ Para la próxima !
Morelos to Isla Mujeres
Vendredi 30 avril 2021
Fr.- Nous avons quitté Puerto Morelos pour Isla Mujeres.
La navigation était courte, 30 miles. On mouille dans l’après-midi en face de la marina El Milagro, et on y entre le lendemain.
Viernes 30 abril
Dejamos Puerto Morelos para ir a Isla Mujeres.
El recorrido fue corto, 30 millas. Anclamos por la tarde frente a la Marina, y al día siguiente entraremos.
Fr.-La marina est très jolie, tapissée de mosaïques, avec une petite piscine. L’accueil est très sympa et l’ambiance très conviviale : nous avons pu partager la cuisine, les grillades et ils nous ont prêté des vélos.
Esp.- Llegamos a la marina El Milagro, muy bonita, toda tapizada con mosaicos, había una alberca chica y la gente muy agradable. Tiene un ambiente muy amigable, podíamos compartir la cocina, los asadores y nos prestaban bicis.
Isla Mujeres
Fr.- Nous visitons d’abord le nord de l’île à pied : déjeuner au marché (savoureux), et baignade à la seule belle plage de l’île, El Cocal, son eau super claire, très peu de fond (on peut marcher assez loin). Dommage qu’il y ait beaucoup de bateaux à moteur ancrés tout près, et beaucoup de monde.
Esp.- Visitamos primero el norte de la isla a pie : comida en el mercado (riquísimo) y baño en la única playa de la isla. El Cocal, sus aguas claras, casi sin fondo, podíamos ir caminando lejos. desgraciadamente había muchos barcos de motor muy cerca y mucho gentío
Fr.- Puis nous faisons le tour de l’île à vélo : visite de l’aquarium et ses magnifiques tortues, grandes et petites. Balade vers la pointe sud de l’île et ses ruines mayas. Cette pointe est le point le plus à l’est du Mexique, c’est donc l’endroit où le soleil se lève le plus tôt au Mexique.
Esp.- Después hicimos un tour en bici de la isla : visitamos un acuario de tortugas todas ellas hermosas, grandes y chicas. Paseo a la punta sur de la isla, vimos unas ruinas mayas (dicen los lugareños que es el punto mas al este de México, el lugar donde el Sol se levanta lo mas temprano de México).
Fr.- Enfin nous ferons une balade en annexe dans la baie, avec une plongée avec tuba au dessus des coraux en face de la marina.
Esp. -Al fin haremos un paseo en anexo en la bahía, snorkeling frente de la Marina.
Fr.- Une dernière promenade en ville pour faire le test PCR avant de partir pour le Belize, où nous avons réservé dans la marina Cucumber Beach. Nous serons restés à Isla Mujeres un peu moins d’une dizaine de jours, et ce fût très agréable.
Esp.- Un último paseo por la ciudad para hacernos el test covid, antes de irnos a Belize, donde reservamos en la Marina Cucumber Beach. Nous quedamos en Isla Mujeres un poco menos de 15 días, y eso fuemuy agradable.
Retour à Puerto Morelos
Dimanche 18 avril
Fr.- Location d’une voiture qui permettra d’aller chercher Jorge à l’aéroport.
Dimanche 25
Visite de cenotes pas trop loin, on choisi celui de 7 bocas…
On descend dans le premier Cenote, on y nage, mais en voulant prendre ma camera dans la poche du sac à dos, la clé de la voiture tombe à l’eau. Il me semble la voir briller sur le fond qui à l’air accessible. Je plonge une fois, deux fois, mais j’ai l’impression de devoir descendre assez profond pour l’atteindre, et c’est un peu trop pour moi.
Regreso a Puerto Morelos
Esp.- Alquiler de un coche que permitirá recoger a Jorge en el aeropuerto.
Visitamos un cenote no demasiado lejos, escogimos el de 7 Bocas...
Bajamos al primer cenote, al querer sacar mi cámara de un bolsillo de la mochila, la llave del coche se cayó al agua. Nos, parece verla brillar en el fondo que parece accesible. Me zambullo una vez, dos veces, pero siento que tengo que bajar lo suficientemente profundo para alcanzarlo, y es un poco profundo para mí.
Fr.- Finalement Laura part demander à l’accueil si quelqu’un équipé pourrait nous aider à la récupérer…. Elle revient avec la nouvelle que le cenote fait de l’ordre de 150 m de profondeur… C’est mort ! il faut appeler le loueur pour qu’il nous apporte le double des clés. Eh bien, ce n’est pas si simple, il n’y a pas de double. La seule solution c’est de faire venir un serrurier qui va régler le problème. C’est dimanche, donc ça va nous couter un bras, mais on n’a pas le choix.
Esp.- Finalmente Laura va a preguntar a la recepción si alguien equipado podría ayudarnos a recuperarla... Vuelve con la noticia de que el Cenote tiene 150m de profundidad... Se perdió, hay que llamar al que nos alquiló para que nos procure el doble de la llave. Pero no es tan sencillo, pues no tienen duplicado. Finalmente, la solución fue de hacer venir a un cerrajero que va ha resolver el problema. Es domingo, así que nos va a costar un poco, pero no tenemos de otra.
Fr.- En attendant que le serrurier arrive on visite un peu, on fait la connaissance d’un jeune couple, lui cubain, elle mexicaine, installés à Puerto Morelos, et qui comme Danitza et Hector, et d’autres personnes rencontrés en ville (par exemple un vieux peintre cubain qui vit de la vente de ses toiles), nous disent que de toute la côte de Quintana Roo, c’est ici le seul endroit tranquille, sans problème, à échelle humaine. Dans un Mexique assez compliqué à vivre, c’est l’endroit où s’installer.
Et en attendant on mange des délicieux tacos à la Yucayeca
Esp.- Esperando a que llegue el cerrajero llegue, visitamos un poco el lugar, conocimos a una joven pareja, él cubano, ella mexicana, instalados en Puerto Morelos, así como Danitza y Héctor y otras personas encontradas en la ciudad (por ejemplo, un viejo pintor cubano que vive de la venta de sus pinturas), nos dicen que de toda la costa de Quintana Roo, es aquí el único lugar tranquilo, sin problema, a escala humana. En un México bastante complicado de vivir, este es el lugar, es el mejor sitio para instalarse. Mientras tanto nos comemos unos deliciosos tacos a la Yucateca.
Fr.- Voir le serrurier à l’œuvre est une expérience intéressante. Avec une petite poire gonflable il écarte la porte, glisse un crochet le long de la fenêtre et accroche la tringle dans la porte ce qui permet d’ouvrir. Puis il démonte la serrure. Une fois le barillet entre les mains il est capable de découper petit à petit une clé modèle pour lui donner la forme qui correspond au barillet. Une fois qu’elle fonctionne pour ouvrir toutes les portes, il remonte la serrure, démonte la garniture de la porte pour remettre en place la tringle, et c’est presque fini… Reste à programmer la clé pour que la voiture puisse démarrer. Il branche un ordi spécialisé à je ne sais quel cable qu’il sait trouver sous le volant, et utilise les données de la voiture pour programmer la clé. Voilà, c’est fait, ça a duré une heure, sous la chaleur intense de cet après-midi.
On attendant Laura va au toilette
Mientras tanto Laura va al baño
Esp.- Ver al cerrajero a la obra es una experiencia interesante. Con una pequeña pera inflable se separa la puerta del auto, se desliza un gancho a lo largo de la ventana y cuelga la barra en la puerta lo que permite abrir. Luego desmonta la cerradura. Una vez el barrilete entre las manos es capaz de cortar poco a poco una llave modelo para darle la forma que corresponde al barrilete. Una vez que funciona para abrir todas las puertas, él sube la cerradura, desmonta la guarnición de la puerta para volver a poner la barra, y está casi terminado... Sólo falta programar la llave para que el coche pueda arrancar. Conecta una computadora especial a cualquier cable que pueda encontrar bajo el volante y usa los datos del auto para programar la llave. Ya está, duró una hora, bajo el intenso calor de esta tarde.
La Marina El Cid
Pelícanos
El Hotel
Dimanche 26 avril
Fr.- Nous sommes donc rejoints par Jorge, Danitza, Frida et Hector nous invitent à diner, et nous récupérons nos bouteilles de vins, d’alcool et les plantes que nous leur avions laissées.
Le lendemain Hector passe sur le bateau pour faire la fumigation, histoire d’éliminer les insectes et autres parasites… Le soir on les invite à diner sr le bateau.
On retourne visiter les Cenotes de 7 bocas avec Jorge, puis restau et balades à velo…
Ce qui est génial à la Marina El Cid, c’est la gentillesse des gens… Une chose assez émouvante est leur façon de nous saluer, en inclinant un peu la tête et en mettant la main sur le cœur.
Esp.- Jorge nos alcanza a Puert Morelos, Danitza, Frida y Héctor, nos invitan a cenar para que recuperemos las botellas de vino, alcohol y plantas. Al día siguiente Hector pasa para la fumigación. del barco, historia de eliminar los insectos y otros parásitos... Y le invitamos esa noche a cenar en el barco.
Algo genial en la Marina El Cid era que las personas son súper agradables y lo más bonito y conmovedor fue que la gente te saludaba inclinando un poco la cabeza y poniendo su mano en el corazón.
Re-visita de los Cenotes (7 Bocas), con Jorge, después resto y paseos en bicicleta…
Xcaret
Fr.- Le lendemain grâce à la voiture nous pouvons aller jusqu'à Xcaret, genre de parc d'atraction où l'on nage dans une rivière souterraine et on voit divers aspects de cette région maya (faune, flore, artisanat et nourriture). On ne restera pas jusqu'au spectacle du soir, mais la journée fut agréable.
Esp.- Al día siguiente gracias al coche que alquilamos, pudimos ir a Xcaret, es un parque de atracciones en donde puedes nadar en un río subterráneo y se ven diversos aspectos de ésta región maya (fauna, flora, artesanías y comida). No nos quedamos al espectáculo de la noche, pero el día fue agradable.
Puerto Morelos, balades...
Puerto Morelos
Samedi 20 mars 2021
Puerto Morelos
Fr.- Pour l’arrivée on était dans le doute sur quoi faire : se mettre à la cape pour la nuit, entrer dans la marina et se mettre au ponton essence, où mouiller quelque part facile d’accès. On a un guide qui indiquait un mouillage simple, entre la côte et la barrière de corail, on l’a choisit d’autant que la lune allait nous aider.
Un truc étonnant sur l’arrivée furent les courants. Sur une carte je voyais des courants de 2 knt vers le nord, avec des poches de contre-courants. Dans le guide ils parlaient de 4 knt. Et bien c’était ça. Quand le vent était fort, et qu’on était encore un peu loin, on ajustait un peu le cap, et ça allait. L’étonnant fût le passage dans la poche de contre courant, qui du coup était dans le sens du vent.
A la transition ça s’est mis à bouillonner, avec des moutons contre le vent, bizarre, puis plus rien, tout plat, et le bateau qui se retrouve super bien réglé, à faire du 7-8 knt, alors qu’on était entre 5 et 6, balloté par la houle et les vagues. Ce n’est pas seulement le courant qui s’ajoute à la vitesse sur l’eau, c’est la façon dont le bateau glisse sur l’eau sans être contrarié par les vagues. Ça a duré un moment comme ça, j’imaginais même arriver avec encore la clarté du jour… Mais on est retombé dans le courant contraire, et la vitesse est tombée à 2 knt ! Sur la fin, pour faire le dernier mile, avec voile et moteur, ça a pris un temps fou, le courant baissant finalement de l’autre côté de la barrière de corail.
Mouillage face au ponton de Puerto Morelos vers 23h le samedi. Le mouillage s’est bien passé, même si on ne voyait pas très bien. Il n’y avait qu’un cata au mouillage, donc de la place… Au matin on réalisera qu’on est en bordure d’une zone délimitée par des grosses bouées gonflables qui définissent le parcours d’une compétition de natation : la 16ème édition de la Ruta del Arrecife. Toute la matinée des groupes de jeunes tourneront autour des bouées, avec un parcours de 10 km pour le plus long. C’était sympa d’être au 1ère loges. On a la visite d’une barque, avec des responsables du « parc naturel » où nous sommes ancrés, ce qui est interdit. Le cata est sur une bouée... Il faudrait qu’on bouge pour aller de l’autre côté d’un ponton, mais pas maintenant à cause de la compétition de natation… Bref, si on part pour la marina en début d’aprem, tout le monde sera content.
Puerto Morelos
Esp.- Para la llegada había dudas sobre qué hacer : parar el barco durante la noche, entrar en la marina y ponerse en el muelle de gasolina, o anclar en algún lugar de fácil acceso. Tenemos un guía que indicaba un lugar para anclar simple, entre la costa y la barrera de coral, lo elegimos sobre todo porque la luna iba a ayudarnos.
Una cosa sorprendente sobre la llegada fueron las corrientes. En el mapa indica corrientes de 2 nudos hacia el norte, con bolsillos de contracorrientes. En la guía hablaban de 4 nudos. Bueno, eso era. Cuando el viento era fuerte, y aún estábamos un poco lejos, estábamos ajustando el rumbo un poco, y estábamos bien. Lo asombroso era el paso en la zona de contracorriente, que del golpe estaba en la dirección del viento. En la transición comenzó a burbujear, con olas contra corriente y el viento, raro, luego nada, todo plano, y el barco que se encuentra súper bien ajustado, andando a 7-8 nudos, cuando estábamos entre 5 y 6, sacudido por el oleaje y las olas. No es sólo la corriente que se suma a la velocidad en el agua, es la forma en que el barco se desliza sobre el agua sin ser molestado por las olas. Duró un momento asi, incluso imaginé que llegaríamos con la claridad del día... Pero volvimos a la corriente contraria, y la velocidad bajó a 2 nudos ! Al final, para hacer la última milla, con la vela y el motor, tomó mucho tiempo, la corriente finalmente cayendo cuando llegamos al otro lado de la barrera de coral.
Fondeadero frente al pontón de Puerto Morelos alrededor de las 23h del sábado. El anclado pasó bien, aunque no se veía muy bien. Sólo había un catamaran en el fondeadero, así que había sitio... Por la mañana nos daremos cuenta de que estabamos al borde de una zona delimitada por grandes boyas inflables que definen un recorrido de una competición de natación : la 16ª edición de la Ruta del Arrecife. Toda la mañana los grupos de jóvenes girarán alrededor de las boyas, con un recorrido de 10 km para el mas largo. Fue agradable estar en el primer palco. Tenemos la visita de una barca, con responsables del «parque natural» donde estamos anclados, lo que está prohibido. El cata está sobre una boya... Tendríamos que movernos hasta el otro lado del muelle, pero no ahora por la competición de natación... De todos modos, si nos vamos a la marina al principio de la tarde, todo el mundo estará contento.
Dimanche 21
Fr.- Arrivée vers 14h dans la Marina El Cid, où on nous aide à prendre un ponton.
Nous devons rester à bord jusqu’à lundi matin, quand les autorités seront passées.
Les formalités sont un peu lourdes : avant de pouvoir descendre du bateau, nous avons la visite du Contrôle Sanitaire, Immigration, Agriculture, Douanes, Autorités portuaires, Service de l’Armée pour l’importation temporaire du bateau. On a besoin d’un agent pour réaliser ces formalités, en contrat avec la marina. Finalement ça se passe bien.
L’explication de cette complexité ne semble plus être « las mordidas », comme à une certaine époque. Ce n’est plus un racket, les tarifs sont connus et raisonnables. C’est plutôt un problème de lutte contre les cartels de la drogue et l’immigration clandestine, d’ailleurs liés en partie. Les voiliers de passage pourraient être facilement associés à ces activités… Nous sommes maintenant installés. On doit juste changer de place dans la marina car du vent fort est annoncé pour mercredi et jeudi, et ils veulent pouvoir sécuriser d’autres bateaux plus gros.
Domingo 21
Esp.- Llegada el domingo a las 2 de la tarde en la marina El Cid, donde nos ayudan a tomar un pontón, y donde debemos permanecer a bordo hasta el lunes por la mañana, cuando las autoridades hayan pasado.
Las formalidades son un poco pesadas : antes de poder bajar del barco, tenemos la visita del control sanitario, Inmigración, Agricultura, Aduanas, Autoridades portuarias, servicio del ejército para la importación temporal del barco. Se necesita un agente para realizar estas formalidades, en contrato con la marina. Al final todo va bien.
La explicación de esta complejidad ya no parece ser «las mordidas», como en una cierta época. Ya no es una estafa, las tarifas son conocidas y razonables. Es más bien un problema de lucha contra los carteles de la droga y la inmigración clandestina. Los veleros de paso podrían estar fácilmente asociados a estas actividades...
Ya nos hemos instalado. Solo tenemos que cambiar de lugar en la marina, porque se anuncia un viento fuerte para el miércoles y el jueves, y quieren poder asegurar otros barcos más grandes.
Mexico
Fr.- Donc voilà le périple St Domingue-Mexico. Et pour nous ce côté symbolique d’arriver à Mexico à la voile nous parle…
Les mexicains sont très accueillants mais, comme nous le fait remarquer Norbert N., le célèbre psychanalyste littéraire, depuis l’arrivée du précédent européen, à la voile, il y a 500 ans, et ses conséquences, ils n’attendent plus le retour de Quetzalcoatl…
Marina El Cid
Passage de Danitza et son mari Hector, qui emportent temporairement nos bouteilles de vin et d’alcool ("recommandation » de la douane"). C’est Claudia qui nous a donné le contact de Danitza à Puerto Morelos, Frida, la fille de Danitza étant sa nièce !
On se promène à Puerto Morelos à vélos prêtés par la marina (banque, consultation d’un médecin pour ma blessure et pharmacie).
On prend un taxi jusqu’à Puerto Juarez, au nord de Cancun, pour les formalités d’Importation temporaire du bateau…
Au retour vers El Cid on s’arrête à l’agence Sixt de l’aéroport de Cancun pour prendre la voiture réservée pour deux jours.
Pour l’instant l’activité touristique autour de la pêche reste très active, mais va s’interrompre avec le vent fort annoncé. Le problème du vent fort, de SE, est que la houle entre dans le port.
Il faut déplacer le bateau de B15 à B20, et plus tard, avant notre départ pour Mexico, à B30 car dans l’entrée où nous sommes les mouvements du bateau et des pontons sont impressionnants.
Pare-battages explosés, achat de nouveaux à Puerto Morelos.
Changement de place, mais à cette occasion on a cabossé le bateau contre le ponton. On verra un de ces quatre s’il est possible de réparer ça …
Restau dans l’hôtel à côté (on y est conduit en voiture de golf), buffet à volonté…
México
Esp.- Así que esta fue la aventura Santo Domingo-México. Y para nosotros eso de llegar a México en barco de vela nos habla y tiene mucho sentido. Los mexicanos son muy hospitalarios, pero como nos los señala Norbert N., el famoso psicoanalista literario, desde la llegada del anterior europeo, a vela, hace 500 años, y sus consecuencias, ya no esperan el regreso de Quetzalcoatl.
Marina El Cid
Paso de Danitza y su marido Héctor que se llevan temporalmente nuestras botellas de vino y de alcohol a su casa, siguiendo las «recomendaciónes» de la aduana. Claudia nos dio el contacto con Danitza en Puerto Morelos, Claudia siendo tia de Frida, la hija de Danitza.
Paseo por Puerto Morelos en bicicletas prestadas por la marina (banco, consulta de un médico para mi herida y farmacia)
Tomamos un taxi hasta Puerto Juárez para hacer alla los papeles importación temporal.
En el regreso a El Cid nos paramos en la agencia de alquiler coches Sixt, en el aeropuerto, para tomar el coche reservado para 2 días.
Por el momento la actividad turística en torno a la pesca sigue siendo muy activa, pero se interrumpirá con el viento fuerte anunciado. El problema del viento fuerte, de SE, es que el oleaje entra en el puerto: es necesario mover el barco de B15 a B20, y más tarde, antes de nuestra salida a México, a B30, porque en la entrada donde estamos los movimientos del barco, y de los pantalánes, son impresionantes.
Unas defensas fueron destruidas por los golpes en contra del pantalán. Las tuvimos que cambiar por nuevas compradas en Puerto Morelos.
Tenemos que cambiar de lugar en la marina, pero en esa ocasión abollamos el barco contra el pontón. Veremos mas tarde si es posible repararlo ...
Vamos al restaurante en el hotel al lado (nos conduce en coche de golf), buffet a voluntad.
Balade à Tulum
Paseo por Tulum
Fr.- Invitation à diner chez Danitza, Hector et Frida.
Départ pour l’aéroport, restitution de la voiture et navette pour aller prendre l’avion.
Arrivée à Mexico samedi vers 15h, Jorge nous attend…
Esp.-Invitación a cenar con Danitza, Héctor y Frida.
Salida para el aeropuerto, devolución del coche y traslado para coger el avión. Llegada a México el sábado a las 15h, Jorge nos espera...
Nous étions depuis quelques jours à Mexico quand Lichita nous a quitté… Nous avons eu le bonheur de partager ses derniers jours.
Teníamos pocos días en México cuando Lichita nos dejó... Tuvimos la dicha de compartir esos últimos días con ella.
Colibrí en casa de Lichita
Départ de Luperon pour Mexico
Samedi 13 mars
Fr- Départ de Luperon pour Mexico
Avec 900 miles à faire, on pense arriver le vendredi 19 au matin …
Finalement départ vers 10h, car la Marine Dominicaine nous fait « mariner ». C’est grâce à une barque qui passe, avec un gars qui appelle la Marine, et finalement va les chercher, que la situation se débloque. Deux militaires montent à bord, font des photos, nous donnent le « despacho » indispensable pour entrer à Mexico.
Sortie sans histoire, en suivant à la tablette pour éviter les hauts-fonds, ensuite on suit les waypoints qu’on a définis pour baliser le parcours.
On a eu assez vite du retard par rapport au routage que nous a préparé Philippe, mais qu’on a suivi quand même. D’abord en raison des 2h de retard au départ, puis du vent faible pendant quelques heures à la sortie de Luperón.
Début sans vent, 2h de moteur, des grains, quelques dauphins (2 petits à la sortie, qq gros plus loin).
Après on n’allait pas très vite car pour gérer le plein vent arrière, pour que le pilote s’en sorte bien malgré une houle assez forte, on a mis des configurations de voile pas très rapide.
D’abord GV et génois, mais trop de houle, et vent pas très fort, c’était un peu instable. Ensuite on a essayé le génois seul tangonné, mais le tangon est très long, les écoutes passent mal, et je trouve que ça donne une sale forme au génois. Finalmente ce sera GV et génois tangonné.
Arrivé au Windward passage, il faut empanner. On enroule d’abord le génois tangonné, puis on empanne la GV, avec des rafales à 30 knt, mais ça se passe bien.
Par contre une fois terminé, une vague nous déstabilise complètement, le pilote se perd, re-empannage de l’autre côté, mais là, sauvage.
La retenue de bôme que j’avais remise pète, (au moins c’est elle qui fait fusible, la poulie et la manille aussi, vue la tête qu’elles ont maintenant).. A part ça rien de cassé, sauf un peu moi… Je me suis fait balancer contre le banc arrière, choc violent sur le tibia, un peu une main, un peu au dessus de l’oeil.
Le tibia pisse le sang, mais on règle tout d’abord : stabiliser le cap, régler les voiles, remettre le pilote…. Ah oui, bien sûr c’est la nuit… Bon une fois dés-enroulées les écoutes, on affale la grand voile et on continuera sous génois seul tangonné pour re-entrer dans la mer caraïbe.
A partir de là Laura jouera les infirmières tous les jours, pour essayer d'arrêter l’hémorragie, de refermer la plaie avec des strips, refaire le pansement tous les jours en désinfectant… ça s’améliore, mais il faudra voir ça à Mexico.
Ensuite ça se passe tranquille, avec pas mal de vent et de houle, jusqu’à la baisse du vent.
Jeudi 18, dans la nuit (2h à 9h) on met le moteur car le vent est très faible.
Vers 9h, on a à nouveau un peu de vent (12-15 knt), on met le spi pendant 5h (ça faisait 15 mois depuis la dernière fois), puis à nouveau le moteur, de jeudi 14h à vendredi 6h.
Et là, brusquement le moteur s’arrête !
Ça fait drôle au milieu de nulle part, sans vent, le moteur qui tousse et qui s’arrête. Pas de panique, ça ressemble à un problème d’arrivée de gasoil, car aucun voyant ne s’allume.
On verse un jerrycan dans le réservoir, mais ça n’a pas l’air d’une panne sèche.
Je démonte le filtre, le nettoie, le remonte, et ça repart… magnifique.
J’ai sauté les étapes : comment on démonte le filtre, je n’ai pas l’outil, où est la notice, c’est quoi ces 2 vis dessus, 2 sur le côté ? bref, le doute.
Ensuite, la purge… C’est laquelle la vis de purge ? bref j’essaie de purger, avec la petite tirette puisqu’on n’a pas monté la poire !. Rien ne sort, j’insiste, et puis on verra bien si la pompe fait le boulot. Je resserre tout, je démarre, et miracle, ça marche. Juste un petit problème de vis sur le dessus qui ne serre pas bien, qui a l’air un peu foirée.
Bref il est 8h30, et ça repart.
On est au moteur jusque vers 18h, il reste 145 miles à faire, on arrivera peut-être Samedi.
On met les 40 l de fuel restant des jerrycans.
Vers minuit baisse de puissance du moteur. J’arrête, regarde, fuite de gasoil au niveau du filtre et de la vis de purge. Nettoyage, trouver une vis de remplacement et ça règle le problème.
D’autant que peu après le vent revient, 15 knt, on met le génois et en avant.
Je vérifierai la fuite avant d’arriver sur Puerto Morelos, pour être sûr de pouvoir compter sur le moteur à l’arrivée, et tout ira bien.
Finalement on aura fait 44 h de moteur dans les calmes, jusqu’à une mer d’huile, avec une interruption de 5 h sous spi quand le vent est un peu revenu à 12-15 knt, et une autre interruption par arrêt spontané du moteur !
Arco Iris
oiseau - pájaro
Esp.- Con 900 millas por recorrer, esperamos llegar el viernes 19 por la mañana ...
Finalmente salida a las 10h, porque la Marina Dominicana nos hace «marinar» esperar. (marinar en francés, juego de palabras, somos marineros y estamos en el mar). Gracias a un tío que pasa cerca en su lancha, quien acepta llamar al ejercito, y finalmente va a buscarlos, y al fin la situación se desbloquea. Dos militares suben a bordo, hacen fotos, nos dan el «despacho» indispensable para entrar en México.
Salida sin historia, siguiendo con la tableta para evitar los bancos de arena. Luego seguimos los waypoints definidos del recorrido.
Nos retrasamos bastante rápido comparado con el « routage » con la ruta que nos preparó Philippe, pero lo seguimos igual. Primero debido a las 2h de retraso en la salida, y el viento débil durante unas horas en la salida de Luperón.
Comienzo sin viento, 2h de motor, lloviznas, algunos delfines (2 pequeños en la salida, unos más grandes luego).
Después no íbamos muy rápido porque para navegar con el viento por atrás es más lento, para que el piloto se las arreglara sólo a pesar de un oleaje bastante fuerte, obtamos por configuraciones de vela no muy rápidas.
Primero la gran vela (GV) y genoa, pero oleaje fuerte, viento no muy fuerte, resultó un poco inestable. Luego probamos el genoa solo, con el tangón, pero el tangón es muy largo, creo que le da una mala forma al genoa. Por fin lo haremos con GV y genoa con tangón.
Cuando lleguemos a Windward Passage, tenemos que poner la vela del otro lado. Primero enrollamos el genoa con tangón, luego cambiamos la gran vela de lado, con ráfagas de 30 nudos, pero todo va bien.
Sin embargo, una vez terminado, una ola nos desestabiliza completamente, el piloto se pierde, cambio brusco de vela al otro lado, no controlado.
La cuerda que mantiene la “bóme” para evitar ese cambio intempestivo de la vela de un lado a otro se rompió, (al menos es ella que hizo la función de fusible, la polea y la manilla también, visto la forma que tienen ahora). Aparte de eso, nada roto, excepto Pierre, un poco...
Se estrelló contra el banco trasero, dándole un fuerte golpe en la tibia, un poco una mano, un poco por encima del ojo.
La tibia está sangrando, pero primero arreglamos lo del barco : estabilizar el rumbo, ajustar las velas, volver a poner al piloto.... Ah, claro es de noche... Una vez que las cuerdas se han desenrollado, se quita la vela y se continúa con el genoa solo “tangoné » para volver a entrar en el mar Caribe.
A partir de ahí, Laura hará de enfermera todos los días, tratando de detener la hemorragia, cerrar la herida con estrías, rehacer el vendaje todos los días desinfectando... Está mejorando, pero tendrá que esperar a verlo en México.
A partir de ahí seguimos tranquilos, con mucho viento y oleaje, hasta que el viento baja.
Jueves 18, en la noche (2h a 9h) prendemos el motor porque el viento bajó.
Alrededor de las 9h, un poco de viento (12-15 nudos), ponemos el spi durante 5h (hace 15 meses desde la última vez que no lo poníamos), luego de nuevo motor el jueves 14h y el viernes 6h.
Y de repente, el motor se detiene.
Es gracioso en medio de la nada, sin viento, el motor tosiendo y parandose.
No hay que panicar, parece un problema de alimentación de gasóleo, porque no se enciende ninguna luz.
Echamos un bidón en el tanque, pero no parece que esté vacío.
Desmonto el filtro, lo limpio, lo subo, y arranca... hermoso.
Me salté los pasos: ¿cómo se desmonta el filtro, no tengo la herramienta, ¿dónde está el manual, qué son estos dos tornillos en él, dos en el lado? En fin, la duda.
Después, la purga... ¿Cuál es el tornillo de purga? En fin, intento purgar, con él palito puesto que no hemos puesto la pera!. Nada sale, insisto… veremos si la bomba hace el trabajo. Aprieto todo, arranco, y milagro, funciona. Sólo un tornillo suelto en la parte superior que no se aprieta bien, que parece un poco estropeado.
Por fin son las 8h30, y ya andamos. Seguimos con el motor hasta las 18h, quedan 145 millas por recorrer, quizás lleguemos el sábado !
Ponemos los 40 litros de combustible que quedan en los bidones.
Son las 12 de la noche cuando baja la potencia del motor. Paro, miro, fuga de gasóleo a nivel del filtro y del tornillo de purga. A limpiar, encontrar un tornillo de recambio y eso arreglará el problema.
El problema también se resuelve porque el viento vuelve, 15 nudos, volvemos con él genoa y avanzamos.
Comprobaré la fuga antes de llegar a Puerto Morelos, para asegurarme de poder contar con el motor a la llegada, y todo estará bien.
Finalmente habremos hecho 44 horas de motor en mar tranquilo, hasta mar de aceite, con una interrupción de 5 horas con el Spi cuando el viento había vuelto un poco a 12-15 nudos, y otra interrupción por parada espontánea del motor !
Départ de Puerto Bahía et Samaná Bay pour Luperon
Lundi 22 février
Fr.- Départ de Puerto Bahía et Samaná Bay pour Luperon, sur la côte nord (26h de navigation prévues).
Formalités accomplies (régler la facture à la capitainerie, despacho par la douane, visite du bateau par la Marine… L’agriculture était absente, comme à l’arrivée). Départ vers 10h30.
Le vent est déjà monté, et nous devons tirer des bords, d’abord pour sortir de la baie, puis pour passer le Cap Samaná. Sortie au moteur, puis 2 ris et un peu de génois, en conservant le moteur.
Ça a pris pas mal de temps… Après 2h30 on coupe le moteur, on lâche un ris et on déroule un peu de génois. La mer est agitée, le vent fort… et on aperçoit deux baleines.
Quand enfin on passe le cap Samaná, on se retrouve au portant et, malgré la houle, en situation plus confortable pour passer les divers caps : Cabrón, Francés…
On passe au large de Las Terranas, puis de Puerto Plata. Il y a de nombreuses éoliennes sur la colline en bord de mer.
Lunes 22 de febrero
Esp.- Dejamos Puerto Bahía y Samaná Bay hacia rumbo a Luperón, en la costa norte (26 horas de navegación previstas).
Trámites cumplidos (liquidación de la factura en la capitanía del puerto, despacho por la aduana, visita de la embarcación por la Armada… Faltaba agricultura, como a la llegada). Salida a las 10h30.
El viento ya había subido, y tuvimos que navegar en contra del viento, primero para salir de la bahía, luego para pasar el cabo Samaná. Salimos con el motor, luego reducimos la vela y reducimos el genoa, manteniendo el motor. Tomó bastante tiempo. Después de 2h30 se apagó el motor, se un rizo y se desenrollo un poco el genoa. El mar era agitado, el viento fuerte... 2 ballenas a la vista
Cuando finalmente pudimos pasar el cabo Samaná, nos encontramos con el viento atrás, y a pesar del oleaje fuerte nos encontramos mas confortables, con los distintos cabos a pasar: Cabrón, Francés...
Pasamos frente a las Terranas, luego de Puerto Plata. Se ven muchas eólicos en la colina frente al mar.
Mardi 23 février
Fr.- Arrivée vers 12-13h à Luperón. Le vent est fort, mais les vagues et la houle s’arrêtent dés qu’on entre dans la baie. Le balisage est clairsemé, il n’y a plus de bouées vertes, il faut surveiller les bancs de vase.
Il y a beaucoup de bateaux au mouillage, et il n’est pas clair où se trouve la marina (le Yacht Club Luperon, supposée plus grande et avec plus de places visiteurs…) On prend une bouée.
Il n’y a pas d’anneau sur la bouée, on essaie donc au lasso, raté. Olivier passe en canot, et nous aide à prendre la bouée. Plus tard Carlos, assistant de Andy, le propriétaire de la bouée, nous aidera à sécuriser l’amarrage, en prenant le mouillage et non la bouée. On devra payer 2$ par jour, et il propose des services : eau, fuel, lessive, nettoyage coque et hélice (propellor)…
On est bien situé, près de la côte et de la marina Puerto Blanco (200 m). Juste derrière nous, Wildest Dreams, un Oceanis 400, arrivé il y a 3 ans et installé ici. A côté Exodus, un bateau noir de voyage, avec un chat.
Martes 23 de febrero
Esp.- Llegada entre las 12-13h en Luperón. Viento fuerte, pero las olas y las ola de fondo se calman en cuanto entramos en la bahía. Señalamiento escaso, no hay boyas verdes, se trata de evitar encallar en los bancos de barro.
Muchos barcos anclados, no está claro dónde está la marina (el Club de Yates Luperón, supuestamente más grande y con más lugar para los visitantes…). Tomamos una boya.
No hay anillo en la boya, se intenta con un lazo, fracaso. Olivier pasa en lanchita y nos ayuda a tomar la boya. Más tarde Carlos, asistente de Andy, el propietario de la boya, nos ayudará a asegurar el amarre, tomando el fondeadero y no la boya. Tendremos que pagar 2 dólares por día, y Andy ofrece servicios : agua, combustible, lavar ropa, limpieza del casco y hélice (Propellor)…
Estamos bien situado, cerca de la costa y de la marina Puerto Blanco (200 m).
Justo detrás de nosotros : Wildest Dreams, un Oceanis 400, que llegó hace tres años y se instaló aqui. A un lado Exodus, un barco negro de viaje con un gato.
Luperón
Fr.- C’est une mangrove en forme de baie, avec plein de voiliers au mouillage, et un ponton de marina avec restau, bar, ...
On est au mouillage, sur une bouée, assez près de la marina. C’est un endroit spécial, qui rappelle un peu Le Marin en Martinique, avec tous ces bateaux mouillés, moins la marina moderne. Et le public est très différent. Quelques bateaux de passage, entre les Bahamas, Turk et Caycos et les Caraïbes. Mais beaucoup genre hippies, qui on jeté l’ancre il y a plusieurs années et sont installés là.
C’est un trou à cyclones, donc les gens peuvent y rester. Pendant notre séjour Christopher, un américain qui a vécu 20 ans en France, mais aussi en Thaïlande, en Birmanie,... nous rendra visite au mouillage à la rame, nous donnant des nouvelles du coup d’état militaire à Rangoun, accusant Total de soutenir financièrement ces derniers…
Olivier vit sur une vieille goélette de 26 T et un bateau dont il s’occupe. Il vit à bord avec Nathalie, et a installé un atelier dans un container à terre, pour réaliser un musée sous-marin, statues et objets en béton, coulés, servant de base à un récif corallien et d’abris au poissons. Il se visitera en plongée… Il a 2 chevaux, un âne, des poules… et un jardin.
Luperón
Esp.- Es un manglar en forma de bahía, con muchos veleros en el fondeadero, y un muelle de marina con restaurante, bar, ... Estamos en una boya, muy cerca de la marina. Es un lugar especial, que nos recuerda un poco a « Le Marin » en Martinica, con todos estos barcos fondeando, menos la marina que no es tan moderna.
Y el público es muy diferente. Algunos de paso, entre las Bahamas, Turk y Caycos y el Caribe. Pero muchos estilo hippies, que anclaron hace muchos años y se instalaron allí.
Es una lugar protegido de los huracanes, así que la gente puede quedarse. Durante nuestra estancia Christopher, un americano que vivió 20 años en Francia, pero también en Tailandia, en Birmania,... nos visitará en el fondeo a remos, y nos dará noticias del golpe de estado militar en Rangún, acusando a la compañía Total de sostener financieramente a éste, vamos a dar un paseo por aquí y pasar un rato.
Olivier vive en una vieja goleta de 26 T y un barco del que se ocupa. Vive a bordo con Nathalie, y ha instalado un taller en un contenedor en tierra, donde fabrica estatuas, arqueología marina, realización de un museo modelo subacuático… Tiene dos caballos, un burro, gallinas... y un jardín.
Fr.- La marina, Puerto Blanco, est associée au restau Las Velas. Le lieu est très sympa, en particulier Della…mais les douches sont très moyennes, et la machine à laver en panne. Bon, on va passer un peu de temps ici et s’y balader.
Esp.- La marina, Puerto Blanco, queda asociada con el resto Las Velas. Es un lugar simpático, en particular Della... pero las duchas mas o menos, y la lavadora no funciona.
Fr.- L’autre marina, le Yacht Club Luperon, sensée être plus grande, moderne, etc.. ne semble pas à sa place. En fait on est mouillée en face. On apprendra plus tard qu’elle n’existe plus depuis quelques années, détruite car n’a pas été entretenue, le propriétaire étant décédé, … Il reste des traces des pontons, et devant un bateau touristique de Caycos, venu ici en tant qu’abri, trou à cyclone, et un vieux bateau moteur qui était associé à la marina.
Bon, on va passer un peu de temps ici et s’y balader.
Esp.- La otra marina, Luperón Yacht Club, que se suponía más grande, moderna, etc. no parece estar en su lugar. En realidad estamos frente a ella. Más tarde sabremos que no existe desde hace algunos años, destruida porque no hubo mantenimiento, ya que el propietario ha fallecido... Hay rastros de los pantalanes, y al frente un barco turístico de Caycos, que vino aquí a refugiarse de los huracanes, y una vieja lancha de motor que era asociada con la marina.
Bueno, nos vamos a quedar un tiempo por aquí, y pasear…
Fr.- Le lendemain de l’arrivée on fait les formalités d’entrée. On se rend en annexe dans le village, au fond du bras gauche de la baie. Immigration : pas nécessaire (on vient de Samana). Capitainerie (10 + 15 $ pour le mois), douane, agriculture qui nous fait payer 10 $ puisqu’on ne les a pas payé à Samana.
Ensuite balade dans Luperon, ses deux rues principales (Duarte et Independancia), sandwich dans un petit supermarché et retour au bateau. Passage de Andy, puis Carlos : nous aurons payé 800 pesos pour la semaine, même si l’armée nous a demandé de ne rien payer. Il nous semble « fair » de payer Andy, dont c’est la bouée et qui nous a bien aidé.
Esp.- El día siguiente de nuestra llegada, vamos hacer los papeles con las autoridades en el pueblo, al fondo del brazo izquierdo de la bahía. Vamos con el dinghy… Inmigración, no es necesario (llegamos de Samaná). Capitanía (10 + 15 dólares por mes), aduanas, agricultura (que nos cobran 10 dólares que no se pago a Samaná. Luego el ejército, que nos cita en el barco a la 1:00. En efecto pasarán, sobre todo para beber un trago (zumo de fruta).
Luego paseo por Luperón, sus 2 calles principales (Duarte e Independancia), sándwich en un pequeño supermercado y vuelta al barco. Paso de Andy, luego Carlos: habremos pagado 800 pesos por la semana, aunque el ejército nos dijo de no pagar nada… Nos parece justo pagar a Andy, dueño de la boya y que ayudó bien.
Fr.- Of mice and men…
Maintenant, une expérience très « déstabilisante » :
Nous avons embarqué, à Puerto Bahia, sans le savoir bien sûr, une souris ou un petit rat. Il a dû passer du quai au bateau par un cordage. C’est comme racontait Antoine dans son bouquin de conseils.
A Puerto Bahia on a vu une banane grignotée alors qu’elle était accrochée dans le carré. On a pensé que c’était un oiseau qui était entré par les capots ouverts, on l’a vu en Martinique et à Antigua. Arrivés à Luperon on a retrouvé une brique de lait et une de lait de soja grignotées au point de s’être vidées dans la cabine avant.Tout sortir, nettoyer, et constater les dégâts de pas mal de trucs grignotés, bouffe, plastique, ficelles... bref plein de choses.
En fait la journée il ne se passait rien, mais toutes les nuits elle se baladait partout, derrière les cloisons, les coffres, les équipets.. flippant. On a trouvé une stratégie, l’attirer à l’extérieur, l’empêcher de rentrer et voir comment l’éliminer... Ça nous a pris 5 nuits...
Le piège a vite fonctionné : le coffre arrière entrouvert, coincé par une baguette, quand on voyait la bête à l’extérieur, on tire la ficelle, ça se referme brutalement, elle est coincée dehors.
J’avais pensé à tout, bouché la manche à air, et la bouche de sortie du ventilo de cale, donc ce 1er soir de lutte, assez confiant. Ça avait pris plusieurs heures de guet pour l’attirer et la savoir dehors.
Une fois coincée dehors on la voit courir sur les plats bords, puis plus rien. C’était pleine lune, on y voyait assez bien. Je sors voir ce qu’il en est, le chiffon bouchant la sortie du ventilo à disparu. Et peu de temps après on ré-entend l’animal à l’intérieur.
Grosse déception, questions sur ce qu’elle va apprendre de l’expérience, et tout à refaire.
Le lendemain on recommence, là je crois qu’on l’a raté, ou qu’elle n’est pas sortie.
Le soir suivant on l’a re-coincée dehors, après avoir bien bouché la sortie ventilo, elle trouve à nouveau le moyen d’entrer.
En effet, sur l’avant il y a un système d’aération, fait le 4 trous plus petits qu’un bouchon de liège... une souris c’est très souple ! On bouche ça aussi, et c’est reparti pour la nuit suivante.
Entre temps les dégâts continuent, et je suis inquiet pour les câbles, les fils, les cordes...elle découpe des pots en plastique, elle bouffe le liège..
On a acheté du poison, un piège à base de colle, bref on est un peu paumé, mais pour moi la seule stratégie est de la coincer dehors.
On commence aussi à être épuisés de veiller toutes les nuits... En plus Laura est malade, genre grippe (pas covid, elle a fait le test).
Bon, ce dimanche soir on recommence l’opération.
Moi je n’entends plus trop les aigus pour suivre l’animal à l’intérieur. Laura s’en charge, et je dois la piéger une fois dehors. Ce soir là Laura n’arrive pas à me réveiller et actionnera le piège elle même.
Une fois la souris dehors je sors voir ce qui se passe, elle se cache mais ne trouve plus d’entrée dans le bateau.
Petit à petit on l’accule vers l’arrière et elle finit par passer dans l’annexe qui s’était rapprochée au gré du vent.
On laisse l’annexe s’éloigner, et on respire enfin.
Reste comment l’éliminer ?
Finalement on se décide à embarquer dans l’annexe pour aller à terre lâcher l’animal.
Il est 2h du matin, un grain passe qui fait qu’on est trempé, mais on y va, on débarque dans un endroit plein de vase, de pierres et de coquillages, assez ragoûtant.
Mais on n’a plus la souris. En fait elle a dû choisir de quitter l’annexe à la nage quand on a embarqué.
Ça semble résolu, mais échaudé comme on l’est on va pendre des précautions et maintenir le bateau fermé, et un qui surveille quand l’autre sort, bref une sorte de paranoïa.
La nuit suivante on surveille... plus rien ne se passe.
Personnellement ça m’a assez traumatisé, car pour moi il y avait un vrai danger à avoir cet animal à l’intérieur pouvant faire de vrais dégâts. A la campagne on a des souris, mais ce n’est pas très grave. Là si.
C’est, je pense, la première fois que j’ai à vraiment lutter contre un ennemi, et en imaginant ses réactions, sa propre, stratégie, etc. J’étais en plus en train de lire Jonathan Livingston le goéland, un bouquin très bien, ou l’animal est très «humanisé». Certes Jonathan est lumineux, positif, ... Mais après j’ai lu « Maudit Karma », où une présentatrice de télé se réincarne en fourmi, puis en cochon d’Inde... Là encore, des animaux très « humanisés ». J’avais du mal à ne pas prêter à la souris des intentions, des pensée, des réactions.
On n’est pas encore remis de tout ça, mais ça va mieux.
Bon l’histoire fut longue, mais à la hauteur des inquiétudes…
Esp.-Ahora, una experiencia muy desestabilizadora :
Embarcamos, en Puerto Bahía, sin saberlo, un ratón o una pequeña rata. Tuvo que pasar del muelle al barco por un cordaje. Pasó como lo contó Antoine en su libro de consejos.
En Puerto Bahía vimos un plátano mordisqueado mientras estaba colgado en el interior del barco. Pensamos que era un pájaro que entró, eso lo vimos en Martinica y en Antigua. Al llegar a Luperón se encontró un cartón de leche y una de leche de soja mordidas hasta el punto de que se habían vaciado en la cabina delantera. Sacar todo, limpiar, y ver el daño de un montón de cosas mordisqueadas, comida, plástico, cuerdas... en total muchas cosas.
De hecho, durante el día no pasaba nada, pero todas las noches se paseaba por todas partes, detrás de los tablas, las cajas, los equipos… espeluznante. Encontramos una estrategia, atraerlo fuera, evitar que entrara y ver cómo eliminarlo... nos llevó cinco noches... La trampa funcionó rápidamente : el cofre trasero entreabierto, ammarrado a un cepillo d dientes, cuando veías a l’animal en el exterior, tiras de la cuerda, se cierra bruscamente, está atrapado a fuera.
Había pensado en todo tapar, la manga de aire, y la boca de salida del ventilador de centilla así que está primera noche de lucha, bastante confiado. Tomó varias horas de vigilancia para atraerla y estar seguro que estaba a fuera.
Una vez atrapado fuera, lo vimos corriendo por los bordes del barco, pero luego, nada… Había luna llena, se podía ver bastante bien. Salí a ver qué había pasado, el trapo obstruyendo la salida del ventilador había desaparecido. Y poco después se vuelve a oír al animal en el interior.
Gran decepción, preguntas sobre lo que va a aprender de la experiencia, y todo para volver a hacer.
Al día siguiente empezamos de nuevo, y creo que no la vimos o no salió.
La noche siguiente, la encerramos de nuevo fuera, después de tapar bien la salida de ventilación, pero encontró de nuevo la manera de entrar. De hecho, en la parte delantera hay un sistema de ventilación, hecho con 4 agujeros más pequeños, que un tapón de corcho... un ratón es muy flexible ! También tapamos estos, y volvemos a la noche siguiente.
Mientras tanto el daño continúa, y estoy preocupado por los cables, las cuerdas... el corta los tarros de plástico, el come el corcho.. Compramos veneno, una trampa a base de pegamento, o sea estamos un poco perdidos, pero para mí la única estrategia es atraparlo afuera.
También estamos cansados de estar despiertos todas las noches... Además Laura está enferma, como una gripe (no covid, se hizo la prueba). Bueno, este domingo por la noche volveremos a hacer la operación.
Yo ya no oigo bien los agudos para seguir al animal dentro. Laura se encarga de ello, y tengo que atraparla cuando salga. Esa noche Laura no puede despertarme y activará la trampa ella misma. Una vez el ratón a fuera, salgo a ver qué pasa, se esconde pero no encuentra más entrada en el barco.
Poco a poco se la acorrala hacia atrás y termina por pasar por el anexo que se había acercado a voluntad del viento.
Dejamos que el anexo se aleje y finalmente respiramos.
¿Ahora, cómo vamos a eliminarlo?
Finalmente decidimos embarcar en el anexo para ir a tierra soltar al animal.
Son las 2h00 de la madrugada, un chubazco pasa que nos empapa, pero vamos a la costa con la lancha, en un lugar lleno de jarrones, piedras y conchas, bastante sucio…
Pero ya no tenemos el ratón. De hecho, tuvo que optar por salir nadando del anexo cuando subimos a bordo.
Parece resuelto, pero con lo que nos costo vamos a tomar precauciones, mantener el barco cerrado, y uno vigilancia cuando uno sale : en resumen, una especie de paranoia.
La noche siguiente vigilamos... no pasa nada.
Personalmente, me traumatizó bastante, porque para mí era un peligro tener a ese animal dentro que podía hacer un daño real. En el campo tenemos ratones, pero no es gran cosa. Aquí sí.
Creo que es la primera vez que realmente tengo que luchar contra un enemigo, e imaginando sus reacciones, su propia estrategia, etc. Además, estaba leyendo a Jonathan Livingston el gaviota, un libro muy bueno, donde el animal está muy «humanizado». Ciertamente Jonhatan es brillante, positivo, ...
Pero luego leí «Maldito Karma», donde una presentadora de televisión se reencarna en hormiga, luego en cobaya... Una vez más, animales muy «humanizados». Me resultaba difícil no prestar al ratón intenciones, pensamientos, reacciones.
Aún no hemos superado todo esto, estamos mejor.
Bueno, la historia fue larga, pero a la altura de las preocupaciones…
Fr.- Retour à la ville de Luperon dans la semaine en moto taxi (Henry, qu’on appelle par whatsapp, est très disponible et pas cher : 100 pesos). Jeudi : courses, comida corrida, avec sur le chemin la visite de l’atelier d’Olivier, ses chevaux, son âne, son jardin,… On voit son four à pain, on lui en achètera dimanche.
Esp.- Volver a la ciudad de Luperon en la semana en moto taxi (Henry, que se llama por Whatsapp es muy disponible y barato: 100 pesos). Jueves: compras, comida corrida, con en el camino visita el taller de Olivier, sus caballos, su burro, su jardín,... Veremos su horno de pan y se lo compraremos el domingo.
Fr.- Laura ayant quelques soucis de santé, genre grippe, ce seront quelques jours à fréquenter hôpital et pharmacie.
Vendredi : test covid, qui se révèlera négatif.
Samedi un intermède : courses, petit restau, et on laisse des choses à coudre chez "El Flaco".
Dimanche : hôpital, consultation
Lundi : hôpital, analyse, radio
Mardi : retrait des analyses, re hôpital, perfusion, récupération de médicaments.
Finalement, ça va mieux.
Récupération du bimini avec ses sangles, sac, coussin chez El Flaco…. et on termine au restau.
Mercredi : le plein des réservoirs d’eau (60 l), et on donne à faire une lessive à Carlos et Andy.
Nettoyage de la coque (ligne de flottaison) en faisant le tour du bateau avec l’annexe.
Balade à Playa Grande, à la sortie de la baie : restau (poisson, crevette), baignade et douche en plein air.
Esp.- Laura estando enferma, tipo gripe, pasaremos unos días entre hospital y farmacia.
Viernes : test covid, negativo !
Sábado, ligero cambio : compras, restaurante, y dejamos cosas para coser con El Flaco.
Domingo : hospital, consulta
Lunes : hospital, análisis, radio
Martes : retiro de las análisis, regreso al hospital, perfusion, recoger medicamentos.
Por fin se siente mejor.
Recuperación del bimini con correas, bolsa, cojín con El Flaco... y terminamos al restaurante.
Miércoles : llenamos los tanques de agua (60 l), y limpieza de ropa con Carlos y Andy.
Limpieza del casco (la línea de flotación) dando vuelta al barco con el anexo.
Paseo a Playa Grande, en la salida de la bahía, luego restaurante (pescado, camarón), nadar y ducha.
Balade à Puerto Plata
Fr.- On prend une margarita (moto taxi) jusqu’à Luperon, puis le guagua (bus) jusqu’à Imbert, et enfin une voiture à 4 personnes jusqu’à Puerto Plata.
On se balade dans le centre, la place Independencia, la cathédrale, les rues et maisons typiques… Le musée de l’ambre est fermé, comme la citadelle, mais la promenade est sympa, se terminant sur le malecon après un restau local…
On va ensuite au mercado nuevo, en haut de la colline, bien sûr riche en fruits, légumes, etc.
On prend une moto (on est 3 avec le chauffeur, et nos paquets) jusqu’au lieu de départ des voitures pour Imbert, puis une autre voiture jusqu’à Luperon, et Henry jusqu’à la marina et le restau Velas.
On reviendra à Puerto Plata pour le téléphérique…
Casas típicas Puerto Plata
Paseo por Puerto Plata
Esp.-Tomamos una margarita (moto taxi) hasta Luperón, la guagua (bus) hasta Imbert, y luego un coche de 4 personas hasta Puerto Plata.
Paseamos por el centro, plaza Independencia, catedral, calles y casas típicas... El museo de ámbar esta cerrado, también la ciudadela, pero el paseo es agradable, acabándose en el malecón, después de una comida en un restaurante local...
Después vamos al Mercado Nuevo en lo alto de la colina, frutas, verduras, etc.
Tomas una moto (somos 3 con el chofer y con paquetes) hasta el lugar de salida de los coches para Imbert, luego un coche hasta Luperón, y Henry hasta la marina y el restaurante Velas.
Volveremos a Puerto Plata por el teleférico…
Fr.- Finalement on loue une moto pour 3 jours… La conduite est spéciale, mais très « pratique ».
Certes il y a d’autres motos qui doublent à droite, alors qu’on est sur le bord pour éviter les bagnoles ! Il y a aussi une moto avec le père au téléphone, et deux enfants sur les genoux.
Des motos en sens inverse sur la bande d’urgence, qui est bien sûr utilisée par les motos, mais aussi par des piétons, des chevaux, des voitures garées, …
Eglise Isabela histórica
1er jour : Isabella Histórica (route de la côte, plage (restau poisson), musée fermé, temple de las Américas (église), et retour par intérieur.
2ème jour : Puerto Plata pour le téléphérique. En fait on monte en moto jusqu’en haut. Montée très raide, et donc descente aussi, avec patinage, blocage des roues, etc… Mais on s’en sort.
Belle vue, même si un peu de brume, et visite du « jardin botanique » : on distingue très bien la végétation des 3 étages de hauteur : celle du sommet à 800 m (pin entre autre), celle du milieu et celle du niveau de la mer…
Ruta Luperón
Esp.- Por fin alquilamos una motocicleta por 3 días… El manejo es muy especial, pero «práctico» :
motos rebasando por la derecha mientras estamos en el borde para evitar los coches,
motocicleta con el padre al teléfono y dos niños en sus piernas, motos en sentido contrario en la banda de emergencia utilizada por supuesto por las motocicletas, pero también por peatones, caballos, coches aparcados, …
Día 1: Isabella Histórica (camino de la costa, playa (restaurante de pescado), museo cerrado, templo de las Américas (iglesia), y regreso por el interior.
Día 2 : Puerto Plata para el teleférico. De hecho, se sube en moto hasta arriba. Subida muy empinada, y por lo tanto bajada también, con patinaje, bloqueo de ruedas, etc... Pero nos las arreglamos. Hermosa vista, aunque niebla, y «jardín botánico»: se nota la vegetación de casi tres pisos de altura: 800 m la cumbre (pino entre otros), medio y nivel del mar...
Fr.- Après Puerto Plata, Sosua. C’est une station balnéaire, avec ses plages de sable, son eau très claire, mais avec beaucoup de monde, on est dimanche. Enfin, on s’y baigne. Un autre aspect particulier de Sosua, son musée juif, retraçant sans doute l’histoire de la communauté juive qui a trouvé refuge en République Dominicaine, est malheureusement fermé.
Retour par Puerto Plata, Imbert et Luperon, un total de 180 km…
3èm jours : il ne fait pas très beau, nous irons juste à Luperon… On récupérera les drapeaux donnés à réparer à "El Flaco", puis on ira au restau Las Palmeras. Très sympa, ils nous prêtent une imprimante pour que nous puissions avoir quelques exemplaires papiers demandés par les autorités mexicaines : liste de l’équipage, passeports, papier du bateau, assurance …
Pierre chez le coiffeur
En fin d’après-midi on essuie une grosse averse, on reste donc un peu au restau Las Velas, et c’est le retour au bateau.
Le lendemain on rend la moto, et Tuti me raccompagne à Velas. On reste un certain temps au restau, (repas « soupe de poulet », avec riz), On fait un peu d’internet, puis retour au bateau.
La pluie devient intense et continue, jour et nuit.
Le lendemain (mercredi) même chose. On utilise l’eau de pluie pour une lessive et pour remplir le réservoir… On doit écoper l’annexe qui se remplit.. On reste sur le bateau à voir passer des branches et les bouts de bois flottants sur l’eau.
On se prépare à quitter Luperon. On demande à Carlos de nettoyer l’hélice qui est constellée de petits coquillages. Il le fait en apnée. On l’a vu nettoyer complètement la coque d’un bateau voisin en plongeant avec un tube lui fournissant l’oxygène grâce à un compresseur sur sa barque !
Les formalités de sortie sont accomplies comme à l’arrivée, sauf l’armée qui nous dit qu’ils passeront le lendemain matin, vers 7h pour visiter le bateau et signer le papier de sortie…
Esp.- Después de Puerto Plata, Sosua : balneario con sus playas de arena, su agua muy clara, pero con mucha gente (domingo). Nos metemos al mar. Otro aspecto de Sosua, fue un lugar donde se instalaron judíos refugiados en República Dominicana. La sinagoga ahora se convirtió en museo, pero lo encontramos cerrado.
El regreso pasa por Puerto Plata, Imbert y Luperón, en total 180 km.
Día 3 : el tiempo no es muy bonito, sólo iremos a Luperón. Recogimos las banderas reparadas con el El Flaco y después restaurante Las Palmeras. Muy agradable, nos prestan una impresora para tener algunos ejemplares papeles solicitados por las autoridades (mexicanas) : lista de la tripulación, pasaportes, papel del barco, seguro …
Nos toca un aguacero, nos quedamos en Las Velas antes de regresar al barco.
Al día siguiente devolvemos la moto, Tuti me acompaña a Velas. Nos quedamos un tiempo en el restaurante (comida «sopa de pollo» con arroz), haciendo un poco de internet, antes de volver al barco. La lluvia se hace intensa y continua, día y noche.
Al día siguiente (miércoles) lo mismo. Se utiliza el agua de lluvia para limpiar ropa y llenar el tanque de agua. Se debe sacar el agua del anexo que se esta llenando. Nos quedamos en el barco, mirando pasar ramas y trozos de madera flotando sobre el agua.
Nos estamos preparando para salir de Luperón. Pedimos a Carlos que limpie el hélice que esta cubierta de conchas.
Para los papeles de salida hacemos como cuando llegamos, pero el ejercito nos da cita en la mañana del dia siguiente, en el barco para visitarlo. Deberían de llegar a la 7h de la mañana.
Pierre playa Luperón
République Dominicaine
Mardi 9 février départ pour
République Dominicaine
Fr.- Nous quittons Sint Maarten après y être resté un mois, s’y être pas mal baladé et avoir retrouvé quelques bateaux connus à Antigua : Jeff et Sofia qu’on retrouve régulièrement, Louise et famille sur Aracaï, Jürg, le Suisse…
Jeff y Sofía sont partis pour la République Dominicaine avant nous, et y ont laissé leur bateau pour rentrer quelque temps en Europe. Ils devraient revenir dans une quinzaine et on pourrait peut-être se retrouver.
Esp.- Dejamos Sint Maarten después de un mes de habernos paseado y encontrado algunos barcos conocidos en Antigua : Jeff y Sofía que encontramos muy seguido, Louise y familia sobre Aracaï, Jürg, el suiso…
Jeff y Sofía llegaron a la República Dominicana antes que nosotros, dejaron su barco para regresar a Europa por un tiempo y deberían volver en quince días. Creo que deberíamos reunirnos.
Fr.- De Sint Maarten nous sommes allés directement à Puerto Bahia, la marina dans Samaná Bay, au nord est de La République Dominicaine.
Nous sommes passé par le Virgin passage, entre St Thomas et Ste Croix, puis avons longé Puerto Rico, traversé le Mona passage jusqu’à Samaná Bay.
Sint Maarten
Puerto Bahía Samaná
Esp.- Desde San Martín fuimos a Puerto Bahía, la marina en Samana Bay, al noreste de República Dominicana.
Pasamos por el Virgin Passage, entre San Tomás y Santa Cruz, luego pasamos a lo largo de Puerto Rico, atravesamos el Mona Passage hasta Samana Bay.
Llovisna al fondo
Un grain
Samaná
Fr.- C’est une baie où viennent les baleines à bosse en cette saison, et on les a vues !
On a mis 3 jours et 3 nuits pour arriver, avec pas mal de vent et toujours des vagues.
Le problème fut une arrivée vers 23h dans l’entrée de la baie, par une nuit complètement noire, sans lune, d’où la nécessité de ralentir pour attendre le jour. On avait un courant de plus de 1 knt et un vent de 25 knt dans le dos, donc on avançait assez vite. Quand à sec de toile le vent est monté à 40 knt, et qu’on entrait dans la baie à 6 knt nous nous sommes vus arriver au fond de la baie en pleine nuit. On est donc reparti vers le large, au moteur pendant quelques heures. Face au vent et au courant on allait lentement, et sans vraiment contrôler la direction…
Enfin, ça c’est bien terminé et on est arrivé au matin dans la marina.
Esp.- Es una bahía en donde vienen las ballenas jorobadas en esta época del año, y las vimos.
Tardamos tres días y tres noches en llegar, con mucho viento y muchas olas.
El problema fue una llegada tardía hacia las 11pm. en la entrada de la bahía, con una noche completamente negra, sin luna, de ahí la necesidad de frenar para esperar al día siguiente. El problema era que teníamos una corriente de más de 1 nudo y un viento de 25 nudos en la espalda, mas seguíamos avanzando. Bajamos las velas pero el viento subió a 40 nudos y entramos en la bahía a 6 nudos. Nos vimos llegar al fondo de la bahía en plena noche, asi que para evitar el peligro dimos media vuelta hacia el mar, con motor durante unas horas.
Frente al viento y a la corriente, ibamos despacio pero hacia dónde quería ir.
Todo terminó bien y llegamos a la marina por la mañana.
Fr.- Vendredi 12 février
Arrivée vers 11h, après avoir aperçu une baleine à 5 m de nous, qui a plongé sous le bateau…
Accueil, formalités, PCR… repos, dormir, restau où on assiste à un beau coucher de soleil…
Samedi - Dimanche :
repos dans la marina, où il y a bar, restau, billard, salle de sport…
Nous sommes autorisés à utiliser la piscine de l’hôtel de luxe associé à la marina, ainsi que la salle de gym. Il y a eu quelques jours d’excitation et de préparation lorsque le président de la République est venu passer deux jours dans l’hôtel pour discuter du développement touristique de la région.
Esp.- Llegamos alrededor de las 11am, después de ver una ballena a 5 metros de nosotros, que se sumergió bajo el barco…
Recepción, trámites, PCR...
descanso, dormir, restaurante cerca al mar, bonita puesta del sol, …
Sabado y domingo :
descanso en la marina, donde hay un bar, restaurante, billar, gimnasio…
Había una alberca en el hotel y se nos permitía ir, así como al gimnasio el cual yo lo aproveche unos días. Nos paseamos alrededor del hotel que es muy grande, de lujo. Un día hubo mucho movimiento de los empleados arreglando aquí y allá pues venía el presidente de la República, por dos días para hablar sobre el desarrollo turístico de la región.
Lundi 15 février
Location d’une voiture : excursions
fr.- Visite à Samaná, la ville : le mouillage n’est pas très tentant, il y a des banques, des magasins, un zócalo… Beaucoup de sollicitations pour aller voir les baleines et se rendre sur Cayo Levantado, une petite île touristique proche de Samaná.
Lunes 15 de febrero
Alquiler de un coche : excursiones
Esp.-Visita a la ciudad de Samaná : anclar ahí no es muy atrayente, hay bancos, tiendas, un Zócalo, gente proponiendo llevarte a ver las ballenas y Cayo Levantado (lo que haremos más tarde)
Fr.- Conduire en République Dominicaine est assez folklorique : sur les routes du nord-est, on voit de nombreux motards transportant entre 2 et 4 personnes dont des bébés et des enfants, des femmes en amazone… Ils roulent vite et parfois en sens inverse. On peut également voir beaucoup de motocyclistes transportant des bouteilles de gaz ou d'autres objets encombrants, sur le porte-bagages ou même sous le bras !
Esp.- Es un folclor conducir en R.D., por las carreteras del noreste, se ven muchos motociclistas que llevan de 2 a 4 personas incluyendo bebes y niños. Conducen rápido y a veces en sentido contrario. (frente a ti…) Se ven también mucho motociclistas cargando tanques de gas enormes, u otros objetos.
Fr.- Route à Limón : cette route conduit à la cascade « El Limón », et on y croise des cavaliers qui attendent les clients pour les emmener à la cascade. Nous nous arrêtons pour déjeuner dans une case au bord de la route : nourriture maison, riz, poulet, haricots noirs et bière, mais en bouteille de 3/4 de litre, c'est le minimum.
Après le déjeuner, on nous propose la promenade à cheval jusqu'à la cascade. En général ils accompagnent la promenade à pied en guidant les chevaux, mais nous leurs demandons de nous laisser chevaucher seuls. La balade d’une heure aller-retour a lieu sur un sentier étroit, assez boueux par endroit et parfois raide. Arrivés à la cascade, il y a beaucoup de monde mais l'endroit est magnifique. Sur le chemin du retour, beaucoup de groupes, cavaliers et piétons, descendent vers la cascade, nous obligeant à laisser le passage.
Route vers el Limón
a caballo hacia la cascada
Esp.- Camino a Limón : en la carretera que va a la cascada El Limón se ven unos jinetes que esperan clientes para llevarles a la cascada. Nos paramos a comer en una choza (comida corrida) arroz, pollo y frijoles; para tomar Pierre pidió una cerveza y a su gran sorpresa era de 3/4, así es allá. Después de comer nos propusieron el paseo en caballo a la cascada El Limón. En general ellos conducen los caballos y van a pie dirigiéndolos. Pero en nuestro caso le pedimos de dejarnos cabalgar solos. El paseo fue de casi media hora ida; era un sendero angosto, bastante lodoso en partes y a veces empinado. Llegamos a la cascada, había mucha gente, el lugar era muy bonito. De regreso había muchos grupos bajando, teníamos que pararnos y hacernos a un lado para dejarles pasar.
Fr.- Après la cascade, excursion à la plage « Las Galeras ». C’est une zone assez touristique en temps normal, où pas mal de Français se sont installés, tenant des petits hôtels ou des restaurants. En ce temps de covid il y a assez peu de monde, mais le coin est très agréable.
Sur le chemin on voit le trou souffleur, où l'eau de mer sort avec une grande force entre les rochers (boca del diablo). On déjeune dans un restau français, le village est sympa et très fleuri.
On poursuit sur la côte jusqu’à la plage El Rincón, où on a une longue discussion avec une cubaine immigrée, assez critique sur Cuba où elle trouve la vie très chère...
Retour par les plages au nord ouest de Limon, où on aperçoit un groupe de kite surfers.
Las Galeras
Esp.- De ahí fuimos en dirección de la playa, Las Galeras. Es una zona turística en tiempo normal, con muchos hoteles y restauranes dirigido por franceses. Poca gente por el covid, pero lugar muy agradable.
En el camino, agujero soplador el agua del mar sale con mucha fuerza entre las rocas (Boca del Diablo). Comimos en un restaurante francés, el pueblo es agradable, muy florecido …
Seguimos en la costa hacia Playa El Rincón, donde conversamos con una cubana inmigrante, quién nos dijo que la vida es muy cara en Cuba…
Retorno por las playas de noroeste de Limon, donde se divisa un grupo de kite surfers…
Mercredi 17 février
Fr.- Excursion à « Los Haïtises » avec un petit groupe. C’est une zone naturelle, protégée, caractérisée par des rochers isolés, sortant de l’eau, couverts d’arbres et d’oiseaux.
Un taxi nous emmène de la marina à la petite ville de Sánchez, puis un bateau rapide nous fait traverser la baie. La distance et assez longue, mais ça va très vite, tapant terriblement dans les vagues. Le ciel est très couvert et finalement de grosses averses éclatent.
On passe devant l’Ilets aux Oiseaux, puis le village de pêcheurs, et les rochers et les grottes caractéristiques, qui rappellent la baie d’Along au Vietnam. On entre dans la mangrove, puis on retrouve les rochers couverts d’arbres, perchoirs pour des dizaines d’oiseaux…
On a droit à un apéro sur une île, puis un déjeuner dans un petit restau de retour à Sanchez.
Esp.- Miércoles 17 de febrero
Visita a los Haitises con un pequeño grupo. Es una zona natural, protegida, con unas rocas aisladas que salen del agua, cubiertos de arboles y pájaros. Un taxi nos llevó desde la marina hasta la ciudad Sánchez, luego una lancha con motor muy potente cruzó la bahía. La distancia era bastante larga, pero iba muy rápido, golpeando terriblemente en las olas. Además empezó la lluvia. Pasamos frente al Islita de aves, al pueblo de pescadores, a las rocas y cuevas que hacen pensar en la bahía de Along en Vietnam. Entramos al manglar, otras grutas y rocas cubiertas de arboles y aves.
Nos dieron un aperitivo en una isla, luego nos llevaron a comer al resto de regreso a Sánchez.
Fr.- Quelques jours plus tard nous cédons finalement aux multiples propositions et allons en bateau à moteur voir les baleines, attraction de la période. Pierre en a aperçu deux, pas Laura…déçue par la promenade. Puis arrêt à l’île Cayo Levantado pour baignade et déjeuner, et retour à Samaná.
Esp.- Fuimos en lancha a ver las ballenas que es la atracción principal en esa época. La lancha iba rápido, pareciera que echara carreras entre los otros que iban por ahí. Pierre logró ver bien una pero yo no, pues estaba del otro lado. En fin para mí fue una desilusión, mucho ruido para nada, le prometen a uno el gran espectáculo que no vi así, quizás no tuve suerte. Luego nos llevaron a la Isla Cayo Levantado en donde Pierre nado, luego fuimos a comer antes de regresar a Samaná.
Fr.- Santo Domingo
Nous y allons par l'autoroute, et la végétation change assez vite le long du parcours. En particulier apparaissent des rizières. L’arrivée à Santo Domingo se fait par les faubourgs, au Sud-Est, le long de la mer, quartier plein d’ordures partout. Par contre, le centre ville, colonial, est très joli : rues piétonnes, remparts, églises, bâtisses. Mais les musées sont fermés en raison du covid, en particulier le musée sur la découverte de l’Amérique. Dommage, ces musées sont réputés très intéressants.
On peut néanmoins visiter la cathédrale, le monument aux grands hommes et le musée du chocolat… On passe la nuit dans un hôtel sympa, pas trop cher (50 $), à côté d’une petite place « culturelle » où on assiste à une signature de livre par l’auteur.
On se promène dans le centre de la ville, où les gens peignent et exposent dans la rue leurs peintures de style haïtien, naïf. Dans une rue une « sculpture » à base de réservoirs de gaz peints dans le même style naïf, intéressant...
En quittant Santo Domingo nous passons par le « malecon », promenade qui longe la mer, mais trop envahie de voitures. On visite ensuite le Phare à Colón, bâtiment en béton en forme de croix, inauguré par Juan Pablo 2.
On termine par la visite de «Tres Ojos », grottes parmi lesquelles se trouve un Cenote, et c’est le retour à Samana.
Esp.- Santo Domingo
Tomamos la autopista, y la vegetación cambia muy rapido en el camino, en particular vimos cultivos de arroz. Al llegar a la ciudad pasamos por suburbio lleno de basura, antes de llegar al centro colonial, muy bonito con sus murallas, edificios, iglesias, calles peatonal ... Pero los museos eran cerrados, especialmente el museo sobre el descubrimiento de América, supuestamente muy interesante.
Pudimos visitar la catedral, el monumento a los grandes hombres y el museo del chocolate.
Pasamos una noche en un hotel, agradable, barato (50 dólares) al lado de una pequeña plaza «cultural», donde había gente dedicando libros.
Nos paseamos por la centro de la Ciudad, en donde la gente expone sus cuadros de estilo Haitiano, « naif ». Por la calle había también tanques de gas pintados del mismo estilo, interesante…
Al salir de Santo Domingo paseamos por el malecón, luego visita del Faro a Colón (edificio de cemento en forma de cruz, inaugurado por Juan Pablo 2).
Terminamos por la visita a los «tres Ojos», cuevas entre las que se encuentra un Cenote, y regresamos a Samaná.
Fr.- Dernier jour avec la voiture : promenade vers Las Terrenas, par une route de montagne et retour par El Limón. Le village Las Terrenas est constitué essentiellement de deux rues parallèles, agitées, des motos partout. Nous y déjeunons dans un restau à poulets grillés, délicieux mais très bruyant. Sur la côte de jolies plages, plutôt classe, type « resort ». Globalement Las Terranas est un peu décevant, et on préfère Las Galéras.
Esp.- Último día con el coche : fuimos las Terrenas, por una carretera de montaña y regreso por Limón.
El pueblo Las Terrenas consiste esencialmente en 2 calles paralelas, con mucha agitación, mucho ruido por las motos y por todos lados. Comimos en un restaurante pollos a la parrilla, rico pero ruidoso… En la costa hermosas playas, de más clase, de lujo. Un poco decepcionados por Las Terrenas, preferimos Las Galeras.
Sint Maarten - Saint Martin (Janvier 2021)
Jeudi 7 Janvier
Départ d’Antigua
Fr.- Passage par St John’s pour clearance, puis Barbuda pour une pause, mouillage sans descendre à terre mais baignade.
Le lendemain départ de Barbuda vers Sint Maarten à 16h.
Couché de soleil et montée au mat, en navigation, pour régler un problème de pavillon visiteur…
Dans la nuit passage près de St Barth.
Esp.- Pasamos por St John’s para hacer los trámites de salida, luego Barbuda para un descanso, anclamos sin bajar a tierra, chapuzón en el mar.
El día siguiente dejamos Barbuda rumbo a Sint Marteen a eso de las 4pm.
Puesta de sol y primera vez subida al mástil navegando, por pequeño problema de pabellón visitante…
En la noche pasamos cerca de St Barth.
Samedi 9 Janvier
Arrivée à Sint Maarten
Fr.- Passage devant Philipsburg et ses bateaux de croisière à l’arrêt, arrivée à Simpson Bay. Mouillage, clearance puis en route vers la marina IWW, derrière le pont, après un petit plantage dans la vase.
A l’entrée on a un petit problème pour reculer et se mettre à quai, l’avant amarré à une bouée. On y arrive avec l’aide d’un américain et d’un brésilien en annexe. Nous sommes samedi après-midi, personne dans la marina pour nous accueillir, on verra lundi.
Esp.- Pasamos frente a Philipsburg y los cruceros parados, llegamos a Simpson Bay, anclamos, y nos dirigimos al puerto para los tramites de entrada. Al entrar a la bahía pequeño problema al dirigirnos a la marina, nos bloqueamos en el lodo.
Y como de costumbre problema con el motor para echar marcha atrás, para atrapar una bolla y amarrarse al muelle. Vinieron a ayudarnos un americano y un brasileño, con anexo. Llegamos este día por la tarde, nadie en la marina para recibirnos, veremos el lunes.
Coton - algodón
Fr.- Le dimanche, installés dans la marina, on fait quelques courses dans la boutique chinoise, bien sûr ouverte, suivi d’une balade à pied autour de la baie : café, restau, casino !
On mange quelques tacos à La Chingona (un camion) : elle est mexicaine, lui de Sint Maarten. C’est très bon.
Iguana
Iguana
Esp.- Domingo 10, instalados en la marina, hacemos algunas compras en la tienda china, por supuesto abierta, y un paseo a pie por la bahía : café, restaurante, casino! Por la noche tacos en La Chingona, (un camión) ella mexicana y él lugareño, comimos muy rico.
Simpson bay et Marigot
Fr.- Lundi 11, laverie (à l’entrée de la marina Lagoonies), puis en route pour Marigot, la capitale de Saint Martin, à pied : restau (le sous-marin), coup d’oeil à la marina qui ne nous a pas accueillis en raison des règles imposées par le Covid.
On aperçoit le Cata de Louise et famille, mouillé près de l’entrée de la marina.
Aracai a Marigot baie
Esp.- Lunes 11, lavandería (a la entrada de la marina Lagoonies), luego Marigot, la capital de San Martín, a pie largo el camino : restaurante (el submarino), echar un vistazo a la marina francesa, que no nos recibió por la reglas anti-covid.
Se ve el barco Catamarán de Louise y familia, anclado cerca de la entrada de la marina.
Epaves Simpson bay
Fr.- On reviendra plusieurs fois à Marigot :
- en bus, en partie pour se rendre à la poste. On apprend qu’il n’y a pas de bateau pour Anguilla, qui est fermée même pour les personnes venant de Saint Martin, juste en face… Dommage !
- en dinghy, au moteur et à la rame car c’est très loin…
On prend le café sur Aracaï, et Louise nous remorquera pour le retour jusque dans la baie.
- en vélo, en particulier pour le restau « Guadeloupe » au milieu des plantes, puis une balade au Fort, et un dernier café chez Louise.
Esp.- Regresaremos varias veces a Marigot :
- en autobús, en parte para llegar a la oficina de correos. Nos enteramos de que no hay ningún barco a Anguila, que está cerrado incluso para la gente de San Martín, justo enfrente... Que lastima !
- en anexo, con motor y remando, porque está muy lejos...
Café en Aracai, y para el regreso Louise nos remolcará hasta la bahía...
- en bicicleta, en particular al restau «Guadalupe», en medio de plantas, luego un paseo por el Fuerte y el último café en el barco de Louise.
Fr.- Nous prendrons plusieurs pots au Lagoonies, la marina d’à côté :
- le premier avec Sofia, Jeff et un navigateur belge, Alain Charlot, qui connait bien la mer caraïbe et donne un certain nombre d’informations.
- le suivant avec une amie australienne de Louise, qui vit dans la marina Lagoonies sur un très gros catamaran, très marin, qu’ils viennent d’acheter,.
- le dernier avec Serge et sa copine cubaine, après une petite visite de notre bateau.
On reprend le dinghy pour aller faire des courses à Carrefour… ce n’est pas trop loin, et plus pratique que d’y aller à pied comme nous l’avons déjà fait.
Esp.- Varios aperitivos en Lagoonies, la marina de al lado :
- el primero con Sofía, Jeff y un navegante belga Alain Charlot, que conoce bien el Mar Caribe y da una serie de informaciónes.
- el siguiente con una amiga australiana de Louise, que vive en la marina Lagoonies en un catamarán muy grande y muy marino que acaban de comprar.
-el último con Serge y su novia cubana, después de una pequeña visita a nuestro barco.
Fuimos de compras al Carrefour en dinghy… No se encuentra muy lejos, y es mas practico asi que caminando como ya lo hicimos.
Fr.- Dimanche vélo : tour de la baie, on longe l’aéroport, on passe par le village Maho, puis la plage de Mullet, et Cupecoy où on déjeune dans un restau italien…
Balade le long de la côte, basse-terre, Sandy Ground avec ses jeunes à moto, et retour par Marigot.
Pierre subiendo mi bici
Esp.- Domingo en bicicleta : paseo por la bahía, al rededor del aeropuerto, Maho, la playa de Mullet, luego Cupecoy y almuerzo en un restaurante italiano...
Paseo por la costa, Basse-Terre, Sandy Ground con sus jóvenes en motocicleta, y de vuelta por Marigot.
Fr.- Lors d’un passage à Marigot en bus pour à gérer des problèmes de téléphone avec Digicel, nous sommes invités pour une visite de Westin à Dawn Beach, en taxi, et c’est là que nous rencontrons Serge et Isabelle. Serge nous invite au restaurant le soir, puis nous passerons quatre jours offerts dans un appartement sur la plage à Dawn Beach.
Fr.- Jeudi 21 janvier au Dimanche 24 janvier
On loue une voiture pour quatre jours pour aller à Dawn Beach et se promener dans l’île.
- Balade à Grande Case (repas au restau Les Lolo’s), puis à Cole Bay et Philipsburg.
- Super balade à cheval, à côté de Dawn Beach, le long de la côte mais aussi dans la mer… une expérience incroyable ! Au retour piscine et grillade à Dawn Beach.
- Balade au Pic Paradis, qui domine la partie Est de Saint Martin. A la descente nous voyons de nombreux singes traverser la forêt accrochés aux câbles d'un téléphérique.
Esp.- Jueves 21 al Domingo 24 de enero
Alquilamos un coche, por 4 días para pasearnos e ir a Dawn Beach.
- Paseo al Pic Paradis, quien domina la parte este de Saint Martin.
Al bajar vimos muchos monos cruzando por el bosque caminando sobre los cables de un teleférico.
- Paseo a Grande Case, restau Les Lolo’s, y luego un paseo por Cole Bay y Philipsburg,
- Super paseo a caballo a lo largo de la costa, pero también en el mar… una experiencia increíble. Al regreso nadar en la piscina y parrillada en Dawn Beach.
Fr.- Dernier jour avec la voiture, on se promène sur la pointe nord de l’île, tour à pied sur le chemin des froussards, jusqu’à une plage qui se prolonge par une partie rocheuse couverte de coraux échoués. Retour par Philipsburg et finalement on rend la voiture.
Esp.- Ultimo día con el coche : visita a la Punta norte de la isla, después caminata por el camino « des froussards » hacia una playa llena de corales y caracoles… Regreso por Philipsburg, y regresamos el coche.
Fr.- Dans les jours suivant on continuera à se promener près de la marina, à pied et à vélo.
Promenade à Maho à vélo, pour retrouver Louise, Siara et Cai et assister au grand spectacle des avions atterrissant au ras de la plage. On continue jusqu’à la plage de Mullet, où ce jour là la mer est très agitée, voire dangereuse.
Esp.- Durante los dias siguientes seguiremos paseando cerca de la marina, a pie y en bicicleta. Maho en bicicleta, para volver a encontrar Louise y familia, y ver el gran espectáculo de aviones que aterrizan al ras de la playa. Continuamos nuestro paseo en bici hasta la playa de Mullet, este día el mar estaba muy alborotado, muchas olas, una de ellas revolcó a Pierre de cabeza…
Fr.- En fin d’après-midi Pierre fait une randonnée jusqu'à Pelican, le sommet surplombant Simpson Bay. Le soir nous retrouvons Louise dans un bar au bord de la baie, le Soggys, lieu de rencontre de tous les marins du coin en raison du « happy hour », bière à 1$ . Enfin dîner dans un restau chinois.
St Kitts "King Kong" island
Esp.- Pierre se fue de paseo a Pelican a pie, cumbre que domina Simpson Bay.
Por la noche nos quedamos de ver con Louise en un bar le Soggys, donde se encuentran muchos marineros por el « happy hour », cerveza por 1$. Y luego fuimos a cenar comida china.
Fr.- Dernier passage à Marigot, à vélo, pour régler le problème Maif (on peut téléphoner en métropole depuis Saint Martin). En effet nous ne sommes plus assurés au delà de Saint Martin, et nous attendons la réponse à la demande d’extension que nous avons faîte. La réponse est finalement positive, on peut partir pour Saint Domingue…
Checkout de la Marina, clearance out de Sint Maarten à Simpson Bay, et sortie lorsque le pont qui ferme la baie sera ouvert, à 8h30.
Esp.- Ultima visita a Marigot, en bici, para arreglar el problema del seguro Maif.Se hará, nuestro expediente “mundo” es aceptado. Ya podemos ir a Santo Domingo, Républica Dominicana,…
Checkout de la Marina, trámites de salida de Sint Maarten y salida cuando el puente que cierra la bahía se abre, a las 8:30.